Motricité volontaire et plasticité cérébrale
Cours : Motricité volontaire et plasticité cérébrale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mathilderu • 10 Octobre 2021 • Cours • 787 Mots (4 Pages) • 416 Vues
Chapitre 14 – Motricité volontaire et plasticité cérébrale
Comment les mouvements volontaires sont-ils commandés ? Quelle est la plasticité des zones motrices au cours de la vie ?
I. La commande volontaire du mouvement
1) Le cortex moteur
Le cortex est une fine couche de matière grise d’environ 5mm d’épaisseur qui se situe à la surface des hémisphères cérébraux et il est constitué de milliard de corps cellulaire de neurones. Ces neurones sont interconnectés.
On peut étudier le fonctionnement de ce cortex (du cerveau) avec des IRM. Il en existe deux types : IRM anatomique : permet d’observer la structure fine de manière très précise.
IRM fonctionnelle : permet de montrer qu’elles sont les zones les plus actives du cerveau quand on fait un certain mouvement.
Cette technique a permis de mettre en évidence une zone du cortex spécialiser dans la commande volontaire du mouvement : cortex moteur.
Dans le cortex moteur chaque zone correspond à une zone du corps et les parties du corps qui ont une motricité fine (bouger beaucoup de manière très précise) vont occuper une place plus importante sur le cortex que les autres.
Remarque : Le cortex moteur droit contrôle la motricité côté gauche et inversement.
2) Les voies motrices
Quand on a une lésion de la moelle épinière on a une paralysie des zones qui sont situé en dessous de la lésion. Ça veut dire que les messages nerveux partent du cortex moteur circulent dans les faisceaux de neurones qui cheminent dans la moelle épinière. Ces faisceaux de neurones vont A COMPLETER
Au niveau du bulbe rachidiens on a un croisement des voies motrices, la commande motrice est controlatérale.
SCHEMA 1
II. L’activité intégratrice des motoneurones
1) La modulation du réflexe myotatique
Lorsqu’on étudie le réflexe myotatique on constate que l’amplitude de l’activité électrique du muscle (et donc l’intensité de la contraction du muscle) varie selon les conditions expérimentales. Ça nous montre que la réponse du motoneurone elle va tenir compte d’au moins deux types d’informations :
• Informations sensitives
• Informations qui viennent du cortex moteur
2) Synapses excitatrices et synapses inhibitrices schéma 2.2
Un corps cellulaire de motoneurones va recevoir des informations de plusieurs neurones, au minimum il reçoit des informations du neurones sensitif et des informations du cortex moteur, ces informations arrivent au niveau des synapses. Les synapses fonctionnent toutes de la même manière : elles libèrent des neurotransmetteurs mais elles ne libèrent pas tous le même donc il n’y a pas toujours le même effet sur le motoneurone.
Il
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