Lamentations

st tellement mieux sans lui qu'avec, on sait qu'il ne nous méritera jamais...

Mais on s'accroche quand même comme des connes.

Et, au final, c'est nous qui souffrons le plus alors qu'on savait

que ça allait se produire et au lieu de se protéger, on s'enfonce encore plus.

Parfois, la douleurt'absorbe tellementqu'inévitablement,tu l'alimentes.

J'aurais pu être folle de toi . J'aurais pu te donner tout mon être, tu vois. J'aurais pu être heureuse.

Il n'est pas nécessaire de parler quand on a un regard qui en dit long.

Tout vrai regard est un désir .

« Si on me presse de dire pourquoi je l’aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu’en répondant: «Parce que c’était lui, parce que c’était moi.»

On a beau tout rêver , tu dépasses le rêve .

Bien sûr je pourrais être aigri de ce qui m’est arrivé. Mais c’est inutile. Il y a tant de beauté dans le monde.

Parfois j’ai l’impression qu’elle me submerge, de partout en même temps, mais c’en est trop.

Mon cœur se remplit comme un ballon, prêt à exploser.

Et là, je comprends qu’il faut que je lâche prise, que j’arrête d’essayer sans cesse de m’y raccrocher.

Et ça glisse sur moi comme de la pluie. Et je ne peux plus rien éprouver d’autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie.

Vous ne comprenez pas ce que je suis en train de vous dire n’est ce pas ? Ne vous en faites pas, un jour, vous comprendrez.

On ne retrouve que des détails, tous ces p’tits rien dont on parle rarement, et on revit certains moments forts même si on n’a pas vraiment envie.

C’est tout ça mis ensemble qui restitue une présence. Et on prend conscience du manque, et de la haine qu’on ressent pour celui qui a tout détruit...

Amour, tu me tueras.

J’ai vu cent paires d’yeux aujourd’hui, mais ma journée ne c

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