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Marketing Bancaire

Mémoire : Marketing Bancaire. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  22 Février 2013  •  817 Mots (4 Pages)  •  1 081 Vues

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INTRODUCTION :

L’activité de certaines entreprises donne des fois naissance à un besoin passager en actif circulant dû à un décalage entre ce dernier et le fonds de roulement c'est-à-dire les capitaux à long terme.

Hors il n’est pas nécessaire de couvrir ces besoin par des capitaux permanents alors que le phénomène est passager. Parce que une telle attitude conduirait à maintenir une encaisse oisive durant certaines période et diminuerait la rentabilité soit en accroissant le volume des dettes à long terme et donc les intérêts à payer soit en augmentant le montant du capital investi. D’où l’intérêt de l’adoption d’une politique de financement à court terme qui permettrait de limiter l’importance du fond de roulement à un niveau compatible avec le maintient de la solvabilité de l’entreprise.

La nature du crédit à court terme se distingue des autres formes d’endettements puisqu’il est consenti en fonction de la réalisation, du dénouement d’une opération, c'est-à-dire l’encaissement d’une recette, alors que les prêts à long terme sont fondés sur le profit attendu c'est-à-dire sur la rentabilité des opérations prévues.

Notre exposé s’inscrit dans ce cadre il a pour objectif de nous faire découvrir les différentes issu pour faire face aux besoins de financement à court terme.

I. IDENTIFICATION DES CREDITS A COURT TERME :

On distingue différente manière de classer les crédits à court terme dans notre cas nous avons suivis la méthode la plus fréquemment utilisé en les regroupant en les trois catégories suivante :

1. Les crédits de mobilisation de créances commerciales :

1.1 L’escompte commercial :

L’une des formes de crédit à court terme les plus utilisés, l’escompte est une opération par laquelle l’entreprise mobilise auprès d’une banque des effets de commerce (lettre de change, billet à ordre…) non encore échus. Ainsi la banque escompteuse crédite le compte de l’entreprise de la valeur nominal des effets après déduction des intérêts à courir jusqu‘à l’échéance, des commissions et des frais. La banque est remboursée par l’encaissement des effets lors de leur échéance. Mais en cas d’impayé à cette échéance, la banque débite le compte de l’entreprise cédante. Dans le cas d’un escompte sans recours, la banque ne peut se retourner contre l’entreprise cédante à ses clients et du risque de l’entreprise.

1.2 Le crédit de mobilisation des créances commerciales (CMCC)

Le CMCC repose sur l’escompte d’un billet à ordre représentatif des créances détenues par l’entreprise souscrit à l’ordre de la banque. Le billet regroupe tout ou une partie des créances nées au cours d’une période de 10 jours et venant à échéances à des dates voisines échelonné sur une même décade. La durée du billet est au maximum 90 jours.

La banque escompte le billet et se rembourse au moyen du règlement des créances.

1.3 La

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