Pyramide des besoins selon Abraham Maslow
Analyse sectorielle : Pyramide des besoins selon Abraham Maslow. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nana1994 • 29 Novembre 2013 • Analyse sectorielle • 400 Mots (2 Pages) • 1 768 Vues
Aussi, si l’on s’appuie sur les différentes échelles de la pyramide des besoins fondamentaux d’un individu (par Abraham Maslow- la pyramide des besoins), nous pouvons constater que la cosmétique répond à deux de ses critères. Elle permet d’abord, la réalisation de soi, puis, l’estime de soi.. En effet, le fait de prendre soin de sa personne, de se mettre en valeur aide à s’affirmer en tant que personne.
Pyramide des besoins selon Abraham MASLOW
Ainsi, Les clients sont très demandeurs sur ce marché, la demande est grande et diversifiée. En effet il ne cesse de prendre de l'ampleur. Jusqu’en 2008 Cela faisait 41 ans que le chiffre d'affaire représenté par la cosmétique et la beauté augmente. Avec une progression annuelle du double du PNB mondial depuis 1990. En effet, chaque habitant achète en moyenne pour 205,45 euros de produits de parfumerie, hygiène, beauté par an. Chaque jour, les Français achètent en moyenne 525 000 shampoings, 309 000 produits de soin spécifiques, 157 000 flacons de parfum (dont 45 000 pour les hommes) et 544 000 produits pour le bain et la douche4.
Cette consommation est la 4e plus forte au monde, derrière les Etats-Unis, le Japon et le Brésil. En 2008, elle a baissé de 2,3 % sur un an, ce qui s'explique par une augmentation des prix de 3,9 % sur la même période. Aujourd'hui, on note deux nouvelles tendances très porteuses : le marché de l'homme (10 % du marché) et le marché du bio qui représente 3 à 4 % du marché cosmétique en France, en 2007 et qui augmente de 40 % par an (source : enquête Eurostaf de juillet 2008).
Cependant, tous les acteurs du secteur ont fait le même constat : le consommateur fait de plus en plus attention à ce qu'il dépense.
En effet, Beiersdorf par exemple, , le fabricant des crèmes Nivea, a enregistré Depuis le début de l'année une croissance de 11,8 % de ses revenus grâce, notamment, à un positionnement tarifaire inférieur à celui de son concurrent français. Dans le haut de gamme, les ventes résistent bien, comme le montre la belle performance enregistrée par le fabricant de cosmétiques américain Estée Lauder, propriétaire des marques Estée Lauder, Clinique et Donna Karan. Le chiffre d'affaires du groupe new-yorkais a progressé de 11 % sur le premier trimestre de l'exercice fiscal qui sera clos le 30 juin 2009.
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