Quels sont les fondements du commerce international et de l’internationalisation de la production ?
Cours : Quels sont les fondements du commerce international et de l’internationalisation de la production ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar koko3 • 2 Janvier 2017 • Cours • 4 726 Mots (19 Pages) • 1 071 Vues
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Chapitre V – Quels sont les fondements du commerce international et de l’internationalisation de la production ?
COURS
I- Pourquoi les échanges internationaux se sont-ils développés ?
A/ Une ouverture internationale
Le commerce internationale s’est développé après la SGm. Les firmes multinationales (FMN) vont jouer un rôle majeur. Plusieurs explications de ce développement de commerce :
- la croissance
- les progrès des moyens de communication (ex : porte conteneur)
- la diminution des coûts de transport
- la diminution des droits de douanes
A l’intérieur des continents il y a des zones d’intégrations régionale :
-Europe : UE
-Amérique du Nord : ALENA (accord de libre-échange nord-américain)
-Asie : ASEAN (association des nations de l’Asie du Sud-est)
qui sont des accords régionaux favorisant le CI
Quelques caractéristiques du CI :
- le CI est principalement un commerce de marchandise
- le CI est organisé autour de 3 pôles = la tripolarisation
- le commerce intrarégional influe sur le CI
- le commerce intrabranche progresse plus que le commerce interbranche
- le CI est de plus en plus un commerce intra-firme (= qd Renault assemble une voiture en FR mais fait fabriquer ses pièces dans un autre pays)
B/ Les déterminants de l’échange internationale et de la spécialisation
1- Les déterminants de l’économie
→Smith et les avantages absolus
De son ouvrage fondateur en 1776, il va montrer que le CI est un jeu à somme positive grâce à la division du travail (DIT). En divisant le travail selon Smith il y a :
- spécialisation en cas d’avantage absolu
- abandon en cas de désavantage absolu
Il y a 3 avantages à la spécialisation et aux échanges :
- la productivité globale des économies augmente car la DIT permet d’économiser du temps
- la production va augmenter car les pays vont pouvoir consacré les heures épargnées à une production supplémentaire du bien pour lequel ils sont plus compétitifs => csq logique du précédent
- le PA de la population va augmenter car les ménages vont pouvoir se procurer des biens à moindre coût
CCl : La DIT est donc à l’origine du CI et ce dernier lui favorise la croissance éco et le développement. Il existe une corrélation entre le taux de croissance des X° et le taux de croissance du PIB. Cette démonstration n’est vraie que si le CI est en libre-échange.
→ Ricardo et les avantages comparatifs
Cet économistes écrit en 1817 les « Principes de l’économie politique et de l’impôt ». Pour Ricardo la nation est un territoire où les facteurs de production sont mobiles, alors qu’ils sont immobiles d’un pays à un autre. Il montre que la libre circulation des produits (libre-échange) entre es nations abouti à une meilleure spécialisation des facteurs de chaque nation et donc permet une meilleure allocation des ressources. Au XIXe siècle pour Ricardo la croissance éco entraîne une croissance démographique. De ce fait l’accroissement de la production butte sur la loi des rendements décroissants (= pour nourrir plus de bouches il faut mettre en culture des terres de – en – fertiles et donc plus couteuses à exploiter. Le commerce extérieur doit permettre à l’Angleterre de reculer cette échéance en important de l’étranger des données alimentaires obtenues à un meilleur prix.
- les AC peuvent être naturels (= pétrole) mais aussi construits (= tourisme en FR)
→ La Silicon Valley : interaction entre labos, universités et entreprises => externalités positives.
- les AC peuvent être également transformés et l’Etat joue un rôle essentiel dans ce domaine :
- début 70 la FR : non compétitive en téléphonie => l’Etat (via France Telecom) a initié la FR dans ce domaine soit :
- en subventionnant
- en prenant en charge les entreprises privées
La FR est alors devenu plus performante dans ce domaine (= politique volontariste)
- en aéronautique : l’Europe à la traîne face aux USA (Boing). Grâce à l’Airbus l’Europe va rattraper son retard.
