Questionnaire sociologique /Socialisation des jeunes issus de famille, dont la structure familiale est différente du modèle biparentale classique.

Gabriela LO RUSSO

Emilie RAFFANEL

Hugo SOUQUET

Oscar FIQUET

DOSSIER SUR LE QUESTIONNAIRE SOCIOLOGIQUE

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UE : Initiation au terrain de l’enquête en sociologie

Enseignant responsable : Alexandre FABLET                                 2021-2022

SOMMAIRE :

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Choix de la thématique : Nous sommes étudiants en 1ère année de licence de sociologie à l’UT2J de Toulouse et nous étudions la socialisation des jeunes issus de famille, dont la structure familiale est différente du modèle biparentale classique. La tranche d’âge qui nous intéresse, se situe entre 10 et 18 ans. Cette notion va nous amener à la question suivante : En quoi la rupture du modèle biparentale classique pour une autre structure familiale impacte la socialisation primaire de l’enfant de 10 à 18 ans ?

Prénotions et préjugés : Depuis les années 90, la hausse des séparations des couples fait l’unanimité. La famille prend différentes formes. Les enfants et jeunes qui sont issus de parents séparés augmentent. Ainsi que la monoparentalité et la recomposition familiale, qui sont des structures familiales récentes. Ces nouvelles formes de famille auraient un impact sur la socialisation primaire des enfants qui les connaissent et en font partis. A partir de là, nous allons étudier par le biais du questionnaire, une enquête sociologique sur un phénomène : les jeunes faisant partie d’une autre structure familiale que le modèle biparental classique, pour ainsi en connaître les conséquences.

La recherche documentaire et son impact : Nous avons étudié quatre articles qui nous ont permis d’affirmer différentes hypothèses. Certains étaient sociologiques, mais d’autres nous ont donné un point de vue psychologique. Nous avons étudié la relation entre frères et sœurs au sein de la famille recomposée par exemple. Ou encore l’ajustement des enfants dans la famille recomposée. Nous avons pu constater que l’impact de la séparation du modèle biparental classique avait un fort impact émotionnel, et sur la socialisation primaire de l’enfant, et que celle-ci pouvait fluctuer en fonction du jeune individu. Certains ne vivront pas mal la séparation ou la recomposition familiale, tandis que d’autres seront bouleversés dans leur comportement à jamais. Certains auront des conséquences positives de la nouvelle forme familiale, comme une ouverture sociale, et une adaptation plus variée et facile sur les nouvelles relations sociales. Tandis que d’autres, seront plus fermés, et auront un comportement plus difficile à cerner. Ces conséquences dépendent également du soutien et de la manière dont la séparation et/ou la recomposition familiale se sera (ont) passée(s). Cela variera également en fonction de la communication et de l’attention qu’on aura porté au jeune durant la modification de la structure familiale. L’impact qu’a eu la recherche documentaire sur notre question de départ a été bénéfique. Nous avons élargi notre question de départ en comprenant la recomposition familiale, la monoparentalité, et la séparation du modèle biparental classique. Avant cela, seule la séparation se trouvait dans notre problématique. Après la lecture de  nos ressources écrites, nous avons diversifié notre sujet en comprenant également certaines nouvelles structures familiales, qui sont en pleine expansion et ont des répercussions sur le comportement social.

Question de départ et hypothèses : Nous savons que la séparation de la famille, et la recomposition familiale, sont des changements non négligeables qui impactent sur la socialisation primaire des enfants qui la connaissent. Seulement, nous cherchons à comprendre le comment. Comment celle-ci impacte-t-elle sur la socialisation du jeune individu. Nous pensons que les relations sont fortement influencées par le modèle familial. Comme les relations que nous avons, celles qui évoluent, notre aisance avec des gens que l’on ne connaît pas, etc. Seulement, au centre de la famille, les relations dans le cœur du modèle familial sont autant importantes, du fait de la considération de l’interrogé, vis-à-vis de la famille, avec les personnes avec ou sans lien de parenté.

Le modèle d’analyse :

Le talon sociologique permet une approche douce, et de faire rapidement connaissance avec l’interrogé.

Dans cette dimension de la structure familiale, on s’intéresse au modèle familial et au ressenti de l’interrogé, pour rentrer au cœur du sujet, mais sans brutalité en passant directement aux relations. On s’intéresse à la composition de la famille, et on continue de faire connaissance et d’en savoir plus sur l’interrogé. On s’intéresse également à son ressenti sur le mode de garde, pour percevoir si l’interrogé aurait aimé changer une modalité, et observer son comportement lors de la question ; comprendre si l’individu est satisfait de la situation ou non.

Dans la deuxième dimension du relationnel avec les pairs et à l’école, on s’attache aux concepts des relations extra-familiales, à l’école et les pairs en général. On observe les conséquences de la séparation sur les relations avec les amis. L’entourage qui a pu changer, des amis apparus après la séparation des parents, etc. Avant de demander ses changements, et les relations, on demande si la personne se considère sociable, et voir l’impact sur le comportement de la personne également, pour analyser si les enfants de parents séparés se considèrent sociable ou non. Ainsi que le réseau d’amis, de connaissances qu’ils peuvent avoir. On analyse également l’impact de la séparation sur les notes et la relation avec les professeurs, et sur les notes actuelles.

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