IVG présentation

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Support : Document + dessin

Nous allons vous présenter l’IVG :

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Dans un premier temps, nous allons aborder une partie historique

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Puis dans un second temps, la partie scientifique sera évoquer

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Mais avant toutes choses :

 Qu’est-ce que l’IVG ?

IVG signifie l’interruption volontaire de grossesse ou avortement. C’est un procédé qui a pour but d’empêcher d’avoir un bébé, futur enfant.

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Parti historique

Avant sa légalisation en 1975, grâce au travail de l’ancienne ministre de la Santé, Simone Veil ainsi qu’aux nombreux débats à l’assemblée, l’avortement était illégal.

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En effet, après la 1er Guerre Mondiale, plus précisément en 1920, une loi interdit l’avortement et la contraception. (dessin)

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Quelques années plus tard, en 1942,l’avortement devient un crime contre la sûreté de l’Etat passible de la peine de mort.
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Les manifestations pour l’avortement débutent dans les années 70, comme le journal « le nouvel observateur » qui publie un article montrant 343 françaises qui ont le courage d’avorter avec le slogan « Je me suis fait avorter » ? On peut observer leurs visages, elles sont qualifiées publiquement de « salopes » et risquent la prison.

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Parti scientifique :

Comment avorter ?

La substance utilisée pour l’IVG est médicamenteuse sous la forme d’un comprimé ingéré par voix oral. Le stéroÏde synthétique ( molécule dans le comprimé) sous le nom de mifépristone ou RU 486 agit comme antagoniste des récepteurs à la progestérone.

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La RU 486 agit principalement sur la concentration plasmatique de la progestérone

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Rappel : La progestérone permet a la muqueuse utérine la préparation à la nidation de l’œuf et assure l’absence des contractions rythmiques du muscle utérin

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Ainsi, la structure moléculaire de la mifépristone est semblabe à celui de la progestérone.

La progestérone permet a la muqueuse utérine la préparation à la nidation de l’œuf et assure l’absence des contractions rythmiques du muscle utérin[pic 13]

C’est une leurre biochimique. Sa grande quantité (200 mg) va se fixer sur le récepteur avec la progestérone. Cependant, la mifépristone va prendre le dessus et donc avoir aucun effet biologique.

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Ainsi, contrairement à la fécondation dite « normale », le RU 486 va provoquer des contractions utérines et le décollement de l’embryon. Le futur phétus va donc être éjecter lors des règles.

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