Echange et réseaux sociaux
Étude de cas : Echange et réseaux sociaux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar loucha974 • 30 Novembre 2015 • Étude de cas • 556 Mots (3 Pages) • 1 663 Vues
Synthèse
Echange et partage à l’heure des réseaux sociaux
Les réseaux sociaux sont les nouveaux moyens d’échange comme on peut le constater à travers le corpus ci-présent, qui est constitué de 4 documents textuels.
Tout d’abord nous avons Pour un humanisme numérique qui est un essai écrit par Milad DOUEIHI et publié en 2012 par l’édition Le Seuil. Puis vient un article de Jérôme BATOUT, « Le monde selon Facebook » publié en janvier 2011 dans le magazine n°163, Le Débat. Interviens ensuite un … de Zygmunt BAUMAN, L’Amour liquide. De la fragilité des liens entre les hommes qui a était publié par l’édition Le Rouergue/ Chambon en 2004. Enfin vient un article de presse de Pauline DROUET « Insultée sur Facebook, une enseignante fait condamner les parents d’élève fautif » publié le 3 avril 2012 dans le journal La Vois du Nord. À travers ce corpus nous nous interrogeons sur l’usage de ses réseaux sociaux, sont-ils avantageux ou nocifs pour la société ? Nous verrons tous d’abord les points avantageux qu’ont les réseaux sociaux sur la société et par la suite les points nocifs des réseaux sociaux sur la société.
Aujourd’hui les réseaux sociaux sont un phénomène de masse voir banale, puisque comme l’indique Milad DOUEIHI dans son essai, ses réseaux sociaux sont devenus un moteur dynamique social qui favorise l’apparition d’un nouveau monde numérique qui éliminerait les différences entre personnes afin de faire naître une interface unique tout en associant une nouvelle culture.
À partir de l’article de Jérôme BATOUT on constate qu’en prenant comme exemple Facebook, le leader des réseaux sociaux, que ce phénomène dépasse les frontières des pays, il emporte un succès global. Et avec l’article de Pauline DROUET, on peut constater qu’il n’y a pas de frontière sociale non plus puisque élèves parents et enseignants sont inscrits sur Facebook.
Avec cette globalisation des réseaux sociaux, on constate que les échanges et les partages d’information sont très simples ce qui fait augmenter l’apparition de relations virtuelles. Comme nous explique l’essai de Zygmunt BAUMAN, ses nouveaux réseaux sociaux permettraient aux utilisateurs de s’épanouir sans réels soucis puisque si cette relation virtuelle n’est pas à leur gout, il ne lui reste qu’à appuyer sur la touche supprimer.
Mais ces réseaux sociaux peuvent également poser problème, puisque nos actes ne sont pas sans conséquence comme le témoigne l’article de P.DROUET, un élève qui lance un appel sur Facebook pour saccager les cours d’un professeur et qui est soutenu sur Facebook par sa mère. Cet exemple est une preuve qu’avec des échanges sur les réseaux sociaux, la diffusion de violence à une répercussions sur la vie réelle, mais il n’y a pas que la violence qui possède cette répercussion mais aussi le fait que les utilisateurs de réseaux sociaux se sentent moins engagés à travers ses échanges en lignes, comme l’explique l’article de Z. BAUMAN.
Cette globalisation de réseaux sociaux fait craindre la disparition de certaines cultures en détriment d’autres indique M.DOUEIHI, comme le fait du non-respect de la vie privée mais aussi à la non-protection du droit à l’oubli numérique.
Pour conclure, les réseaux sociaux se sont globalisés ce qui facilite les échanges et les partages d’informations mais ses échanges ne sont pas pour autant sans risque sur la vie réelle. Le monde des réseaux sociaux représente toujours un risque malgré les avantages qu’ils apportent.
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