Les PME face a la mondialisation

Les PME face à l’internationalisation

La note de synthèse qui suit à été rédiger à partir de cinq documents :

• Article de Béatrice COLLON dans « les Echos » : La diversité culturelle un atout pour créer, innover et entreprendre ;

• Projet de conférence d’Olivier TORRES : Face à la mondialisation, les PME doivent mettre du territoire et de la proximité dans leurs stratégies de globalisation ;

• Article de Karim TRABELSI dans « érudit » : Interculturalité et pérennité des partenariats interentreprises : le cas des alliances stratégiques internationales ;

• Article d’Anne BARTEL-RADIC dans « érudit » : La compétence interculturelle : état de l’art et perspectives

• Interview de Dominique BRUNIN dans « TV5 monde »

Au cours de ma lecture, j’ai découvert que les 5 documents parler de la diversité culturelle sous différents aspects : mondiale, locale, alliances, individuelle et française, on remarquera que ce sujet n’a pas encore révélé tout ce qu’il avait révélé mais que c’est un sujet d’avenir. J’ai décidé de traiter à la suite de ça le cas de la France en particulier : comment s’est-elle adaptée à la mondialisation.

L’idée principale traitée par ses 5 documents est la diversité culturelle, qui est définie par Béatrice COLLIN comme un développement international qui oblige l’entreprise à opérer dans des environnements culturels différents, à découvrir de nouveaux mondes, à rencontrer la diversité sous de multiples facettes : diversité des marchés, des clients, des fournisseurs, des partenaires, mais aussi des personnes avec lesquelles l’entreprise entre en relation ou qu’elle intègre dans son organisation.

Dans chacun de ses documents la diversité culturelle est abordée différemment, tantôt à travers une entreprise, tantôt à travers une seule personne, tantôt à travers des structures, tantôt par apprentissage. On peut traiter la diversité culturelle à l’aide de bien des sujets, nous allons essayer de toute les rassemblées. En effet en premier lieu la diversité culturelle est expliquée comme un levier d’innovation et de créativité.

Le projet de communication d’Olivier TORRES chercheur à l’ERFI, nous explique, en France, que lorsqu’une multinational, par exemple, s’installe sur un territoire français, elle déclenche souvent un effet de motivation auprès des autres entreprises locales. Lors de son installation elle choisit un lieu précis, souvent proche d’un aéroport ou de voies rapides de transport, afin de pouvoir avoir une bonne distribution. Mais elle met aussi en place des moyens de communication pertinents lors de son installation comme la fibre par exemple, si cette dernière n’est pas encore mise en place. Les PME alentours peuvent profiter de ces mises en place, pour avoir des accès plus pertinents. Elles peuvent également bénéficier à l’occasion d’opération de portage qui leur permettent d’avoir des contacts et des missions ponctuelles avec l’international. Ce qui leur permet d’avoir une expérience dans l’internationalisation. L’entraide aussi est très importantes dans ce genre de situation, car les premières PME à passer à l’international, pourront aider ou conseiller les autres PME dans toutes les démarches. Plus les PME seront internationalisées, plus les procédures paraîtront anodines. Seulement ce ne sont pas que des entreprises qui travaillent ensemble, si on prend l’exemple de Montpellier, les PME sont également aidées par les facultés pour que le corps enseignant puisse former au mieux les futurs employés des PME. Mais également de centre de recherche qui partage leurs résultats avec les PME, afin de pouvoir leur faire bénéficier de leurs dernières avancées. Ainsi les PME à Montpellier bénéficie d’un écosystème qui leur permet d’avoir accès à des infrastructures et à des informations dans un périmètre très restreint. Tout est mis en place pour pousser l’entreprise à la création et à l’internationalisation. Ici la diversité culturelle est abordée sous la forme locale, en montrant que différentes structures, n’ayant pas forcément les mêmes fonctions peuvent avancer ensemble dans un but commun.

L’article de Karim TRABELSI aborde la diversité culturelle entre deux entreprises à travers le cas des alliances entre entreprises de différentes nationalités, donc aux cultures différentes. Il nous dit que l’éclectisme culturelle à une ressource immatérielle à exploiter et une source d’avantage compétitif. Ce qui signifie que si on prend le meilleur de ce que peut nous offrir notre allié et qu’on l’assemble harmonieusement avec notre mode de fonctionnement, cela permettra à l’alliance d’être pérenne et d’avoir des avantages de créativité et d’innovation indéniable par rapport à la concurrence. L’alliance permet aussi un panel d’apprentissage, les deux sociétés ont beaucoup à apprendre l’une de l’autre que ce soit au niveau du management jusqu’à l’apprentissage de méthode de travail.

Même si la diversité culturelle peut nous apporter beaucoup, il est difficile de la manager et de la pérennisé. C’est pour cela que beaucoup de nos documents traite des inconvénients de sa mise en place, de son management et nous apporte des conseils. Dominique BRUNIN délégué général de la CCI International Association, dans son interview, nous explique que les entreprises ont un réel manque de formation sur la diversité culturelle, en effet les PME souhaitent avoir accès à des informations sur les autres pays, sur leur marché et aussi leur potentiel. Elles demandent que les démarches administratives soient simplifiées ou beaucoup mieux expliqué pour pouvoir exporter ou s’implanter à l’international. On remarque que de nombreuses sociétés ont envies de s’internationalisé mais que plusieurs freins leur empêche de pouvoir le faire aussi facilement qu’elles le souhaiteraient, c’est-à-dire avec peu d’informations à leur disposition et des procédures lourdes.

Karim TRABELSI ne parle pas que des avantages de l’alliance dans son article, en effet il parle aussi des inconvénients. Si dans l’alliance chacun souhaite garder sa propre culture sans essayer de s’adapter à l’autre, et que chacun reste sur ces positions. Cela devient alors un cas critique car il ne peut y avoir aucun débat, chacun reste sur ces positions, les prises de décisions sont ainsi considérablement lentes à prendre. L’alliance se retrouve en danger car les alliés se méfient l’un de l’autre, il n’y a donc aucune entente

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