Le PIB en perte de croissance
Étude de cas : Le PIB en perte de croissance. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Tiyana • 18 Février 2017 • Étude de cas • 346 Mots (2 Pages) • 1 822 Vues
[PIB indicateur utile]
Doc 1: Le PIB est le principal indicateur de progrès économique et social. La croissance économique portée par le progrès technique et les gains de productivité, moyen pour l'accès de tous à la consommation de masse et au plein-emploi. Négociation sociale assure une répartition relativement juste des fruits de la croissance.
Doc 2: En 1950, il y a une croissance de 8,6%. Il y a une chute jusqu'en 1980 pour atteindre 1,6%. Il y a une reprise jusqu'au début des années 2000 pour atteindre 3,9%. Il y a une chute à 0,2% en 2008. Un sursaut en 2010 avec 2% et depuis il y a une croissance de 0,2%.
Une forte part de la consommation dans les années 1950 jusqu'aux années 1970: d'un peu plus 5% à 3,3%.
Un fort impact de la consommation sur la croissance qui entraîne une baisse de la croissance.'
La formation brute du capital fixe, pas très importante, dans les années 1950, (moins de 1% du PIB, puis au dessus de 1% dans les années 1960, 1970, 1990, années 2000. Depuis a chuté pour être en dessous de 5%, voir négative.
Le solde du commerce extérieur est positif uniquement dans les années 1950, 1960 et 1970, sauf un sursaut depuis 2012.
Il y a une faible constitution des stocks en général.
D'oc 3: Il y a le partage de la valeur ajoutée : en 2008, la valeur ajoutée est de 1 796,3 et en 2014, elle est de 1910,2.
Un fléchissement uniquement en 2009 mais sinon toujours en augmentation, avec une hausse de 6,3%.
La rémunération des salariés représente en moyenne 58% de la valeur ajoutée
Sa part n'a cessé d'augmenter de 2008 à 2014 (+3,4%), essentiellement du fait de l'augmentation de la part des cotisations sociales.
En 2009, une forte hausse de la part des impôts sur la production, qui est porté à 5% et une baisse de la part des impôts par rapport à 2009, qui a permis une hausse de l'EBE (Excédent Brut d'Exploitation) à 32,7%, 2e record après 2008.
Depuis, il n'a cessé de baisser tout comme la part des revenus bruts.
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