ADM 1013, travail noté 2
Cours : ADM 1013, travail noté 2. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar iriam • 31 Juillet 2018 • Cours • 725 Mots (3 Pages) • 902 Vues
Travail noté 2
Série 10
1. Résumé des faits
Une usine d’installation de câbles électrique se retrouve avec des problèmes financiers. Elle compte une petite équipe d’ouvriers dirigée par un directeur et un contremaître de l’atelier nommé Gaston. Le directeur a accepté un contrat de la compagnie Atlantique Électronique. Il a pris la décision d’accepter ce nouveau contrat sans consulter ses employés ni sans être sûr que l’entreprise pourrait maintenir la cadence de production exigé pour remplir les termes de la production au fin de ce quota. Ce contrat est primordial puisque si l’entreprise ne peut pas le respecter, le directeur devra renvoyer quelques ouvriers. « Ce nouveau contrat est vital. Si on ne peut le remplir, on devra congédier quelques ouvriers .» (Middlemist & Hitt, 1981). Or, pour garder l’entreprise à flot et respecter les délais de livraison, ils doivent maintenant réaliser le câblage de huit appareils/heure ce qui créé du mécontentement chez les employés par ce nouveau quota. Prenons l’exemple de Paul et Denis qui discute avec deux autres collèges lors d’une discussion sur l’heure du midi. Paul lance : « C’est de l’exploitation… Quand je suis arrivé ici il y a cinq ans, nous étions supposés faire le câblage de trois appareils à l’heure. Maintenant, il faut en faire huit. Ils ne me paient pas beaucoup plus pour autant. Je pense que c’est dégueulasse. » (Middlemist & Hitt, 1981). Denis, le timide, est du même avis et laisse même paraître son anxiété à propos de cette situation : « Je ne suis pas sûr d’y arriver même si j’essaie, et je suis diablement certain de ne pas vouloir essayer. » (Middlemist & Hitt, 1981). Jacques, un des employés, signale qu’il avait parlé avec un ingénieur qui a reproduit un gabarit qui permet de placer des connexions facilement, j’ai gagné 6 minutes au premier montage, cette méthode fonctionne très bien. Il croit que certains employés vont perdre leur emploi s’ils augmentent la production, « bien sûr, je suis retourné voir le gars et je lui ai dit que ça ne marchait pas. Je ne veux absolument pas en faire huit, ça ne va aider aucun d’entre nous si nous faisons. » (Middlemist & Hitt, 1981). La nouvelle demande de la direction ne passe pas auprès des employés, ils ne sont pas motivé et semble avoir une perception négative de la direction pour croire que ceux-ci veulent les exploiter. Par ailleurs, les employés semblent croire que si Jacques n’est pas en mesure de câbler huit appareils/jour, l’entreprise n’exigera plus ce nouveau quota. Steve affirme que : « je me sens beaucoup mieux, je ne crois pas que les patrons nous embêtent si un vieux pro comme Jacques ne peut même pas en faire huit. » (Middlemist & Hitt, 1981). De son côté, Gaston, le contremaître, doute de la capacité de son équipe à atteindre les quotas demandés. Lors d’une rencontre avec le directeur qui lui demande si l’usine pourra remplir son engagement, il lui expose sa pensée : « Honnêtement, je ne sais pas. Les gars ont augmenté leur cadence, mais je ne crois pas qu’ils puissent faire mieux que si et demi, peut-être sept. […] Peut-être qu’en ajoutant une prime au rendement cela marcherait, mais je n’en suis pas certain. » (Middlemist & Hitt, 1981). Mais vu les problèmes budgétaire de l’entreprise, cela ne semble pas possible. « On ne peut faire cela. Les coûts sont déjà trop élevés » (Middlemist & Hitt, 1981). Le directeur dit qu’ils ont déjà assez de problèmes budgétaires sans cela... « Retourne à l’atelier et pousse-les à travailler davantage. Je vais avertir Atlantique Électronique qu’on va satisfaire à notre engagement. Tu dois amener tes hommes à réussir. » (Middlemist & Hitt, 1981). En bref, les ouvriers doivent fournir un rendement plus important, mais y résiste craignant la mise à pied de certains. Pourtant, c’est ce que la direction compte faire si le rendement ne répond pas à ses attentes, l’entreprise ne sera pas en mesure d’honorer son contrat et que les finances se porteront encore plus mal qu’elles ne le sont déjà.
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