Exposé sur la recherche de liens sociaux

[pic 1]

[pic 2]

[pic 3]

[pic 4]

[pic 5]

[pic 6]

[pic 7]

Classe : 1G6                                                                                          

Sommaire

Intro        2

I – Le lien social        3

1 – Le lien social et explication scientifique        3

2 – Les menaces pour le lien social        4

3 - Les différentes relation du lien social        6

II - Les clubs, associations, réseaux sociaux, communautés, université populaire, réseaux d’entraide et le bénévolat        8

1 - Le lien social et les ateliers        8

2 - Les universités populaires et le lien social        9

3 - Les clubs, associations, réseaux sociaux et communautés        10

III – Les conséquences d’absence de liens sociaux        13

1 – L’isolement et la solitude        13

2 - La progression de la vie solitaire et de ses épisodes dépressifs        14

Conclusion        15

Biblibographie        16

Intro

          L'expression "lien social" est utilisée aujourd'hui pour désigner à la fois le désir de vivre collectivement, la volonté de relier des personnes dispersées, et l'ambition d'un amour fraternel plus profond de la société dans son ensemble. Serge Paugam est un sociologue français qui a écrit plusieurs livres notamment un sur la notion de lien social. Selon lui on peut distinguer 4 types de liens essentiels : celui de filiation qui a lieu dans une même famille, le lien de participation élective qui est construit sur une base d’affinité, le lien de participation organique qui prend forme au travail et enfin le lien de citoyenneté qui renvoie à la politique. C’est différent type de liens sociaux peuvent dépendre du contexte dans lequel celui-ci est développé. Ils sont définis par la fréquence à laquelle deux ou plusieurs individus ont des interactions, ces liens peuvent également être choisit ce qui est le cas des liens dit électifs comme l’amitié ou ils peuvent être imposés notamment dans le monde du travail. Le degré d’engagement émotionnel est donc plus ou moins faible en fonction du lien. Chacun de ses liens apportent des émotions différentes aux individus qui le partagent comme le sentiment de protection ou de reconnaissance qui se manifeste sous différentes formes. La notion de groupe social (un ensemble d’individu formant une unité sociable) est également importante puisque les liens se développent principalement au sein de ces derniers et cela permet ainsi de faire naitre un sentiment d’appartenance. Les groupes sont constitués d’individus ayant des centres d’intérêts, religion, des idées ou des opinions en communs ce qui les pousse à créer des situations durant lesquelles ils peuvent partager entre eux. Dans un premier temps nous parlerons du lien social en profondeur, nous enchainerons ensuite avec les diverses endroits où se créé des liens sociaux, nous parlerons aussi des conséquences d’absence de liens sociaux, et nous terminerons enfin par une conclusion.

[pic 8]

[pic 9]

I – Le lien social

1 – Le lien social et explication scientifique

          En sociologie française, la perception du lien social désigne l'ensemble des appartenances, affiliations et relations qui unissent les êtres humains ou les organisations sociales. Le lien social représente la force qui lie entre eux les membres d'un réseau social, d'une association ou d'un milieu social. Cette force peut varier dans le temps et dans l'espace ; c'est-à-dire que le lien social peut être plus ou moins fort selon le contexte et le scénario dans lequel se situe le phénomène examiné. Lorsque le lien social devient faible ou de mauvaise qualité, certains chercheurs et courants politiques abordent le problème sous l'angle du 'désastre' du lien social, car la qualité et l'intensité du lien social agissent comme des déterminants de la grandeur et de la profondeur des relations sociales des membres de l'institution. Étudiée dans la philosophie politique classique, dans Du contrat social ou principes du droit politique (qui est un ouvrage de philosophie politique conçu et rédigé par Jean-Jacques rousseau, affiché en 1762. Le livre a été un tournant décisif pour la modernité et a fini par devenir l'un des textes importants de la philosophie politique et sociale, en déclarant le précepte de la souveraineté des hommes principalement basé sur les idées de liberté, d'égalité et de volonté générale), la croyance du lien social s'est puissamment réinvestie à partir des années 1980, par le biais de la sociologie et sur la scène médiatique, en effaçant les enjeux distingués des années 1970 tels que la domination ou le conflit social. Un discours émerge alors qui impose de lutter contre le "désastre" de ce lien, de promouvoir la "réintégration" des populations "exclues" ou mal "incluses". Le problème de l'utilisation de cette idée vient d'abord du fait qu'elle est à la fois descriptive (les types observables de cette force de cohésion) et normative (un esprit d'équipe à préserver). Il vient aussi du fait que, utilisée au singulier, elle a tendance à découvrir la primauté de la famille sociale des personnes et des entreprises sur leur participation à une cohésion supérieure (la nation, les hommes), écartant ainsi a priori la richesse des familles qui peuvent être montées en marge, vers les manifestations de cette cohésion, qu'il s'agisse des institutions du royaume ou d'un mode de vie dominant.

