SVT Sismologie

Sarah                                                  DM – SVT :                                                 1S1

Drouet

[pic 1][pic 2]

Etape 1 :

Pour montrer que la quasi-totalité du globe est solide, je vais utiliser le logiciel de simulation de séisme et d'enregistrement de données sismiques ainsi que des documents ressources donnés (aide à la lecture d'un sismogramme, hodochrone mesuré et hodochrone calculé...ect), afin de tester différent modèles de Terre (1 couches/ 2 couches...). Puis selon le modèle, je vais comparer l'hodochrone calculé produit par la propagation des rais sismiques avec l'hodochrone du temps d'arrivée des ondes P et S mesurés sur les sismogrammes.

→ Résultat : Si la quasi-totalité du globe est solide, alors il y aura une propagation des ondes S dans l'entièreté ou la quasi-totalité de l'épaisseur de la Terre.

Etape 2 :

Utilisation du logiciel Sismolog et de ses fonctionnalités selon les instructions fournies.

Résultats bruts présentés dans les documents de TP joints (PowerPoint).

Etapes 3 :

Structure du globe selon le modèle « une couche » (+ rais sismiques correspondants) :

[pic 3]

Ondes S                                                                                                Ondes P

Profil de vitesse des ondes P et S associé au modèle « une couche » :

[pic 4]

D'après ce profil de vitesse je peux en déduire la courbe d'hodochrone du temps de propagation des ondes P calculée

→ [pic 5]

Comparaison des courbes hodochrones calculée et mesurée dans le cas du modèle « une couche » :

[pic 6]

Grâce aux données de l'hodochrone je peux comparer la courbe des ondes P calculée selon le profil de vitesse du modèle à « une couche » avec la courbe de temps d'arrivée des ondes P mesurés sur les sismogrammes.

→ Je remarque que l'hodochrone calculé et l'hodochrone réel sont différents, les ondes P ont un temps d'arrivée différentes entre elles, donc le modèle « une couche » n'est pas validé.

Structure du globe selon le modèle à « deux couches » (+ rais sismiques correspondants) :

[pic 7]

Profil de vitesse des ondes P et S associé au modèle « deux couches » :[pic 8]

Comparaison des courbes hodochrones calculée et mesurée dans le cas du modèle « deux couches  » :[pic 9]

Grâce aux données de l'hodochrone, je peux voir que la courbe réelle de temps d'arrivée des ondes P mesurés sur les sismogrammes n'est pas exactement identique aux prédictions de la courbe du modèle calculée selon le profil de vitesse du modèle à « deux couches »).

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