TRAGEDIE DES COMMUNS HARDIN 1968

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Introduction

Dans ce travail je  vais  parler de  l’article intitulé  la tragédie  des communes  publié en 1968 par  le biologiste américain Garrett, mais avant commencé l’analyse  de la tragédie des communes  je voudrais  vous proposer  de se focaliser sur le jeu de tic tac tow, chacun d’entre nous le savait  peut être qu’ il est assez difficile de gagner le match facilement si  les deux adversaires sont rationnel  ils vont toujours  finir  par un score nul ( personne ne va gagner) , ce qui complique le jeu et impose une ambiguïté extrême au-delà de toute solution Possible c'est-à-dire que   le problème de gagner le jeu n’admet pas une solution technique  .

La solution technique tout d’abord c’est la solution qui nécessite un changement dans les techniques et la nature de la science. Hors Hardin dans son article a concentré en particulier sur le problème de la population (la population a tendance à croître sans limite hors les ressources naturelles sont limité).la population appartient à cette classe de problèmes sans solutions techniques.

En effet le destin des ressources communes selon Hardin, au regard de l’avidité qui guide les hommes, plus soucieux d’en tirer un maximum de bénéfices que d’en partager les fruits et d’en assurer la pérennisation. Pour illustrer sa théorie, ce malthusien convaincu prend l’exemple des territoires communaux du Moyen Age : « Imaginez un pâturage ouvert à tous », commence-t-il ; autour, une communauté d’éleveurs de moutons. Comme chaque berger tire un profit individuel de ses moutons mis au pâturage, il est logiquement poussé, en ne considérant que ses propres coûts et bénéfices et non ceux de la collectivité, à augmenter son troupeau, et ce sans limite, ce qui conduit au surpâturage : l’herbe commence à manquer puis disparaît, les élevages périclitent, la communauté s’appauvrit…. Voilà bien la tragédie : « La destination vers laquelle chaque homme se hâte est la ruine, chacun poursuivant son propre intérêt dans une société qui croit à la liberté des biens communs

De plus   lorsqu'un bien est partagé entre plusieurs exploitants, plus les exploitant augmentent leurs propres exploitations, plus la capacité de production du bien de base diminue. Par exemple, des pêcheurs utilisent un étang pour pêcher. Au fur et à mesure, ils décident tous de mettre plus de lignes. Chacun va alors plus pêcher de poissons, ce qui semble normal. Mais la pêche étant trop intensive, les poissons n'auront pas le temps de se reproduire et il n'y aura bientôt plus de poissons.

Hors pour les économistes, une idée étouffant a longtemps prédominé et sous-tend encore Bon nombre d’analyses : laissez une communauté gérer des ressources en accès libre, et vous Aboutirez à la destruction de ces dernières.

Enfin on se demande si on peut calquer cette théorie à tous les autres scénarios où le partage d'un bien commun est possible ? (Par exemple pour expliquer le problème de pollution)

ILUSTRATION DE LA TRAGEDIE DU COMMUNS DANS LA VRAI VIE :

La tragédie des communes est une situation où les joueurs coopèrent ou tout le monde perd, mais chaque individu a intérêt à ne pas coopérer. Aussi connu comme le « dilemme du prisonnier », voici un échantillon Tragédie of the Commons :

 Les agriculteurs paissent leurs vaches sur une zone herbeuse commune appelée la Chambre des communes. Les communes peuvent soutenir 100 vaches. Cent agriculteurs apportent chacun une vache, et la bonne alimentation. Mais chaque agriculteur pense : « Si j'apporte une vache supplémentaire, elle double tout mon revenu et met seulement un drain de 1% sur la Chambre des communes." Tous les 100 agriculteurs pensent que cela, tous apportent une vache supplémentaire, et 200 vaches sur pâturer rapidement les communes. Il meurt complètement, et ensuite, tout comme les vaches, suivies par les agriculteurs.

Pour mieux comprendre comment la tragédie des communs fonctionne je vous propose d’analyser les exemples suivants ;

• Pigeons voyageurs

Lorsque les Européens sont arrivés en Amérique du Nord, pigeons voyageurs ont migré à travers le ciel en grand nombre. Comme les colons répartis plus loin dans le continent, ils ont commencé à défricher les forêts que les pigeons passagers habitées (détruisant l'habitat des oiseaux) et finalement commencé à chasser les pigeons pour la nourriture. Au milieu des années 1800, ils ont pris un nombre massif de pigeons dans les filets et vendus les oiseaux dans les villes comme une ressource alimentaire.

En 1870, presque tous les pigeons voyageurs avaient été tués; limites de chasse ont été adoptées dans les années 1890, mais à ce moment, la population passager pigeon ne pouvaient pas récupérer. Le dernier pigeon voyageur connu (en captivité dans un zoo) est mort en 1914, complétant l'extinction d'une espèce en raison des pratiques de chasse non durables.

• Océan gyres à ordures

L'océan est un excellent exemple d'une ressource partagée qui peut facilement être abusé et dégradé parce qu'il est partagé par beaucoup de nations différentes. Aucune autorité unique a le pouvoir d'adopter des lois qui protègent l'ensemble de l'océan. Au lieu de cela, chaque nation gère et protège les ressources océaniques le long de ses côtes, laissant l'espace commun partagé au-delà de toute juridiction particulière vulnérable à la pollution.

Tout au long des océans de la planète, les ordures a commencé à accumuler dans le centre de courants circulaires ou gyres. Ces patchs géants de l'océan poubelle se produisent parce que de nombreux pays permettent des déchets solides de pénétrer dans les océans de la terre ou des navires. Destruction des écosystèmes océaniques à cause de déchets, en particulier les polluants en plastique, est susceptible d'affecter chaque personne sur la planète car ces polluants à travers le cycle de la chaîne alimentaire.

• Golfe du Mexique zone morte

Des milliers de fermes sont situées le long du fleuve Mississippi et ses affluents à travers le centre des Etats-Unis Comme lavages à l'eau dans la rivière après une forte pluie, il apporte avec elle nutriments provenant des engrais ajoutés aux terres agricoles. Ces matériaux coulent en aval et finalement entrer dans le golfe du Mexique, où ils créent les conditions d'une zone morte - une région de l'écosystème qui ne peut pas supporter toutes les créatures vivantes.

Le golfe du Mexique a une zone morte parce que tout le long de la rivière Mississippi partage la voie navigable sans tenir compte de la façon dont chaque petite contribution de la pollution par les nutriments et chimique ajoute à avoir des conséquences dramatiques.

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