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Secteur Bancair Marocain

Mémoire : Secteur Bancair Marocain. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  21 Septembre 2014  •  1 789 Mots (8 Pages)  •  1 351 Vues

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Remerciements :

Je saisis cette occasion pour présenter mes sincères

Remerciements à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable.

Aussi, je remercie Mr le directeur de l’agence où j’ai passé mon stage. De même, je remercie aussi l’ensemble des employés de l’agence BMCE Fès ville pour les conseils qu’ils ont pu me prodiguer au cours de ces Quatre semaines, Aussi je remercie MR Abdeljalil Riahi .

Sommaires :

1- 1ere partie :

- introduction

- Le secteur bancaire marocain

- L’impact du secteur bancaire sur l’économie marocaine

2- 2 eme partie :

- Cas pratique : bmce bank

Histoire de la bmce bank

Contribution de la bmce bank dans le secteur bancaire

3- conclusions

1- 1ere partie :

Introduction :

Le secteur bancaire marocain est devenu en une courte période un secteur efficace et puissant, en dépit de son contexte concurrentiel accru marqué par la baisse significative des taux d'intérêts, l'augmentation du volume des crédits accordés et de la marge sur commissions est les contreparties de cette baisse remarquable.

2- Le secteur bancaire marocain

Certes, le secteur bancaire marocain est considéré comme l'un des moteurs du développement de l'économie du pays et de sa prospérité, ce dernier est devenu dans une courte période un secteur moderne et efficace.

En réalité, il a connu un mouvement de concentration significatif aujourd'hui achevé. Plusieurs banques possèdent une licence d'exploitation mais sept banques contrôlent le marché.

Le principal acteur est constitué par le réseau public des Banques Populaires et la BMCE BANK . Viennent ensuite les autres banques et celles contrôlées majoritairement par des actionnaires étrangers, parmi lesquelles , la BMCI filiale de BNP-Paribas, et le Crédit du Maroc, filiale du groupe Crédit Lyonnais-Crédit Agricole. Enfin, la Caisse de Dépôt et de Gestion est extrêmement active dans les secteurs de l'immobilier et du tourisme, en accompagnant les projets d'intérêt général et en intervenant dans une logique d'amorçage pour des projets plus modestes.

2-l’impact de secteur bancaire sur l’Economie national :

a) Le secteur bancaire représente un pilier important dans l'économie nationale ainsi qu’il joue un rôle prépondérant dans l’économie Marocaine Dû a l’histoire ainsi qu’à la réforme du 06juillet 1993 subit par le système financier marocain notre pays a réussit d’avoir une structure financier bien définie qui assure un fonctionnement plus au moins satisfaisant vis-à-vis les besoins de l’économie marocaine.

Le secteur bancaire est un secteur vital dans l’organisation financier marocain avec sont principale acteurs qui est la banque qui assure un rôle primordiales dans cette structure ; par la collecte des dépôts et la distribution des crédits à court, moyen et longue terme sur les entreprises, PME, PMI afin de financer leurs investissements ainsi qu’a des individus.

b) Selon les données du GPBM, Groupement Professionnel des Banques au Maroc, les concours du secteur bancaire marocain au financement de l’économie national ont connu une forte hausse au cours de la période 2002-2011. L’encours des crédits est ainsi passé de 214 à 683 milliards de dirhams sur la période affichant un taux de croissance annuel moyen de 13,7 %.

Selon le GPBM, le tiers des crédits aux entreprises ont été accordés aux PME qui représentent environ 92 % du tissu économique national.

Tous les types de crédits ont bénéficié de cette forte hausse durant la période 2002-2011. A commencer bien évidemment par les crédits immobiliers dont l’encours est passé de 35 à 206 milliards de dirhams sur la période, affichant un taux de croissance annuel moyen (TCAM) de 21,8 %, permettant à de nombreux ménages marocains d’acquérir des logements décents.

Idem du côté des entreprises ou l’encours a connu un TCAM de 17,2 % passant de 38 à 138 milliards de dirhams contribuant ainsi à la création de richesses et d’emplois. De même, sur la période, les comptes courants débiteurs et les engagements de financements ont vu leur encours enregistrer des TCAM respectifs de 16,8 % à 85 milliards de dirhams et 20,4 % à 71 milliards de dirhams.

Parallèlement au volet de financement, les banques ont poursuivi leur politique de bancarisation en jouant notamment sur la proximité avec la clientèle. Ainsi, sur la période 2002-2011, 2 413 nouvelles agences bancaires ont vu le jour, soit une moyenne de 268 agences par an, pour porter à 5 113 le nombre de points de vente du secteur à fin 2011. Et, dans le cadre de l’amélioration des services à la clientèle, le nombre de GAB du secteur est passé de 1 168 à 5 024 unités et le nombre de cartes bancaires en circulation a atteint 8,02 millions d’unités à fin juin 2011 contre 1,5 million de cartes en 2002.

Grâce à tous ces efforts, le taux de bancarisation de la population est passé de 24 % en 2002 à 52 % en 2011 avec un objectif de porter celui-ci à 66 % en 2014.

Par ailleurs, et grâce à la dynamique de croissance du secteur, les ressources humaines des banques au niveau du Maroc se sont renforcées de 10 000 nouveaux collaborateurs entre 2002 et

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