→ Théorème HOS et dotation factorielle
Pour Ricardo c’est l’inégale répartie en matière de production qui conduit à la spécialisation.
Pour Heckscher-Ohlin-Samuelson c’est l’inégale répartie en dotation factorielle qui conduit à la spécialisation.
Ex : Un pays fortement doté en L => spécialisation dans la P° de biens intensifs en L = produit à faible VA
‘’ ‘’ ‘’ K => ‘’ ‘’ ‘’ ‘’ K = produit à forte VA
Cette théorie est développée dans les années 50 et basée sur la dotation factorielle. D’après HOS les pays sont inégalement dotés en facteurs de production. Alors la spécialisation se fait en fonction de l’AC en terme de facteur de production.
- Les avantages comparatifs peuvent être des conséquences
→ Les gains cumulatifs
P.Krugman et E.Helpman vont développés les nouvelles théories du CI :
Les AC sont plus une conséquence qu’une cause des échanges internationaux. Pour eux ce n’est pas parce qu’un Etat est plus compétitif qu’il exporte mais c’est surtout en exportant qu’il devient compétitif.
« Plus un pays exporte plus il est compétitif ». Alors Krugman et Helpman montre que les gains du CI sont cumulatifs :
Ouverture internationale ➔ AC comparatif par rapport à d’autres pays
Avantages de l’échanges :
- effet de dimensions : la P° en plus grande quantité génère des éco d’échelle (= coût de p° diminué=> hausse de la compétitivité
- effet de diversification : grâce au vaste commerce le consommateur à plus de choix
- effet de concurrence : les marchés internationaux sont concurrentiels par rapport aux marchés nationaux, le prix est alors favorable pour le consommateur car il y a de la compétitivité entre les entreprises
- effet d’apprentissage : plus on produit la même chose plus on sera performant dans sa production
2- Déterminants institutionnels et techniques
→ du GATT à l’OMC
GATT (General Agreement on Tarifs and Trade) : crée en 1947 avec 23 membres à l’origine. Il visait à favoriser les échanges en diminuant les droits de douanes afin de facilité le CI. Principes du GATT :
- clause de la nation la plus favorisée : dès qu’un pays accorde un av à un autre il doit l’accorder à tous les pays du GATT.
- réciprocité : pays A accorde av -> pays B alors pays B accorde av -> pays A
- traitement national : sur territoire national on traite de la même façon les produits nationaux et étrangers (pas de favorisation)
Le GATT favorise alors le multilatéralisme. Cependant le GATT a des limites :
- champ sectoriel réduit : certains produits sont exclus des négociations notamment sur les services et l’agriculture
- existence de dérogation : les accords multifibre (AFM) = 70- fin 90, dc pendant plus de 20 ans il y a eu des dérogations sur le textile évitant leur exportation
Face à ces limites le GATT s’est transformé en une organisation mondiale du commerce (OMC) en 1995, comprenant 167 membres. L’OMC a généralisé les principes du GATT aux produits agricoles, services, textiles et même au droit de propriété intellectuelle. L’OMC a permis la création d’un organe de règlement des différents (ORD) qui a pour objectif de trancher les litiges commerciaux et de sanctionner les fautifs. Effet positif : DDD sont passés de 40% en 47 à 4% aujourd’hui.
→ Baisse des coûts de transport
doc 2 : Entre 1930 et 2000 le coût réel du fret maritime à baisser de 80% et le coût réel des appels internationaux à baisser de 98%. Les exportations se sont facilités car elles coûtent moins chères aujourd’hui notamment grâce aux pubs, négociations qui se font par téléphone.
II) L’ouverture internationale est-elle toujours avantageuse ?
Les échanges internationaux en perceptive historique :
1800-1860 : protectionnisme dominant. Il y a eu l’abolition des Corn Laws en 1846 (lois sur importation de blé)=> ouverture de la voie au libre-échange.
