Croissance du PIB
Commentaire d'oeuvre : Croissance du PIB. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar louiselouise • 18 Avril 2015 • Commentaire d'oeuvre • 711 Mots (3 Pages) • 574 Vues
Ce document est un tableau statistique de l’OFS paru en 2006. Il nous renseigne sur le
rythme annuel moyen de croissance économique en % de 6 pays riches de 1991 à 2003 et sur les
composantes de cette croissance à travers les contributions en points de % des facteurs de
production capital et travail et de la productivité globale des facteurs (PGF).
Ainsi, parmi les 6 pays, de 1991 à 2003, ce sont les Etats-Unis, l’Espagne et le Royaume-Uni
qui ont connu la croissance économique la plus élevée avec une moyenne annuelle
d’accroissement du PIB autour de 3% alors que la Suède, l’Allemagne et la France se situent dans
une fourchette plus basse comprise entre 2 et 1,4% de croissance annuelle moyenne de leur PIB
sur la même période, ce qui signifie par exemple pour l’Allemagne, qu’en moyenne, chaque année,
entre 1991 et 2003, son PIB s’est accru de 1,4%, contre 3,1% pour les Etats-Unis.
Quand on regarde les contributions des facteurs à cette croissance, on note,
indépendamment du niveau de la croissance sur la période, que les sources de croissance diffèrent
selon les pays. Ainsi, d’un coté, des pays comme l’Allemagne, la France, la Suède et, dans une
moindre mesure, le Royaume-Uni, ont une croissance intensive c’est-à-dire une croissance tirée
par la PGF, c’est-à-dire par la qualité de la combinaison des facteurs de production puisque, par
exemple, pour l’Allemagne toujours, le PGF contribue à 1,2 points de % de sa croissance annuelle
moyenne du PIB de 1,4% de 1991 à 2003, soit près de 90% de sa croissance qui résulte du progrès
technique ou de la qualification de la main-d’œuvre. De l’autre coté, les Etats-Unis et l’Espagne ont
des croissances extensives puisque la PGF contribue moins à leur croissance que les quantités du
facteur capital et du facteur travail : pour l’Espagne par exemple, le facteur capital contribue pour
1,2 points de % à sa croissance, le facteur travail pour 1,1 points, soit 2,3 points sur les 2,8% de
croissance annuelle moyenne du PIB espagnol de 1991 à 2003, soit plus des 3/4.
Enfin, on remarque que 3 pays ont une contribution négative du facteur travail à leur
croissance sur la période, il s’agit de l’Allemagne, de la Suède et de la France (atonie
démographique, chômage de masse, réduction légale du temps de travail...) Ces 3 pays semblent
compenser cette faiblesse du facteur travail par une PGF relativement élevée.
Compétence : la participation constitue un processus d’apprentissage pour les jeunes. Ils acquièrent des savoir-faire tels que l’aptitude à la communication ainsi que des compétences sociales qui vont leur être utiles pour leur avenir.
Détermination : la participation permet aux jeunes de découvrir les avantages de persister dans
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