La peur du malade est-elle légitime ?

→ La peur du malade est-elle légitime ?

• La peur du malade : la peur qu’éprouve le malade (l’appréhension) et la peur qu’inspire le malade (à l’entourage et au médecin, comme par exemple son énervement)

→ médecin qui ne réussit pas, de tomber malade/incapacités, de la mort, des effets secondaires/traitement, de la douleur

• Légitime : ce qui est fondé sur une raison véritable (justifier, compréhensible, rationnelle)

→ la psychologie du patient intervient ici, n’est pas dictée que par les données acquises de la science

Souffrir, incertitudes de la médecine, peur de l’inconnu, risques (iatrogénie, aléas thérapeutiques), erreurs : Médiator, PIP, contamination VIH pour les hémophiles, changements dans ma vie, médecine basée sur relation de confiance et si on voit seulement le remplaçant de notre généraliste on peut avoir des doutes

• Pas légitime : 4 points → sécurité, formation, santé publique

Espérance de vie, encadrement législatif, encadrement de la médecine (CD), dans touts les cas le médecin saura trouver une solution au problème

Solutions :

Aspect + du négatif, il ne faut jamais minimiser la peur du patient

Délicatesse qu’il faut avoir son patient (VENET), la gestion de la peur doit être au cœur de la relation médecin/malade, une base à/p de la quelle on peut singulariser

(Pour ne pas se répéter : utiliser la notion de compréhensible, sans enlever le justifier. Néanmoins tout est fait aujd pour ne pas augmenter la peur)

(Tout à fait le genre de sujet qui comprend une idée et une notion compliqué)

Solutions à poser : utiliser la peur pour créer la rel m/m

Jamais de solutions ailleurs que dans III

• NTMQ la peur du malade est naturelle mais elle doit être contrôlée et utilisée pour contrôler et améliorer la relation de soin

• Intro : Définir la peur qu’éprouve le malde et citer les autres types de peur

La peur du malade peut etre la peur qu’il érpouve ou la peur qu’il inspire

Dans notre dissertation nous parlerons avant tout de la peur du malade.

1. La peur du malade semble légitime

1. La peur de la maladie

Hôpital est un milieu anxiogène, on s’en remet entièrement à des inconnus et on est dans une situation de grande vulnérabilité, on ne sait pas ce que l’on, on a peur de souffrir, on a peur du pronostic, comment va-t-on annoncer à sa famille que l’on a une maladie ? qu’est ce que ca va changer dans ma vie perso, travail ?

→ Première impression : incertitude

Arrière plan ou l’on est au courant des erreurs médicales et des scandales actuels

On médiatise beaucoup ce qui se passe mal en médecin et forcément le patient y pense d’autant qu’on observe aussi un phénomène qu’on appelle la non linéarité du parcours de soin. Il y a des ruptures, le médecin envoie le patient à un spécialiste qui l’envoie faire des examens et la multiplication des interlocuteurs crée du stress pour le patient.

Il peut y avoir une multiplicité des infos entre les différents médecins auxquels on ne pose pas les mêmes questions et puis aussi le patient qui peut se documenter sur internet (Doctissimo).

Donc il y a des très nombreux moyens d’avoir peut qu’on est malade

Il y a des mots qui font peur : le mit cancer tue. Annoncer le patient qu’il a un cancer est très difficile.

Il ya tout un imaginaire autour de cette maladie qui rend totalement compréhensible voir justifier la peur du malade.

1. Lé médecin lui aussi est vulnérable

La singularité du patient, le faillibilisme de la science (O PERRU), la peur de ne pas réussir. En médecin il n’y pas de garantie de résultats. Il peut se tromper, il peut y avoir un aléa thérapeutique comme le rappellent Logan et Scott, en médecine seulement l’incertitude est certaine.

Il y a 3 peurs du malade que peut éprouver le médecin :

• La peur de la contagion → que tout le monde partage
• De l’erreur médicale et des conséquences judiciaires qui peuvent en découler
• La peur de la réaction du patient → peut être violente, mal à l’aise

Le médecin est lui aussi dans un état d’incertitude comme le patient

Alliance de ses 2 peurs : renforce ce climat incertain qui préside a caque consultations médicale

1. Mais cette peut est à modérer

1. On a aujd de moins en moins de raisons d’avoir peur

L’espérance de vie augmente. La médecine a fait des progrès considérables. Il y a un encadrement législatif. Des verrous de contrôle partout (check liste au bloc opératoire). Le médecin est longuement formé et même formé tout sa vie. On est donc aujd bien loin des médecins de Molière. On ne craint plus les médecins et au contraire on les voit comme la solution.

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