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Conséquences néfaste de la société de consommation

Fiche : Conséquences néfaste de la société de consommation. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  12 Décembre 2020  •  Fiche  •  355 Mots (2 Pages)  •  806 Vues

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[pic 1]EXPOSE : Conséquences néfaste de la société de consommation.

Problématique : Pourquoi le consumérisme est-il ou paraît-il une conséquence néfaste de la société de consommation ?

Le consumérisme a trois sens connus :

  1. Un sens courant, qui définit l'action concertés de consommateurs faces aux entreprises.
  2. Un sens répandu en sociologie, qui définit un « mode de vie liée à la consommation ».
  3. Une théorie qui considère l'augmentation de la consommation de biens comme un bénéfice économique.

 

On a décidé de se focaliser sur le deuxième sens connu, auquel on peut donner une définition qui est la suivante : Le consumérisme est un mode de vie ou l'obtention du bonheur, ne peux se faire qu'en consommant/achetant sous l'effet des pulsions de désir instantanée.

Le consumériste est quelqu'un qui a besoin de céder a ses pulsions pour se sentir heureux.

Le fait que le consumérisme soit quelque chose de néfaste est que du coup la société devient productrice de dépendance mais plus de désir, cela incite à la consommation.

Par exemple, c'est arrivé à tout le monde d'acheter quelque chose dont on n’a pas forcément besoin, mais le fait de l'acheter nous procure du plaisir.

 

  Nous «connaissons le prix de tout et la valeur de rien» (Oscar Wilde)                 

La société de consommation a besoin de créer des objets puis de les détruire pour continuer a exister. C’est ce renouvellement qui amplifie l’idée d’abondance et augmente notre dépendance vis-à-vis de ce qui est matériel.

Baudrillard

La société de consommation, de Jean Baudrillard, est une contribution essentielle à la sociologie et à la philosophie contemporaines

La thèse de Baudrillard est simple : la consommation est devenue un moyen de différenciation, et non de satisfaction. L’homme vit dans et à travers les objets qu’il consomme. Mieux même, ce sont les objets qui nous consomment. En corollaire de cette thèse fondamentale, Baudrillard argue que l’objectivation des relations sociales, celle du corps et des individus, ont pris le pas sur le sujet. Le monde réel a disparu selon lui, remplacé par des signes du réel, venant donner l’illusion du vrai monde.

https://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20090723trib000402565/bernard-stiegler-le-consumerisme-a-atteint-ses-limites.html

https://rcf.fr/vie-quotidienne/vie-pratique/peut-eviter-le-consumerisme

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