1860-1879 : signature de plusieurs traité de commerce bilatéraux pour favoriser le commerce, les pays s’engage dans le C
1879-1914 : retour au protectionnisme mais les entreprises internationales se développent quand même
1914-1945 : le protectionnisme se poursuit avec un repli national dans certains pays
Depuis 1945 : le LE a été généralisé par le GATT puis l’OMC « Le LE est la règle, le protectionnisme l’exception »
A/ Avantages et inconvénients du LE
1- Avantages du LE
→ Pour les producteurs
L’avantage du LE et du CI est double car cela stimule :
-les gains de productivité
-les innovations
et car :
-la spécialisation permet une économie de L et la hausse de la productivité globale ( av LE : E = multifonction / ap LE : E = se concentre là où elle est la meilleure)
-avec l’ouverture, la taille du marché s’est agrandi ce qui permet de dégager des effets d’apprentissages et des éco d’échelles favorisant la compétitivité
-l’ouverture internationale permet à de nouvelles entreprises d’entrer sur les marchés nationaux ce qui accentue la concurrence et fait pression sur les prix. Les entreprises sont donc obliger d’innover car elles ne sont pas compétitives sur les prix.
→ Pour les consommateurs
-l’importation de produits – chers et le renforcement de la concurrence pousse les prix à la baisse => augmentation du PA des consommateurs (surcroîts de PA permet de consommer pour les loisirs, services..)
-l’échange international augmente le choix des consommateurs et leur permet d’accéder à des produits non réalisés localement (augmentation de la qualité et de la variété des produits)
→ Effets cumulatifs (qui profitent à tous)
-les gains de productivité et l’extension des marchés interagissent et se renforcent mutuellement (= Krugman, Helpman)
-les développement des échanges enrichi les pays concurrents (1er temps la FR fut victime du textile chinois, grâce aux I° les chinois sont venu acheter des vêtements de luxe)
-les échanges de B&S permettent des transferts de technologie (échanges entre pays développés et – avancés)
2- Inconvénients du LE
-la concurrence entre les pays ne se fait pas à arme égale car les AC sont de plus en plus construit. Or dans ce contexte là les firmes occidentales sont avantagées (technologiquement + taille du marché) car il peut y avoir des politiques volontaristes de l’Etat (subventions). Cela crée une distorsion entre les pays du N et du S. Krugman parle de politique commerciale stratégique
-les gains du LE pour les pays peuvent être inégaux selon le type de spécialisation (échange inégale) = opposition entre :
→ pays du Nord => spécialisation dans les secteurs de pointe
→ pays du Sud => spécialisation dans les produits primaires (matière 1ere, produits agricoles)
Pays du Nord : effet d’entraînement sur de reste de l’éco, D dynamique à l’échelle mondiale et prix – volatils. Alors les effets sur la croissance et le développement sont beaucoup plus important => les pays du Sud sont victimes d’une déteriorisation des termes de l’échange (= prix des X° augmente - vite que le prix des I°) C’est-à-dire que les pays du S doivent exporter + pour une même quantité d’I°, cela reflète la croissance appauvrissante
TE : indices des prix des X° / indices des prix des I°
-la concurrence entre les pays émergents et pays développé n’est pas favorable à court terme pour l’emploi de ces derniers. Les pays émergent se spécialisant dans la production intensive en main d’œuvre (cf HOS) => la destruction d’emplois peu qualifiés dans les pays développés. Dès lors qu’ils disparaissent => perte de savoir faire qui freine l’innovation et empêche toute réindustrialisation
B/ Avantages et inconvénient du protectionnisme
1- Les différents instruments du protectionnisme
→ protectionnisme tarifaire (= barrières tarifaires)
Ce sont les DDD (= taxes visant à rendre plus cher les produits étrangers importés) de façon a stimuler l’achat de produits nationaux) Aujourd’hui DDD très faibles (environs 4%) et peu utilisées.
