Exercice sur la biodiversité, résultat et étape de l'évolution
Étude de cas : Exercice sur la biodiversité, résultat et étape de l'évolution. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar emmafrnd13 • 27 Février 2021 • Étude de cas • 1 204 Mots (5 Pages) • 923 Vues
A partir de l’étude des documents, décrivez l’évolution des populations de Geospiza Fortis sur l’ile de Daphné́ Major au cours du temps, PUIS proposez une explication aux modifications observées.
J’observe dans le texte que l’exercice 1 parle de l’espèce des pinsons,Geospiza fortis, qui vit dans l’archipel des Galápagos . Peter et Rosemary, qui ont travaillés sur eux, se sont aperçus que les pinsons avaient des inégalités morphologiques et qui sont déterminés par un gène : le Bmp4 avec plusieurs allèles. Elles s’aperçoivent à la taille et la forme du bec comme le dit le texte “Ils ont remarqué́ chez cette espèce une variabilité́ de la dimension du bec et en 2002, ils ont identifié́ un gène, Bmp4, dont il existe différents allèles, et qui détermine la forme et la dimension du bec. ”
Ils existent deux différents spécimens de Geospiza fortis : les Geospiza fortis à petit bec et les Geospiza fortis à grosbec. Les Geospiza fortis à petit bec ne mangent que de petites graines tandis que les Geospiza fortis à gros bec se nourrissent avant tout de grosses graines.
D’après le document sur la variation de la disponilité en graines durant les années de sécheresse,Peter et Rosemary ont fait une représentation graphique sur la taille et dureté des graines au cours du temps. En tant normal, la taille et dureté des graines est particulièrement petite est lors d’une sécheresse sa taille et dureté accroient subitement puis à la fin de cette sécheresse, sa taille et sa dureté retrouve sa taille initiale.
En effet, d’après le document sur la variation de la biodiversité des pinsons, les Geospiza fortis à gros bec étaient minoritaire face aux geospiza fortis à petit bec en 1975. Mais en 1976 et 1977, il y a eu une grande sécheresse puis en 1978, les Geospiza fortis à gros bec ont soudainement été majoritaires face aux Geospiza fortis à petit bec. En 2003, une nouvelle espèce de pinson qui ne mange que les grosses graines est apparu sur cette île alors que les Geospiza fortis à gros bec étaient majoritaire. Et en 2004 et 2005, une sécheresse s’est abattu sur l’île. Après, en 2006, les Geospiza fortis à gros bec sont devenus minoritaire face aux geospiza fortis à petit bec.
Or je sais que d’après ce que j’ai étudié en cours, que la sélection naturelle est un processus d’évolution où, un individu va être capable de modifier, au fil des générations, ses caractères pour la survie et pour pouvoir bien se reproduire grâce, par exemple à la mutation (changement d’allèle) et à la radiation adaptive qui est le suivi de la diversification d’autres espèces survivantes. Cette sélection naturelle se passe seulement s’il y a un événement qui arrive comme à cause de conditions environnementales. La dérive génétique est le changement de la biodiversité génétique au cours des générations. Je sais aussi qu’une espèce va diminuer même si elle n’a pas les besoins requis pour se nourrir.
Donc je déduis que, avant la sécheresse en 1975 , c’étaient les geospiza fortis à petit bec qui étaient majoritaires car, la taille et la dureté des graines étaient moyennement faibles donc c’était les geospiza fortis à petit bec qui avaient le plus à manger. Mais, lors de la sécheresse en 1976 et 1977 ;et après la sécheresse en 1978, la taille et la dureté des graines a augmenté donc, logiquement, les geospiza fortis à petit bec n’avaient plus de quoi manger donc beaucoup d’entre eux sont morts alors que les les Geospiza fortis à gros bec ont doublé, même triplé car la taille et la dureté des graines étaient adapté à leur besoin nutritif. En 2003, les Geospiza fortis à gros bec étaient toujours majoritaire mais, une nouvelle espèce de pinson est apparu sur l’île sachant que qu’elle ne se nourrit que de grosses graines . J’en déduis que c’est la descendance des Geospiza fortis à gros bec et des Geospiza fortis à petit bec parce que, il y a eu la sélection naturelle, et avant la sécheresse en 1975, le petit bec était plus avantageux que le gros bec donc c’était le caractère héréditaire donné aux générations suivantes mais après la sécheresse, avoir un gros bec était plus avantageux que le petit bec donc c’est ce caractère héréditaire qui a été donner aux générations suivantes. Malheureusement pour les Geospiza fortis à gros bec, leur descendance mange toutes leurs graines et il ne leur reste plus rien. Après la sécheresse de 2004-2005, les Geospiza fortis à gros bec sont devenus minoritaires aux les Geospiza fortis à petit bec et je pense que c’est le cercle sans fin de la vie !
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