Les femmes et le sport: y a-t-il des pratiques particulières dédiées aux femmes ? Et est-ce que les femmes auraient des qualités particulières par rapport à celles des hommes ?
Note de Recherches : Les femmes et le sport: y a-t-il des pratiques particulières dédiées aux femmes ? Et est-ce que les femmes auraient des qualités particulières par rapport à celles des hommes ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 2 Février 2014 • 859 Mots (4 Pages) • 1 458 Vues
Lors d'un commentaire sportif de patinage tiré des archives françaises de 1949 qui est cité : « Cette jeune personne âgée de 4 ans porte un nom déjà très connut des sportifs, celui de son papa, Charles Rigoulo, ex-recordman du monde et champion olympique de poids et altères. Dannie Rigoulo a choisit un sport où la grâce, l'élégance et la précision sont reines. Voyez d'ailleurs avec quelle audace ingénue elle grave sur la glace du palais des glaces les figures classiques du patinage artistique. La famille est inquiète mais le papa a le sourire aux lèvre, dans trois lustres Dannie Rigoulo à l'instar de Sonia Hennio ou Barbara-Anne Scot sera peut être un fée de la glace », on peut voir les préjugés : « la grâce », « petite patineuse », « fée de la glace ». La question se pose alors, y a t'il des pratiques particulières dédiées aux femmes ? Et est-ce que les femmes auraient des qualitées particulières par rapport à celles des hommes ?
On assiste à une phase d'instauration du sport moderne en France de 1850 à 1914, après la première guerre mondiale et une nouvelle organisation se met en place. Ces pratiques intègrent un nouveau mode d'organisation, la formation de clubs, de challenges, une nouvelle gestuelle, et un nouveau cadre d'exercice en plein air. Elles ont ainsi un nouveau cadre réglementaire. Ce n'est qu'après l'armistice de 1918 que le sport français commence à s'engager vers la modernité avec l'éclatement de l'Union des Sociétés Françaises des Sports Athlétiques qui donne naissance aux actuelles fédérations unisports. Le contexte de la Première Guerre mondiale s’avère paradoxalement propice à une nouvelle étape dans la conquête de la citadelle sportive par les femmes. Rappelons qu'il y'a plusieurs cas, dès la fin du 19ieme siecle il ya des femmes presente dans certains domaines sportifs (gymnastique) ou alors des pratu-iqes ou elle ne sont pas du tout intégrées (athletisme) pour ces pratiques les femmes tentent alors de s'autonomiser et de créer leur clubs et fédérations et cette émancipation avance a petit pas (ex: 1917 : Fédération des sociétés féminines sportives de france : première forme d'autonomie des femmes dans le sport) . L'histoire du sport français véhicule un icône; Pierre de Coubertin, il a passé tous les bachots dont on peut rêver, il a fait Sciences-Po, et il est captivé par l'histoire, et le sport balbutiant. Sa devise diplomate : « Voir loin, parler franc, agir ferme ». Il se trompe en refusant d'intégrer les femmes dans son mouvement, et c'est bien dommage car aujourd'hui encore, le sport joue un rôle d'émancipateur essentiel dans de nombreux pays, il cite alors, lors des Jeux Olympiques de 1912 à Stockholm : "Une olympiade femelle serait impratiquable, inintéressante, inesthétique et incorrecte. Le véritable héros olympique est, à mes yeux, l'adulte mâle individuel. Les Jeux - Olympiques doivent être réservés aux hommes, le rôle des femmes devrait être avant tout de couronner les vainqueurs" . En 1894 Pierre de Coubertin, fait adopter un plan général d'organisation des Jeux Olympiques. En effet, 2,6% de la population pratique un sport à cette époque. Lors de l'après-guerre en 1924 trois pratiques sportives féminines sont intégrées aux Jeux-Olympiques
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