Fluctuation du don pendant l’épidémie de covid 19

article : Marguerite Cognet, Christelle Hamel et Muriel Moisy, « Santé des migrants en France : l’effet des discriminations liées à l’origine et au sexe », Revue européenne des migrations internationales [En ligne], vol. 28 - n°2 | 2012, mis en ligne le 10 octobre 2012, consulté le 14 avril 2022. URL : http://journals.openedition.org/remi/5863 ; DOI : https://doi.org/10.4000/remi.5863

Fluctuation du don pendant l’épidémie de covid 19

Comprendre les raisons pour lesquelles on a donné ou pas notre sang pendant cette pandémie.  Important de comprendre avec toujours cette craintes des crises et de leurs effets sur les donneur, vont t’il toujours donner en contexte de crises ? Paradoxalement cela peut mener à l'inverse, par exemple lors d’attentat les gens se presse et son emme trop a donner de leur sang. On va aller comprendre l'évolution de ces profils, on se rend compte que certain donneurs régulier ne le faisait pas mais dans ce contexte particulier des nouveaux l'ont fait, on a des reconfigurations des raison pendant cette crises. Ensemble de théorisation sur le fait de donner son sang, donner et associer à appartenir à une société, moteur et généré par le donc, dans ce contexte particulier, comment les raison de donner son reconfiguré ?

Question de la place du don, d'avantages partir par les parcours singulier des personnes qui donnent leur sang, en quoi cela a une signification particulière.  Finalement comprendre ces raisons permet de mieux comprendre le don en général et peut permettre d'encourager les personnages à donner leur sang.

Méthode

Questionnaires et entretiens avec des donneurs, questionnaires diffusés entre mars et juin 2020. Question posée sur les raisons du don. On va comparer celles qui sont venues et pas venues, on contacte très peu de différence dans le sens ou on a pu avoir une influence conjoncturelle. Enquête mixte pour avoir une exploration des raisons de don.

Raisons de donner son sang

        Premier point, alternance entre des lexique de sans “faibles” et “fort”, raison banale, faible : je donne mon sang c’est normal (faible engagement) cela alterne avec parfois des terme plus grandiloquent : je peut sauver des vie, je donne par solidarité, je remplie mon devoir de citoyen (cela peu venir du même donneur).

On a un ancrage au don, le fait de devenir donneur tient à quelque accroche. Ancrage qui viennent induire le dons, notamment une sensibilité à la maladie dans la vie perso ou pro des donneurs avec des confrontation à la maladies comme des professionnels de santé, le fait de voir l'utilité de leurs pratiques créer leurs sensibilité, peut être aussi des trajectoire personnelle qui quite a une événement devienne donneur. Autre ancrage, celui de la transmission familiale, on a chez certain donneur l’idée d’avoir eu un parent lui-même parents qui lui en a parlé, accompagner lors de leur premier don, construisent une habitude, valeur éducative autour dans l'espace familiale. Autre dimension, sentiment de responsabilité lié à un groupe sanguin recherché (donneurs universelle se sent plus responsable de le faire car ils savent qu’il est précieux).

On a une déclinaison de ces valeurs en société, analyse montre que le démarrage de don et conjoncturelle, c’est un concours de circonstance qui va se mêler à des valeurs et qui va expliquer l’acte de donner. C’est différent ancrage ne sont pas exclusif, certain en aggloméré.

Ces formes de valeurs vont être plus ou moins explicitées selon le donneur, d'autres vont plus élaboré des explications sur les raisons les poussant à donner. Montre également un ensemble d'événement qui vont renforcer l'engagement dans le dons du sang, le décomposer sinon. Toutes ces formes de reconnaissance.

Raisons de donner son sang

        Différent exemple, idée d’évidence, donner quand on peut, il faut être conjoncturelle (être dispo les jours ou ils sont là).  Deuxième citation : raison qui sont fortes, beaucoup de raisons. On voit des modes d'engagement disparat, on associe des parcours singulier et des valeurs. On retrouve aussi dans ces parcours la question de conjectures particulière sur la manière de décourager ou non le don de sang. Retrouve toute une construction du corps.

Donner en contexte d’épidémie

Rendu compte de beaucoup de raison commun avec le don du sang en général. Ce sont plus des recompositions des collecte qui on était reconfiguré, au profit de collecte fixe,  retrouve un ensemble de raisons conjoncturelles.

Ensuite on est aller regarder si elle surmonté ces difficultés ou attendait plus tard, pour certain ça a été l’occasion de passer à l'acte, de revenir vers le dons de donneur qui non pas donner depuis longtemps et qui on donc trouver une autorisation de sortir. Une partie a une volonté de se rendre utile, renvoie à une première phase avec des initiative de soutien dans les quartiers par exemple, effet de sidération qui ont mené à des collectifs d’entraide.

Certains craignent aussi la crise pendant ce contexte, on a eu une réinterprétation de cet engagement qui tient au vécu de  cette période particulière qui a pu être différente selon les personnes.

Exemple diapo, on voit l’importance du contact humain dans le don du sang, certains se découragent lorsque leur acte n’est pas reconnu par les professionnelles. Cela pourrait les décourager sur le long terme même après les interfaces ou on devait le faire par internet. On a une crise d'urgence de la question de la bio identité, pourquoi refuser mon sang ? C’est un don de soi, le refus et vécu de manière difficile par les donneurs. Deuxième exemple, surmonter cette réticence initiale pour donner son sang.

Certains on donner comme d’habitude, pour certain c'était une raison additionnelle et pour quelque donneur c’était un don malgré (peur du confinement).

Encourager les dons

        Attente des financeurs en termes d'utilité de l’enquête. Comment on peut mieux comprendre et faire des propositions. Ce qui est mis en avant et l’importance de l'approche sur ces donneurs, on s'est rendu compte du moment de passage qui ne tient pas à grand-chose. Il faut multiplier ces approches pour apporter de nouveaux donneurs, on remarque qu'au départ le premier don ne relève pas d’un sentiment altruiste mais d’une petite volonté.

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