Les 3 moyens complémentaires de financer ses dépenses maladie
Fiche de lecture : Les 3 moyens complémentaires de financer ses dépenses maladie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar louislecaux • 29 Septembre 2014 • Fiche de lecture • 268 Mots (2 Pages) • 666 Vues
Économie :
Les 3 moyens complémentaires de financer ses dépenses maladie sont :
- l'assurance privée/la mutuelle,
- l'autofinancement,
- le financement public (grâce aux cotisations sociales).Exemples de réformes microéconomiques incitant les agents à modifier leur comportement :
- les patients : la mise en place du parcours de soins coordonnés, le non-remboursement des médicaments nongénériques...,
- le personnel médical : les contrôles en matière de prescription d'arrêts de travail pour les médecins, l'obligation pour les pharmaciens de délivrer en priorité des médicamentsgénériques...,
- les laboratoires pharmaceutiques : le non-remboursement de certains médicaments dont l'efficacité est à démontrer.
Le système de santé pose des problèmes :
- sur le plan financier :endettement de la S.S., augmentation des dépenses pour l'avenir, inefficacité durable des réformes jusque là opérées. En effet, nous constatons un vieillissement de la population (augmentation espérancede vie) mais les personnes âgées sont malades ou dépendantes, ce qui augmente les dépenses de santé. De plus, beaucoup de personnes développent des maladies comme le cancer, ce qui participe aussi àl'accroissement des dépenses de santé. Parallèlement, les recettes destinées à la santé ne sont pas suffisantes (population active occupée en baisse). CMU en augmentation.
- sur le plan de la santépublique : la santé est une fonction régalienne de l’État. Il doit garantir la santé aux citoyens. Pb : avec les différentes réformes de la S.S. et les difficultés économiques que rencontrent certainsménages, ceux-ci renoncent à se faire soigner, faute d'avoir une mutuelle leur offrant des garanties suffisantes.
Deux raisons principales expliquent la hausse des dépenses publiques :
- laprogression des revenus : développement des loisirs, développement d'activités dites à risque, ménages peu soucieux de trop dépenser en matière de santé
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