Le nouvel iPhone

Plan de développement

Le nouvel iPhone :

- couverture médiatique

- segmentation de ciblage

- stratégie de conquête des marchés

II. Une noria économique

- un marché polarisé

- exemple : l'iPhone, "arme de distraction massive" (pourquoi ?)

- sous traitance (essor, prospérité des PME)

III. L'effet boomrang

Personne n'est immunisé contre la volatilité du marché.

Noria : système qui monte et qui descend.

Un fleuron , produit phare : à flagship

Dans Discruption, paru en ligne dans le New Times en 2013, Nick Bilton avance que les derniers nés du boom internet que les artisans de la révolution numérique ne sont plus assurés de leur survie sont sur la brèche, vu l'évolution frénétique du marché des micro technologies.

À cœur du tourbillon médiatiques qui agite la Silicon Valley, de simples avatars de l'iPhone 5, sont très attendus par les inconditionnels de la marque, mais ils pourraient aussi sceller le destin des concurrents et les partenaires d'Apple, partie à l'assaut de marchés émergents.

À chaque innovation, même légère, annoncée en grande pompe pr son PDG, Apple resserre l'étau autour des autres vendeurs d'outils multimédia, condamné à produire ou à périr. Polyvalent, interactif, séduisant en diable pour les jeunes adultes, le nouvel iPhone incarnation de cette "destruction créative", bouscule tout, jusqu'au marche de l'automobile.

Fossoyeur pour les uns, aubaine pour les autres, le phénomène Apple révèle l'excessive polarisation du marche. Parallèlement à l'agonie d'anciens leaders (Nokia, blackberry) l'App-store assure la prospérité (to thrive) d'une myriade de sous traitants qui conçoivent des applications pour smartphone.

Cette entropie systématique, qui s'emballe vécu la révolution numérique et la baisse des des coûts de production, à cependant de soi donner des sueurs froides aux géants de l'octroi que comme Apple, eux-aussi menacés, à terme, par la volatilité du marché. De la création à la destruction, il n'y a, effet, qu'un pas.

Conclusion a connotation commerciale :

Donc, si l'extrême volatilité des marchés n'épargne personne, pas même les géants du secteur hight-tech, elle favorise aussi l'émergence des PME et des start-up qui, lorsqu'elles parviennent à s'adapter à l'implacable tyrannie du libéralisme économique, peuvent bénéficier des retombées du marché, comme ces pluvians du Nil qui nettoient les fend des crocodiles.

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