[pic 10]

[pic 11]

2 – Les menaces pour le lien social

          Étudier le lien social, c'est poser la question centrale de la recherche sociologique: comment la société existe-t-elle ? Pour explorer ce concept important, nous devons examiner la façon dont les gens interagissent. Chaque société a différents types de groupes sociaux. Ces liens relient différentes sociétés. Les gens identifient les groupes primaires et secondaires en fonction de la taille et de la proximité des

membres. Des liens forts dans de petits groupes en font des groupes primaires. En revanche, la faible liaison des grands groupes en fait des groupes secondaires. Il existe de grands types de liens qui unissent les gens dans la société. Les gens sont liés par des liens familiaux. Il relie les gens à leurs parents, conjoints, enfants et même cousins. Chaque fois que vous choisissez de participer à une relation sélectionnée, nous l'appelons participation élective. Il fait généralement référence aux relations avec les amis, la famille, les collègues et les membres des communautés artistiques et sportives. La relation de l'individu à la communauté dans son ensemble se réalise à travers sa participation à la production. Cela forme un lien idéal connu sous le nom d'engagement organique. L'équivalent d'être citoyen d'une communauté politique est contraignant. Ensemble, ces liens renforcent l'entreprise grâce à la synergie. La synergie est une sorte de phénomène par lequel plusieurs facteurs apparaissant collectivement créent un impact normal ; un impact synergique qui se distingue de celui qui aurait eu lieu s'ils avaient fonctionné de manière isolée, soit chacun de leur côté, soit tous ensemble mais de manière indépendante. Si, du point de vue de la société tout entière, la concorde de ses nombreux éléments est considérée comme une excellente chose, alors le lien social peut devenir un problème politique ou moral. Des facteurs tels que les inégalités sociales ou le fait de résider dans un régime totalitaire provoqueraient une détérioration de la grandeur et de l'intensité du lien social. De nombreuses modifications avant-gardistes seraient également l'expression ou la conséquence d'un affaiblissement de la densité du lien social, avec l'augmentation des divorces, le développement de l'individualisation, les émeutes et la délinquance. Pour démontrer ces inquiétudes, en accord avec le sociologue Philippe breton (Né le 29 janvier 1951, est psychologue et expert en sciences de l`information et de la communication. Il est professeur émérite à l'université de Strasbourg et enseigne à la clinique psychiatrique de la faculté de médecine de Strasbourg), le lien social est menacé par une idée positive du net, qui a tendance à exempter les humains de tout échange verbal direct. Le lien social pourrait ne reposer totalement que sur la séparation de nos corps et la collectivisation de l'attention. Plus généralement, selon le pape François, "les hommes et les femmes du monde postmoderne courent le risque permanent de devenir profondément individualistes, et de nombreux problèmes sociaux sont liés à la vision égoïste actuelle concentrée sur l'immédiateté, aux crises du cercle familial et des liens sociaux, aux problèmes de reconnaissance de l'autre ".

...