→ protectionnisme non tarifaire (=barrières non tarifaires)
Son objectif est de limiter les quantités importées, pour cela il y a plusieurs outils :
- quota : restriction directe sur la quantité d’n bien importé (ex : AMF objectif de limiter les pays important du textile)
-RVE (restriction volontaire au X°) ou accord d’autolimitation à l’initiative du pays exportateur qui va s’autolimiter. (ex au Japon (1975-95) l’automobile représentait 3% du marché européen)
-la règle du contenu local : obligation pour quelques entreprises d’acheter des consommations locales
-les normes techniques ou sanitaires : un produit peut être importé que si il respecte des normes précises
→ protectionnisme déguisé (= formes d’actions faussant la libre concurrence)
-dumping (vente à perte au sens strict) : c’est le fait de vendre – cher un produit à l’étranger que sur le marché domestique
-subventions et avantages fiscaux : ex PAC (= subventions de produits agricoles) qui vont être plus compétitif et donc empêche les X° extérieur
-accès aux marchés publics : acheter préférentiellement (ex : USA privilégie Boing alors qu’Airbus est – cher)
-manipulation des taux de change : cad un pays peut volontairement déprécier la valeur de sa monnaie (ex : la Chine et le yuan => stimulation des X°)
2- Les avantages du protectionnisme
F.List évoque le protectionnisme éducateur (= protectionnisme des industries naissantes) qui est un protectionnisme offensif (mis en place en GB et ALL notamment). L’idée est que lorsqu’un pays n’est pas assez compétitif alors => mise en place de barrières tarifaires ou non le temps que la compétitivité augmente.
(doc 3 page 81)
Celui –ci a été appliqué dans les pays émergents de 2 façons :
-stratégie de substitution des I° : en 1960 mise en place en Amérique Latine (Brésil, Argentine) ou pays d’Asie (Inde) afin de remplacer les I° par des produits locaux => échec car les consommateurs de ces pays ne sont pas solvables, le PA n’était pas suffisant pour acheter en grande quantité
-stratégie de promotion des X° : en 1970 les NPI vont s’attaquer au marché mondial en commençant par des produits bas de gamme en remontant petit à petit la filière vers des produits à plus forte VA
N. Kaldor lui évoque le protectionnisme des industries sénescentes ou vieillissantes qui est un protectionnisme défensif. L’idée est de protéger les industries qui ne sont plus compétitives (ex textile, sidérurgie) alors :
-mise en place de barrières le temps que les industries se reconvertissent (ex : AMF)
-le LE peut empêcher le développement dans les pays africains (éleveur de poulets) le pb est que l’I° de poulet congelé est peu compétitif, autre ex : lait et lait en poudre ou P° de mil ou sorgho concurrencer par le blé (= subventionner d’UE). Alors les barrières peuvent contre balancer ces effets négatifs
-la concurrence déloyale : lutter contre le dumping fiscal, social ou environnemental, imposer des barrières pour contrebalancer le fait qu’ils ne respectent pas les normes
-souveraineté nationale : l’intérêt de la nation => que l’on protège de certains secteurs d’activités indispensables à l’indépendance nationale
3- Inconvénients du protectionnisme
- en préservant les entreprises nationales de la concurrence extérieure, le protectionnisme freine l’effort de modernisation, le rationnement des procédés, de production et de diffusion, du progrès technique => la déteriorisation de la qualité des produits et l’augmentation de leur prix
- des mesures protectionnistes unilatérales provoque en générale un protectionnisme de rétorsion (représailles) et prive les entreprises nationales de leur débouchée extérieure => frein à leur activité
➔cercle vicieux du protectionnisme généralisé (année 30 crise de 1929)
- le protectionnisme augmente le coût des I° et il y a deux victimes de cela :
_ les consommateurs, car ils vont payés plus cher les objets étrangers
_les producteurs, car ils vont payés plus cher les matières 1eres => baisse de la compétitivité
CCL : On peut évoquer l’analyse de Maurice Allais : le protectionnisme n’est pas adapter à toutes les situations :
- il est pour une éco de marché à l’intérieur de groupe d’Etat économiquement homogène, formant une même zone d’échange
- mais contre l’ouverture dernière vis-à-vis de différents pays présentant de forte disparité éco
TD EFFET D’UNE VARIATION DU TAUX DE CHANGE
Lorsque l’O d’euros < à la D : appréciation/ Lorsque l’O d’euros > à la D : dépréciation
III- Pourquoi la production de B&S s’est-elle internationalisée
A/ Firme multinational et commerce intra-firme
1- Qu’est-ce qu’une firme multinationale ?
