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Le marché des chocolats au japon

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Par   •  12 Juin 2013  •  Étude de cas  •  1 035 Mots (5 Pages)  •  2 461 Vues

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Le marché des chocolats au japon

L’entreprise Délices de l’Ile de France qui fabrique des produits de confiserie et de chocolaterie de luxe souhaite s’importer sur le marché japonais.

1- Analyser les importations en valeur du chocolat au japon.

Après une récession provoquée par la crise financière de 1991, l’économie japonaise s’est remise sur pied. Les ventes de chocolats fourrés ont commencées à augmenter en 1994, et elles se sont accentuées en 1995 puis 1996, mais en 1997 une légère baisse s’est opérée.

Cela est aussi le cas pour les importations de chocolats purs et de chocolats pâtes.

L’augmentation des importations observées à partir de 1994 peut s’expliquer par les accords de GATT qui ont diminué les tarifs douaniers japonais. Ainsi à partir de 1994 les japonais ont pus importer de plus en plus de chocolats dans leur pays.

2- Analyser les pays fournisseurs de chocolats fourrés et les prix moyens pratiqués.

La France est le 6 ème fournisseur en valeur de chocolat au japon et le 8ème en tonnage, très loin derrière les USA qui sont premier, l’Australie, et la Belgique. Mais nous pouvons expliquer cela par le fait que les produits français soit des produits hautes gammes (1740

yens/kg) comparé aux produits américains et belges qui sont de qualité légèrement supérieur à la moyenne (1023yens/kg et 1184 yens/kg). L’écart est encore plus grand en ce qui concerne les produits australiens qui eux sont de bas de gamme (707 yens/kg).

En conclusion nous pouvons dire que les produits européens sont des produits hautes gammes (France et Suisse principalement). On peut aussi dire que les produits européens sont très présent au japon surtout si l’on tient en compte le fait que les produit en provenance de Hong Kong sont des chocolats européens, et aussi que les firmes américaines qui vendent au japon sont principalement d’origine européenne.

3- Analyser l’offre du marché en distinguant l’offre locale et celle étrangère.

L’offre locale :

On peut constater qu’au japon le secteur de la production de chocolat représentait 300 milliards de yens en 1996 et que seul 4 grandes firmes se partagent 70% du marché, leurs produits sont avant tout destinés à la grande distribution. Le leader incontesté est Lotte qui détient à lui seul 26,1% de part du marché, mais il est suivit par Meiji (19,2%), Morinaga (14,8%) et enfin Ezaki Glico (13,4%). Cela nous laisse penser que leurs

chocolats sont sans doute positionnés dans la moyenne gamme.

Vient ensuite les petites entreprises qui souvent se regroupent en coopératives (car toute seules elles ne pourraient faire face aux géant). Elles proposent surtout des produits hautes gammes et les vendent dans des magasins qu’elles exploitent sous forme de franchises. Ce marché est très concurrentiel, et les locaux possèdent une longueur d’avance car ils ont une très bonne connaissance du marché.

Pour lutter contre les chocolats « made in » les locaux utilisent les mêmes sources d’approvisionnement et les mêmes techniques de production

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