Agriculture et biodiversité naturelle.
Étude de cas : Agriculture et biodiversité naturelle.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar coco_r2000 • 25 Avril 2016 • Étude de cas • 754 Mots (4 Pages) • 886 Vues
Agriculture et biodiversité naturelle
Aujourd'hui nous allons évoqué comment la biodiversité naturelle.
Nous savons que dans l'agriculture et la biodiversité naturelle les êtres vivants que nous pouvons observé sont dans la terre. Nous avons fait une expériences dans deux champs différents, un champ de mais et d'une prairie est nous avons pris le nombre d'individus par m2. Cette faune du sol contribue grandement au recyclage des matières organiques et dans l'oxygénation du sols se qui contribue a la fertilité des sols. Les champs cultivables sont labouré pour préparé le sols aux cultures, mais celle-la déstabilise la vie dans le sol. Nous pouvons constatés que dans les pâturages on 100% de proposition d’espèces de mammifères introduites par l'homme contre environs 3 espèces de mammifères différentes, et pour les broussaille il y a 50% de proposition d’espèces de mammifères introduites par l'homme contre environs 6 espèces de mammifères différentes . Pour les lieux facile d’accès les hommes introduises plus d'animaux pour pouvoir les nourrir est sans occupé (on peut les appelé animaux domestique car ils vivent quand contacte avec les homme). Pour les forets il y a moins d'animaux introduits par les hommes par exemple les forets d'origine il a 30 espèces de mammifère différente et d'environs 1% de proportion d’espèces de de mammifère introduites par l'homme et 10 espèces de mammifère différente d'environs 3% de proposition d’espèces de mammifères introduites par l'homme.
Pour conclure je dirais que l'agriculture provoque une diminution de la biodiversité naturelle sur les surfaces cultivées et donc sur la planet.
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Agriculture et agrocarburants
Maintenant nous allons évoque agriculture et agrocarburants.
Tout d'abord il faut savoir que l’agrocarburant et un carburant obtenu a partir de végétaux comme le palmeraie. Certaine foret sont abattue pour faire du carburant comme en Indonésie, celle-ci était proche d'un parc qui abrité l'une des dernières population d’orangs-outangs. La foret ou sont plantés
les palmiers a était récupérés sur une parti du parc, cette huile est utilisé comme carburant. Nous pouvons observés plusieurs utilisation de d’agrocarburants ou biocarburants avec le colza, le tournesol, palmier a huile on fait du BIODIESEL; avec la betterave sucrière, canne a sucre, blé on fait du BIOETHANOL; avec le bois on fait du BIOMETHANOL. L'agrocarburant de 1975 à 2005 a fait que de croître en 1975 l'agrocarburant était à 0 million de litre par an et en 2005 l'agrocarburant était à 45 000 millions de litre par an.
Pour conclure nous pouvons constatés que l’agrocarburant va prendre une grande partie des culture qui ne pourrons pas être exploité pour l'alimentation humaine.
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Avec les information que nous avons réunis nous allons pouvoir répondre a la question comment la protection de la biodiversité naturelle ou la production d’agrocarburants peuvent entre en concurrence avec l'alimentation humaine.
La protection de la biodiversité est un frein pour l'agriculture car il permet aux animaux de se reproduire en masse dans le car dans un champ cultivé nous pouvons observé que pour que pour 1m2 on constate 1000 insectes, 41 lombrics, 10000 acariens, et 10000 collemboles contre pour un terrain non cultivé 4500 insectes, 97 lombrics, 40000 acariens, et 20000 collembole nous pouvons voir que sur un terrain protégé il y a plus d’êtres vivants. Si les animaux sont dans le sols ils servent au recyclage de la matière organique et aussi a sont oxygénation et il contribue donc a rendre fertiles le terrain. Si les terrains sont protégés il ni a pas d'agriculture donc pas d'alimentation humaine se qui entraîne cette concurrence. Pour la production d'agrocarburant elle fait que d'augmentée on peut le constaté car en 1975 il y avait 0 million de litre ais en 2005 celle-ci à augmenté fortement jusqu'à 45 000 millions de litres et nous prévoirons la continuité de cette augmentation. Si la surface cultivée n’augmente pas, cette production non alimentaire entre en concurrence directe avec les production alimentaire. Dans de telle condition, si le fort développement continue il risque de conduire à une baisse mondiale.Comme nous pouvons le constaté avec l'estimation faite pour la baisse du nombre de calories alimentaires disponibles d'ici 2020 dans le monde par exemple en Asie de l'Est celle-ci est de -4%, l'Europe et Asie centrale -5%, Amérique latine -8%, l'Afrique du Nord -6% et pour l'Amérique du Nord -4%.
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