Au sein d’un FMN une société mère est implantée généralement dans le pays d’origine. Parmi ces sociétés mères ils y a les sociétés :
- filiales
- affiliés
- de participation
Depuis le début du 21e siècle, les FMN deviennent de plus en plus des firmes globales :
- elles ont des unités de P° et des centres de recherche dans le monde entiers
- elles signent des accords de développement et de coopération avec d’autre FMN en particulier avec celles des pays émergents
- elles choisissent la localisation de leur siège social (non en fonction de leur nationalité mais en fonction des av fiscaux qu’elles peuvent en retirer
- elles sont dirigé par des cadres de toute nationalité qui ont l’anglais pour langue commune
- elles ont le contrôle du marché mondial de leur spécialité pour objectif
Aujourd’hui les FMN réalisent 25% du PIB mondial donc elles créent ¼ des richesses mondiales et sont à l’origine d’un tiers du CI.
Organisation de la production à l’échelle mondiale :
1er technique les IDE (transfert de K), il y a 4 formes d’IDE
- création d’un site de production à l’étranger
- achat d’au moins 10 du K d’une société étrangère => fusion-acquisition
- création d’une filiale commune = société détenu à 50% par chaque sociétés (souvent entre firmes occidentales et pays émergents)
- réinvestissement sur place des profits réalisés par la filiale étrangère et le prêt de la société mère à sa filiale étrangère
2e technique l’externalisation (= transfert d’une activité de P° réaliser au sein d’une entreprise vers une autre, sans besoin de déplacer des K) Il y a 3 formes d’externalisation :
- sous- traitence internationale : FMN donneuse d’ordre alors elles vont confiés une partie ou la totalité de la P° à d’autre entreprises (ex : Nike)
- production internationale sous licence : droit de copier un produit ou d’utiliser la marquer de la FMN (Disney)
- franchis inter : la FMN franchiseuse donne le droit d’exploiter en illimité une activité en conformité avec un concept (ex : McDonald’s, KFC)
DEFINITIONS
- spécialisation : capacité d’un pays à concentrer sa production sur n type de B ou S pour lequel sa compétence est la meilleure
-avantage :
- absolu : lorsqu’un pays est plus efficace qu’un autre
- comparatif : lorsque l’efficacité relative sera meilleure et que l’autre est relativement moins mauvais
-productivité horaire : P°/ quantité d’h de L nécessaire à cette P°
-avantages comparatifs : avantages dont dispose une nation dans la P° du bien pour laquelle elle est la plus efficace ou la – inefficace.
- dotation factorielle : la quantité de facteur de P° dispose un pays (K et L)
- taux de change : prix relatif d’une monnaie par rapport à une autre (une devise =monnaie étrangère). Le cours de l’euro (par rapport au $) est par ex de 1,3$. Le cours du $ (par rapport à l’euro) est de 0,769 e
- Le marché des changes désigne le marché sur lequel s’échangent les unes contre les autres et sur lequel se forme le taux de change en fonction de l’O et de la D de monnaie nationale contre la devise étrangère
- le régime de change désigne les règles qui déterminent l’intervention des autorités monétaire (les banques centrales) sur le marché des changes. On distingue 2 grands régimes : les changes fixes et les changes flottants
-FMN : entreprise possédant au moins une unité de P° à l’étranger où des sociétés mères sont implantées :
-sociétés filiales : sociétés détenus à plus de 50% par la société mère
-société affiliées : sociétés détenus entre 10% et 50% par la société mère
-société de participation : société détenus à moins de 10% par la société mère
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