Le bonheur au travail cas
Étude de cas : Le bonheur au travail cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mysa_92 • 4 Février 2016 • Étude de cas • 2 675 Mots (11 Pages) • 1 934 Vues
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SOMMAIRE
INTRODUCTION
I. Généralités sur le bonheur au travail
a. Un lien étroit entre bonheur et motivation
b. Etat des lieux du bien-être au travail
II. Les leviers motivationnels mis en place par les managers
a. Les leviers motivationnels intrinsèques
b. Les leviers motivationnels extrinsèques
III. Les impacts du bien-être au travail
a. Sur le plan social
b. Sur le plan économique
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
∙ Sources écrites
∙ Sources Internet
INTRODUCTION
Nous passons en moyenne plus de temps sur notre lieu de travail qu’à notre propre domicile. Il est donc très important de savoir conjuguer bonheur et travail.
Le bonheur est un état durable d’épanouissement et de satisfaction où stress, inquiétude et trouble sont absents. Ces critères sont pourtant associés au travail.
Le rôle des RH va être de définir, maintenir et perfectionner des procédures professionnelles telles que le recrutement, l’élaboration des programmes de formation ou encore l’évaluation du personnel de l’entreprise.
Comment les leviers motivationnels établis par les managers impactent-ils le bien-être des salariés au travail ?
La motivation est une condition du bonheur au travail. De ce fait, certains leviers motivationnels (extrinsèques et intrinsèques) sont engagés par les managers afin de favoriser le bien-être des salariés. Celui-ci aura ainsi des répercussions sur le travail salarial.
I/ Généralités sur le bonheur au travail
- Un lien étroit entre le bonheur et la motivation
- Etat des lieux du bien-être au travail
II/ Les leviers motivationnels mis en place par les managers
- Les leviers motivationnels extrinsèques
- Les leviers motivationnels intrinsèques
III/ Les impacts du bien-être au travail
- Sur le plan social
- Sur le plan économique
- Généralités sur le bonheur au travail
- Un lien étroit entre bonheur et motivation
De nombreux spécialistes (Herzberg, Maslow, Porter, Lawler) ont exprimé une corrélation entre motivation et bonheur au travail.
D’après Maslow, le processus de motivation repose sur les besoins, constituant ainsi des objectifs successifs jusqu’à l’accomplissement de soi au travail.
En bas de la pyramide de Maslow se trouvent les besoins physiologiques comme la rémunération et la sécurité de l’emploi. Vient ensuite le besoin d’appartenance sociale qui correspond à une nécessité d’entretenir avec autrui des relations satisfaisantes et enrichissantes (abandon d’un système de compétition, coopération entre collègues). Le quatrième étage comporte le besoin d’autodétermination ou besoin d’estime, qui s’illustre par une mobilisation de l’effort et une stratégie de travail pour un but précis (promotion, témoignage public). Enfin, le besoin de compétences correspond à une nécessité de développer des comportements offrant une satisfaction liée à la réussite et à un sentiment de progrès (accomplissement d’un projet ambitieux). [pic 7]
Porter et Lawler, en accord avec cette hypothèse, proclament qu’un individu ne s’implique dans l’action que s’il se sent inconsciemment capable d’atteindre son objectif. Pour cela, l’individu obtiendrait une contrepartie de son entourage et trouverait un intérêt à l’enjeu.
Les entreprises l’ont bien compris comme le montre l’engouement suscité par le fameux label Great Place to Work déterminant les entreprises « où il fait bon travailler ». [pic 8]
De plus, le modèle bi-factoriel de Herzberg confirme le lien entre motivation et satisfaction au travail. Une étude menée auprès d’un panel d’individus lui a permis de recueillir de bons et mauvais souvenirs concernant la vie au travail et de distinguer ainsi deux types de besoins : les besoins « motivateurs » et les besoins « d’hygiènes ». Ces derniers sont susceptibles de réduire l’insatisfaction par des facteurs extrinsèques, liés au « contexte » du travail (salaire, politique de personnel)
Les besoins dit « motivateurs » sont spécifiques à l’humain. Ce sont les facteurs intrinsèques tels que les valeurs ou le sentiment de réalisation de soi.
- Etat des lieux du bien-être au travail
Le bien-être au travail est un élément essentiel dans la vie professionnelle des individus. L’enquête « Happy at Work » réalisée en 2015 par meilleuresentreprises.com relate des entreprises de plus de 5000 salariés dans lesquelles les salariés sont les plus satisfaits. On retrouve en tête des groupes industriels français tels que Safran, Air Liquide ou encore Leroy Merlin. L’indice du « bonheur au travail » a été mesuré selon six dimensions : le développement personnel, la stimulation, le management, le salaire et la reconnaissance, la fierté et le « fun ».
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