Cyber sécurité

Presse Papier :

        Unité de sens 1 : Mise en situation de l’évenement

Dans cette première partie de l’article , la correspondante de LeFigaro Delphine Minoui a posé une mise en situation spatio-temporelle de l’attaque chimique qui a eu lieu en Syrie le Mardi 4 avril dans le village Khan Chaikhoune dans la province d’Idlib. Elle a donné une brève description des moments horribles que les citoyens ont vécus après plusieurs raids aériens successifs, les avions répandent des manteaux toxiques qui asphyxie jusqu’à la mort, d’après les premiers bilans cela a engendré la mort de 58 personnes dont 11 enfants, ces attaques ont aussi endommagés les infrastructures et les sites hospitaliers.

        Unité de sens 2 : Inertie , nonchalance et insouciance de la part des responsables

Réaction passive de la part de Damas, La Syrie fait la sourde oreille, et la Russie de son part nie le faite d’avoir mené un raid aérien dans la zone de Khan Chaikhoune, des fidèles au régime actuel ont confirmé l’inexistence d’une telle attaque chimique tout en blâmant des inconnues qui mènent une guerre d’information attaquant leurs régime.

        Unité de sens 3 : Certitude de l’existence du gaz dans les bombes , d’après des témoignages spécifiques

L’horreur dans ses pires apparats, vivaient les syriens de Khan Chaikhoune. Un Docteur dans l’hôpital d’Idlib  a affirmé dans une vidéo diffusé sur la plateforme Youtube que les patients avaient des symptômes d’une intoxication au gaz sarin, son existence selon lui est certaine. d’après lui les patients et surtout les enfants étaient dans un état critique. tout ça montre d’une façon ou d’une autre les crimes vécus par le régime d’Assad. D’autres témoins plus fiables ont confirmé que pendant ce temps, les gens vivaient dans le chaos, et la panique suprême. Même les pigeons ont été endormis à jamais par ce gaz nocif.

Unité de sens 4 : Réaction des Anti-assad et l’opposition syrienne

Crime inexcusable, comme ça l’opposition voit le massacre du « Criminel Al-Assad >>, en citant pleins de statistiques concernant les victimes d’une ancienne tuerie qui date au 2013 ou finalement un accord été trouvé avec ce régime pour détruire son arsenal chimique, cette partie voit que si le régime reste impuni, c’est la porte ouverte à d’autre dérapages, et c’est surtout fermé une fois de plus les yeux sur une violation effective des droits de l'homme .Finalement ces opposants confirme bien que la responsabilité incombe aux  gouvernements étrangers qui doivent presser sur ce régime dictateur pour cesser cette extermination de la race humain en Syrie.

        Photo 1 :

À l’instar des militaires qui mènent la guerre, les journalistes qui la rapportent le font au péril de leur sécurité et de leur vie. Ce contexte porteur de risques expose les journalistes directement ou indirectement à toutes sortes de dangers. Tout ce qui précède apparait d’une manière évidente  dans la 1ere photo ou un homme qui semble être un journaliste ou un caméraman qui malgré l’état de sécurité dans la zone et les contraintes dangereuse, son travail en parallèle avec le sens de l’humanité ont lui a poussé de tendre la main et aider en portant les corps des petits enfants morts après l’attaque au gaz toxique , cela montre aussi bien d’une autre perspective les crimes commises par le régime d’Al-assad sur son peuple. C’est une Machine-gun qui dévore l’humanité sans distinction.

...