Fiche Lecture: Le Don et la Dette de Godbout
Compte Rendu : Fiche Lecture: Le Don et la Dette de Godbout. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 24 Octobre 2012 • 477 Mots (2 Pages) • 1 466 Vues
Dans ce texte GODBOUT différencie deux types de don, le don comme un fait et le tiers secteur c’est-à-dire le don à travers une organisation. Le premier don ne résulte d’aucune organisation mais d’un lien primaire alors que le deuxième s’instaure dans un politique institutionnelle. Ce don encadré par un organisme peu être à double visé, l’un n’attend rien en retour l’autre cherche recevoir un minimum pour faire vivre la structure. Le don aux étrangers est moderne car les dons ne circulent pas dans des réseaux de liens primaires. L’auteur démonte qu’aujourd’hui le don ce fait à travers des organisations dite intermédiaire. Cependant, dans la relation que le donneur à avec le receveur on distingue deux extrêmes. L’un agit directement face à l’autre même si cela doit passer par des bénévoles (don aux étrangers familier), l’autre n’implique pas de rencontre entre les deux acteurs c’est le don aux étrangers inconnus. (Exemple : don organe, don d’argent…). Aujourd‘hui, on trouve d’autre aspect du don qui auparavant était un don aux étrangers inconnus et remplacer dans certaine situation « le donneur émotionnelle apparentés. » L’auteur MALINOWSKI nous fait par d’un exemple de don archaïque : la KULA Elle est pratiquée par les habitants des îles Trobiand de la Nouvelle – Guinée. Il s’agit pour les habitants d’une île, de faire le tour des îles voisines et dans chacune d’elle, ils tenteront de créer des liens ou de les renforcer en offrant des petits cadeaux. Si les cadeaux sont acceptés, ils recevront en retour des présents précieux. Les biens précieux ne pourront être garder et devront être utilisés pour en faire un don. La valeur de ces biens dépend du nombre des partenaires entre les mains desquelles ils ont transité et de la position sociale de ceux-ci. Il rejoint les idées des anthropologues, sur le fait que le don implique consciemment ou non une réciprocité c’est-à-dire une attente en retour. Même si il est vrai que le fait de s’éloigner du lien primaire et ce rapprocher du don aux étrangers par l’intermédiaire d’un organisme limite cette réciprocité. Le don est donc qualifié d’unilatéral, le donneur cherche à faire le bonheur d’autrui, c’est l’altruisme alors que par le lien primaire on parle de générosité. Notre société moderne pratique plus le don aux étrangers sans ce faire connaitre et sans attendre en retour. (Exemple le don du sang).
Contrairement au préjugé , la modernité ne serai pas seulement tourné vers le profit, marche et économie mais également sur le don envers les étrangers pour faire le bonheur de ces pairs. Cette sphère de don aux étrangers est moderne car les dons ne circulent pas dans des réseaux de liens primaires. Il est vrai que la religion a pu encourager ce type de don, cependant, actuellement la religion ne joue pas un rôle essentiel dans ce phénomène de don aux étrangers.
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