Synthèse corps naturel corps artificiel

AGUILLON

CHARLES

NRC 2

Synthèse de document

« Le corps est l’une des données constitutives et évidentes de l’existence humaine : c’est dans et avec son corps que chacun de nous est né, vit, meurt ; c’est dans et par son corps qu’on s’inscrit dans le monde et qu’on rencontre autrui ». Michela Marzano paru dans la Philosophie du corps

Le libellé nous propose 4 documents différenciés qui traitent du corps naturel, corps artificiels. Ceux-ci donnent une image qui n’est pas la même pour tous.

Comment se présente et évolue l’amélioration du corps ?

Pour répondre a cela, nous verrons dans un premier temps les miracles que la science peut faire naître, pour poursuivre dans un second temps avec le côté obscur de la réparation du corps, et enfin nous terminerons avec la modification du corps : source d’amélioration et d’avenir

Tout au long de notre vie, nous avons pu voir que la science n’a pas arrêté d’avancer et de s’améliorer. Toute la période du IIème millénaire s’orienter vers le traitement des maladies. Cependant c’est au début  du IIIème millénaire, que la science s’oriente vers les transplantations d’organes et donc la modification du corps que nous pouvons qualifiés de miracle corporel.

Nous pouvons donc voir que la science permet aujourd’hui de remplacer des organes abimés ou détruits par d’autres artificiels ou greffés. C’est ce que nous explique Fabien Soyez dans son extrait prénommé « Implants, prothèses, organes artificiels… jusqu’ou réparer le corps » paru le 31 mars 2016. En effet, celui-ci émet le fait que la transplantation cardiaque est dorénavant réalisable (impressions 3D…), et que les différentes prothèses sont une combinaison entre l’électronique et le mécanique. Ceci est notamment souligné et soutenu par l’extrait de Maylis de Kerangal, « réparer les vivants » paru en 2014 dans Verticale, car celui-ci raconte avec précision la transplantation cardiaque réussit de Claire (avec le cœur de Simon). Dans l’extrait de l’universitaire Jérôme Goffette nommé « De l’humain réparé à l’humain augmenté : naissance de l’anthropotechnie » il est précisé que l’autogreffe est possible afin d’améliorer sa force, mais aussi la création de prothèses bioniques greffés au corps. Cette extrait s’ajoute donc aux deux précédents. De plus, ce terme de remplacement d’organe abimé par d’autre artificiel est illustré par l’image de Frida Kahlo « la Colonne brisée » car nous pouvons voir une Dame avec une colonne vertébrale brisé après un accident et qui est soutenu par un corset métallique.

Grâce a ces nombreux progrès, le principe de réparer son corps prend toute sa signification et permet de prolonger son existence. Ceci est mit en exemple avec le texte de Fabien Soyez, car il est stipulé que les soldats américains se faisaient greffés des membres artificiels suite aux guerres (Vietnam, Afghanistan…), permettant de compenser leurs handicaps. Ce principe de prolonger son existence est remis en exemple avec l’extrait de Maylis de Kerangal, car le corps de Claire se remet a fonctionner grâce au cœur de Simon. Ceci étant aussi montrer dans le tableau de Jérôme Goffette car ’il nous évoque le fait qu’il est possible de faire des pratiques anti vieillissement et donc d’accroître son espérance de vie avec différentes opérations. Enfin l’image de Frida Khalo nous plonge dans une allégorie de la douleur physique mais qui fait naître un art qui devient le sujet de son œuvre.

La réparation du corps nous permet de continuer a vivre, cependant celle-ci peut avoir des contraintes, car nous savons que réparation du corps ne rime pas forcément avec esthétique et bienfait, nous parlons donc du côté obscur de la réparation du corps.

La réparation du corps peut parfois créer une autre forme de blessure. Par exemple, dans le tableau de Jérôme Goffette, il est stipulé que pour avoir une intelligence et force plus avancé il faut avoir recours au dopage. Cependant, le dopage a des effets secondaires comme des saignements de nez, dépendance, trouble du corps, cancers… De plus l’image de Frida Khalo appuie l’idée de Jérome Goffette car nous pouvons voir que le corps de l’artiste est réparer mais l’exhibition de sa partie métallique montre la blessure, en effet, il y a des clous qui transpercent le corps symbolisant la souffrance et l’allégorie de la douleur spirituelle (douleur d’avoir subis cela, blessure corporel et mental).

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