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Des Frontières à Franchir: L’expérience vécue par Angelica Garza

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Par   •  24 Mars 2014  •  5 289 Mots (22 Pages)  •  1 861 Vues

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Le cas « Des frontières à franchir » sera abordé avec l'approche problème, car il y a un problème vécu par Angelica Garza. La bataille entre deux cultures : américaine et mexicaine entraîne une absence de communication entre les deux parties. Il va s'en dire qu'il y a une tension énorme lorsqu'elle travaille à Tijuana. Cette analyse de cas propose des solutions pour trouver le meilleur choix possible pour enlever le climat de travail difficile.

Résumé des faits

Angelica Garza est une américaine d'origine mexicaine qui a travaillé pendant 10 dans le département des ressources humaines de la multinational USMed qui fabrique des produits médicaux dans l'une de ces installations. Elle travail dans une maquiladora qui est une « usine mexicaine à capital étranger installées dans les zones limitrophes des États-Unis pour profiter de lois favorables et d'une main-d’œuvre à bon marché » située dans la grande ville de Tijuana au Mexique. De plus, elle travaillait aux ressources humaines dans une petite unité administrative à Chula Vista aux États-Unis sur les limites de la frontière. La relation qu'Angelica entretien avec les cadres de USMed aux États-Unis et au Mexique sont quasi inexistantes. Le manque de personnel bilingue et l'incompréhension de la culture mexicaine rend le travail d'Angelica complexe. Pour alourdir les tensions entre mexicains et américains, ses collègues anglo-saxons ne sont pas intéressés à connaître leurs homologues mexicains. Elle a vécu différentes tension avec des collègues de travail. Deux de ses collègues mexicaines lui en voulait personnellement de leur avoir enlevé un peu de leur travail en comptabilité. L'expansion des maquiladoras s'est traduite par un affrontement entre la culture américaine et mexicaine. Les employeurs d’USMed croyaient qu'avec son sang mêlé et sa maîtrise de l'espagnol, Angelica allait régler les problèmes de l'entreprise, mais ce ne sera pas de tout repos. Malgré l'ambiance conflictuelle entre américains et mexicains, lors des médiations, Angelica se heurta à un mur d'incompréhension autant de la part des gestionnaires américains que mexicains. De quel côté se range-t-elle? Par les racines culturelles qu'elle possède cela fait d'elle, selon les cadres américains, la candidate idéale pour se poste. Par contre, sa principale force est également sa principale faiblesse. D'autre part, en travaillant dans ce milieu, Angelica était victime de préjugés par rapport à son sexe de ses collègues masculins. Le problème qu'elle eut a confronté, c'est la méthode de travail utilisé par les mexicains versus la méthode à « l'américaine ». Comment pourra-t-elle régler cette lourde situation?

Identification du problème

Le problème se définit simplement qu'Angelica a de la difficulté à travailler dans la maquiladora, car il y a un affrontement entre deux cultures : américaine et mexicaine. « Ses collègues d'origine anglo-saxonne ne savaient que très vaguement ce qui se déroulait à Tijuana et ne voyaient pas l'intérêt d'essayer de comprendre la main-d’œuvre mexicaine, ni de s'en rapprocher. » À la lumière de cet extrait, nous pouvons voir qu'il y a très peu de communication entre les travailleurs américains et mexicains. Alors, Angelica se retrouve dans un territoire inconnu où les américains n'ont pas tenté de comprendre la main-d’œuvre mexicaine. Malgré qu'elle soit d'origine latino-américaine, son intégration dans la maquiladora s'avère très complexe. De plus, pour augmenter le fossé entre les deux cultures, les mexicains ont peur de perdre leur emploi. « Et USMed ne s'embarrassait pas de subtilités – un échec sur tel ou tel point, et vous perdiez votre emploi. » Malgré son adaptation difficile aux réalités mexicaines et des changements rapides dans l'organisation, ses employeurs ne fournissent pas l'encadrement nécessaire aux nouvelles réalités du marché. « C'est à elle que revenait le rôle d'introduire les styles d'encadrement, les attentes et la formation à l'américaine. » Angelica Garza est ce qu'on peut appeler « l'élue » d’USMed pour régler les problèmes à Tijuana, car elle est latino-américaine et elle connaît l'espagnol. Également, elle ne s'entendait pas avec deux collègues féminins dans le département de la comptabilité. S'ajoute à cela que ses collègues masculin mexicain méprisaient Angelica aussi. Ses méthodes de travail à « l'américaine » lui sont reprochées. Alors Angelica se retrouve avec une « patate chaude » entre les mains. En plus, lorsque c'est le temps des négociations entre les gestionnaires américains et mexicains, il y a un climat de pessimisme. Autant des américains et mexicains n'approuvent ses idées. Pour régler le problème, les employeurs d’USMed devraient être plus attentifs aux réalités mexicaines, alors Angelica pourra ainsi faire adéquatement son travail. Ou est-ce qu'il y aurait d'autres moyens plus facile encore d'alléger l'atmosphère de méfiance au sein des maquiladoras versus aux États-Unis?

Identification des causes du problème

Comportement organisationnel

Les gestionnaires américains n'ont pas utilisé le concept clé à la base de ce cours, soit le comportement organisationnel. « Étude du comportement des individus et des groupes au sein des organisations. » Les objectifs généraux d’USMed à faire une percée au Mexique était d'avoir des lois favorables et une main-d'oeuvre bon marché. Les employeurs n'étaient pas intéressés à les connaître. Nous ne savons pas à quelle époque Angelica Garza se situe, mais il est clairement expliqué que les mexicains ont l'impression que les américains sont supérieur à eux. Est-ce qu'il y a une forme de racisme maladif qui empêche les gestionnaires américains de mieux connaître cette culture? Par contre, on doit admettre qu'Angelica ne fait pas l'objet de racisme ou bien de sexisme de la part de ses collègues américains. « vous rencontreriez un plus grand nombre de gestionnaires, de contremaîtres ou d'administrateurs mexicains qualifiés. À l'époque, trouver des ingénieurs ou des secrétaires bilingues, c'était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. » Est-ce que le problème ne serait pas plutôt qu'on sent que la main-d'oeuvre mexicaine hautement qualifié est plus rare donc ont leur ferait moins confiance pour prendre des décisions ou même de prendre

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