La GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences)
Commentaire de texte : La GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 1 Décembre 2013 • Commentaire de texte • 513 Mots (3 Pages) • 839 Vues
nition des concepts de GPEC
La GPEC, Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences, est l'anticipation et la planification de la stratégie de l'entreprise, ainsi que l'évaluation des compétences nécessaires à la réalisation du projet d'entreprise.
La GPEC, c’est construire durablement l’avenir des organisations en plaçant l’homme au cœur de la stratégie. Aujourd’hui beaucoup d’entreprises ont construit des référentiels de compétences, cependant le plus grand défi réside dans l’évaluation des compétences c’est-à-dire la mesure des écarts entre le besoin et la réalité.
Depuis janvier 2008, les entreprises de plus de 300 salariйs sont obligйes de nйgocier la mise en place d’un dispositif de GPEC.
La GPEC est en place depuis 2009 chez Auchan.
Auchan a signé, le 23 mars 2009,
Nous voyons apparaître une distinction fondamentale entre stakeholders et shareholders : les premiers reçoivent une rémunération de nature contractuelle (le salarié dispose d’un contrat de travail, la banque d’un contrat de prêt, le fournisseur d’un bon de commande qui vaut contrat), les seconds sont rémunérés avec « ce qui reste » et leur rémunération a un caractère résiduel. Ce dernier point est le fondement de l’asymétrie que nous introduirons entre les attentes de rentabilité de l’actionnaire et de la banque dans la note consacrée au calcul du coût du capital.
Le Résultat Net n’est, de loin, pas identique à la variation de la Trésorerie Nette constatée entre le début et la fin de l’exercice, notamment parce que certaines charges d’exploitation ne donneront pas lieu à sortie de fonds : il s’agit des amortissements. Lorsqu’une entreprise achète un actif destiné à contribuer à son exploitation pendant plusieurs années consécutives, elle immobilise cet actif, suivant les règles comptables et fiscales en vigueur, et affecte une proportion de son coût d’achat à chacun des exercices concernés. Le seul flux constaté est l’investissement lui-même, la reconnaissance annuelle de la charge d’amortissement étant une écriture purement comptable, parfaitement pertinente pour déterminer le coût de revient des produits, mais absente d’une approche par les flux.
Ceci conduit à introduire deux soldes de gestion davantage orientés vers les flux de trésorerie, l’Excédent Brut d’Exploitation et la Capacité d’Autofinancement.
L’Excédent Brut d’Exploitation est la différence entre les ventes et les charges d’exploitation, à l’exception de la dotation de l’exercice aux amortissements et provisions. Il s’agit, donc, d’un résultat avant frais financiers, impôts et amortissement, proche du concept d’EBITDA (Earnings Before Interest, Taxes, Depreciation & Amortization : les anglo-saxons font la différence entre amortissement des immobilisations corporelles –depreciation- et incorporelles –amortization) qui se calcule avant amortissement, mais après dotation aux provisions.
Le concept d’EBITDA a connu son heure de gloire, notamment lorsqu’il était mis en avant par les sociétés à fort taux d’EBITDA rapporté au chiffre d’affaires comme la téléphonie mobile. Il
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