Paris, là où les affaires marchent le mieux
Étude de cas : Paris, là où les affaires marchent le mieux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar livreadd • 13 Mars 2013 • Étude de cas • 621 Mots (3 Pages) • 1 240 Vues
Paris là ou les affaires marche le mieux. Facilité à se faire connaître.
- Entreprise crée en 1990, elle a su s’adapter aux évolutions du marché de l’agriculture pour rester solide face à ses concurrents.
- L’entreprise a obtenu la certification ISO 9001 et ses avancées technologiques lui ont permis d’asseoir sa notoriété dans le monde agricole français et européen.
- Le chiffre d’affaires de l’entreprise à l’export représente 43% de ses ventes globales ; il est constitué par une clientèle polonaise, allemande et italienne.
- Le chiffre d’affaire de l’entreprise s’élève à 22, 000,000 euros ce qui nous démontre que la production et la commercialisation de machines agricoles dans plusieurs pays du monde est rentable.
- La responsable export, madame Durandowski est native de Varsovie, là bas l’anglais est devenue une langue obligatoire. Sa formation de base est l’agronomie, elle a 5 ans d’expérience à l’INRA
Données sur la Nouvelle-Zélande
10ème économie mondiale devant le Brésil et en croissance régulière et forte, l'ensemble Australie Nouvelle-Zélande représente un marché développé au sein de la région Asie-Pacifique, très ouvert et dont la propension à consommer est forte. Les opportunités sont nombreuses et concernent tous les secteurs, notamment les biens de consommations. La distance n'est plus un frein aux échanges. L'Union européenne, avec plus de 20% de part de marché, est, de loin, le premier fournisseur de l'ensemble.
. LE RENOUVEAU DE L'AGRICULTURE ET DE L'ESPACE RURAL
1. La restructuration de la production
Durement secouée par la réforme -cela a été signalé précédemment- mais forte de ses grands atouts naturels, l'agriculture néo-zélandaise s'est modernisée et diversifiée. Elle est redevenue sans aucun soutien public le fer de lance de l'économie nationale sur le marché mondial. De l'avis de la quasi totalité des observateurs, elle sort régénérée de l'épreuve. A tel point que les agriculteurs eux-mêmes considèrent aujourd'hui que 1984 a constitué pour eux un choc salutaire 38(*).
La structure de la production agricole a évolué. On constate un net abandon des activités d'agriculture pastorale traditionnelle, à qui était destiné l'essentiel des soutiens.
Entre 1995 et 2005, la production ovine -premier bénéficiaire des aides- a diminué de près de 40 %, tandis que la production laitière et bovine progressait.
Parallèlement, l'éventail des activités d'élevage s'est élargi. Autruches, caprins et cervidés -dont la chair et les bois réduits en poudre bénéficient d'un marché porteur en Asie- côtoient maintenant, bien qu'en plus petit nombre, moutons et vaches dans les campagnes.
Ayant connu un fort développement, la production de fruits et légumes, longtemps limitée, représente désormais 14 % de la production totale en valeur et s'exporte remarquablement bien, notamment vers le Japon.
La viticulture est également en plein essor et les atouts vinicoles de la Nouvelle-Zélande commencent à
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