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IVG médicamenteuse

Analyse sectorielle : IVG médicamenteuse. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  26 Avril 2021  •  Analyse sectorielle  •  374 Mots (2 Pages)  •  371 Vues

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IVG médicamenteuse

    Depuis toujours, l'Homme cherche à contrôler les naissances. Les nouvelles connaissances concernant la physiologie sexuelle de la femme ont permis de développer des moyens contraceptifs de plus en plus sûrs.

Il existe deux moyens qui permettent de contrôler les naissances:

  • La contraception ( pilule, implant, patch, préservatif…)
  • L’interruption volontaire de grossesse

L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est le recours ultime en cas de grossesse non prévue. Elle peut être médicamenteuse ou chirurgicale. Elle est régie par la loi Veil qui donne à la femme (mineure ou majeure) la libre décision de poursuivre ou non une grossesse. En France, elle ne peut se faire que durant le délai légal correspondant aux 12 premières semaines de grossesse.

L'IVG, pour interruption volontaire de grossesse, est le terme désignant dans certains pays l'avortement provoqué pour des raisons non médicales, mais souvent du fait d'un non-désir de grossesse, dans un cadre légal. En France, l'IVG est autorisée sous certaines conditions depuis 1975. La loi du 4 juillet 2001 repousse le délai légal d'intervention de 12 semaines d'aménorrhée (absence de règles) à 14 semaines.

L'IVG peut être pratiquée selon deux méthodes : la prise de deux médicaments si l'avortement est réalisé dans les cinq premières semaines de grossesse, ou par une opération chirurgicale.

IVG MÉDICAMENTEUSE

Dans le cas d'un avortement précoce, on préconise la prise successive de deux médicaments. D'abord, la femme est invitée à avaler 600 mg de mifépristone (ou RU 486), qui met un terme à la grossesse. Entre 36 et 48 heures plus tard, elle doit prendre du misoprostol, qui a pour but l'expulsion complète de l'embryon. Le procédé n'est pas efficace dans 100 % des cas. Si une femme qui a bénéficié de ce traitement décide malgré tout de garder son bébé, elle l'expose à des malformations.

IVG CHIRURGICALE

Au-delà de sept semaines d’aménorrhée, la femme désirant avorter doit passer par le bloc opératoire. Le plus souvent, les chirurgiens essaient d'aspirer l'embryon en insérant une canule dans le col de l'utérus. Cet acte est douloureux et nécessite une anesthésie, locale ou générale. Autrefois pratiquée en France et aujourd'hui limitée aux pays en voie de développement, l'IVG par curetage peut aussi être réalisée. Mais cette technique est nettement plus dangereuse.

Lien du site incroyable : https://avortement.ooreka.fr/comprendre/ivg-medicamenteuse

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