Texte francais
Cours : Texte francais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar papas05 • 8 Décembre 2015 • Cours • 2 383 Mots (10 Pages) • 814 Vues
Daniel Kehlmann est un écrivain allemand né en 1975 à Munich, auteur de plusieurs œuvres à succès, notamment « Gloire », un recueil de nouvelles dans lequel on retrouve « En danger ». Dans cette nouvelle, l’auteur mène de façon générale une réflexion sur la célébrité et les rapports qui lient la personne célèbre à ses admirateurs. Plus particulièrement, la nouvelle nous plonge dans les difficultés de communication entre un écrivain célèbre aux peurs infantiles et toujours dans la jérémiade et une journaliste aux prises avec une affaire grave, réelle et secrète. Et chacun vit la vie personnelle que lui permet son téléphone portable.
Tout d’abord à travers le personnage principal Léo, un écrivain célèbre, le lecteur est plongé dans des réflexions critiques sur la célébrité dans ses dimensions les plus lugubres. Il s’agit là d’une caractéristique très accrocheuse chez les lecteurs en quête de récit sur les différentes facettes de la personnalité des célébrités. À cet effet, on note que la célébrité conduit Léo à l’oubli de soi et au doute de sa réalité d’une façon qui fait manifestement oublier les rêves du tapis rouge. Par ailleurs, le bonheur d’être le centre d’attention est compromis lorsque ses admirateurs se contentent progressivement de poser invariablement les mêmes questions médiocres. Ainsi par exemple dans l’extrait suivant « Des hommes enivrés déambulaient …les yeux de Léo étincelaient de rage une force destructrice semblait émaner de lui par vagues de façon si violente que chaque personne présente aurait dû la ressentir »[p.32], hyperbole
Pourquoi me posent-ils toujours la même question?...qu’est-ce que c’est que cette question, qu’est-on censé dire? ».
La gloire insuffle également à Léo un sentiment de vanité « Voilà ce que devient l’art…tout ce travail… Pour être invité par des gens insensibles, pour serrer des mains, afin que des lémuriens aient un sujet de conversation avant d’aller dîner. »
Tout d’abord, a travers le sarcasme de Léo,qui est le personnage principal ,le lecteur est plongé de façon progressive dans des réflexions critiques sur la célébrité dans ses dimensions les plus lugubres. Il s’agit là d’une caractéristique très accrocheuse chez un grand nombre de lecteurs, de tranches d'ages varié en quête de récit sur les différentes facettes de leurs idoles. Par exemple on peut lire a la page 25 que la célébrité conduit Léo à l’oubli de soi et au doute de sa réalité d’une façon qui fait manifestement oublier les rêves du tapis rouge.par ailleurs, le bonheur d’être le centre d’attention est compromis lorsque ses admirateurs se contentent de poser invariablement les mêmes questions qu'il trouve médiocres. Par ailleurs, comme en témoigne l'expression : « Voilà ce que devient l’art…tout ce travail… Pour être invité par des gens insensibles, pour serrer des mains, afin que des lémuriens aient un sujet de conversation avant d’aller dîner. », la gloire procure à Léo un sentiment de vanité.
Comme en temoigne ll'expression:«Pourquoi me posent-ils toujours la même question?...qu’est-ce que c’est que cette question, qu’est-on censé dire?».
La gloire insuffle également à Léo un sentiment de vanité « Voilà ce que devient l’art…tout ce travail… Pour être invité par des gens insensibles, pour serrer des mains, afin que des lémuriens aient un sujet de conversation avant d’aller dîner. » ,
« Elle avait vite découvert … par la suite toutes les facettes de sa personnalité : ses crises d’angoisse et de nervosité, l’inexplicable euphorie qui s’emparait parfois de lui et aussi ces phases de concentration ». Par ailleurs, le bonheur d’être le centre d’attention est compromis lorsque ses admirateurs se contentent progressivement de poser invariablement les mêmes questions médiocres. « Pourquoi me posent-ils toujours la même question?...qu’est-ce que c’est que cette question, qu’est-on censé dire? ». La gloire insuffle également à Léo un sentiment de vanité « Voilà ce que devient l’art…tout ce travail… Pour être invité par des gens insensibles, pour serrer des mains, afin que des lémuriens aient un sujet de conversation avant d’aller dîner. »
D’autre part
a personnalité des célébrités. À cet effet, on note que la célébrité conduit Léo à l’oubli de soi et au doute de sa réalité d’une façon qui fait manifestement oublier les rêves du tapis rouge. « Elle avait vite découvert … par la suite toutes les facettes de sa personnalité : ses crises d’angoisse et de nervosité, l’inexplicable euphorie qui s’emparait parfois de lui et aussi ces phases de concentration ». Par ailleurs, le bonheur d’être le centre d’attention est compromis lorsque ses admirateurs se contentent progressivement de poser invariablement les mêmes questions médiocres. « Pourquoi me posent-ils toujours la même question?...qu’est-ce que c’est que cette question, qu’est-on censé dire? ». La gloire insuffle également à Léo un sentiment de vanité « Voilà ce que devient l’art…tout ce travail… Pour être invité par des gens insensibles, pour serrer des mains, afin que des lémuriens aient un sujet de conversation avant d’aller dîner. »
D’autre part
tout d’abord , l’histoire nous plonge dans un contexte ou le génie et la célébrité de l’auteur contraste de façon remarquable avec sa peur infantile, son angoisse et ses plaintes qui limitent son autonomie et le rend dépendant de sa compagne. Qu'on « Je suis absolument insupportable! Je comprends que tu veuilles rentrer à la maison. Dans ce cas je rentrerais aussi, bien sûr, je ne tiendrais pas le coup ici sans toi ».
nous plonge dans les difficultés de communication entre un écrivain célèbre aux peurs infantiles et toujours dans la jérémiade et une journaliste aux prises avec une affaire grave et secrète.
« En danger » met également en évidence l’impact de la technologie sur notre mode de vie. Les difficultés de la communication entre ses principaux protagonistes sont exacerbées par l’utilisation du téléphone. En effet « Élisabeth ouvrit la bouche et la referma, elle n’avait rien à dire. Elle avait l’impression de devoir s’entretenir avec des machines à laver, des bouches d’incendie ou des robots avec lesquels il n’y avait pas de langage commun…c’est alors que son téléphone sonna …Cela la réconforta »[p.33]
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