Etude de cas: "Des frontières à franchir".
Étude de cas : Etude de cas: "Des frontières à franchir".. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar greene • 22 Janvier 2015 • Étude de cas • 1 048 Mots (5 Pages) • 1 075 Vues
Travail Noté 1
Étude de cas « Des frontières à franchir »
Étape 1 : Résumé des faits
L’étude de cas « Des frontières à franchir » nous résume une situation qui est vécue par Angelica Garza, une Américaine d’origine Mexicaine qui a 10 ans d’expériences en ressources humaines d’une maquiladora (usine mexicaine frabriquant des produits médicaux), appartenant à la mutinationale USMed située à Chula Vista (États-Unis). Parmis les employés de cette compagnie, on y employait 34 Américains et 1 100 Mexicains. Les maquiladoras sont implantées dans les zones limitrophes des États-Unis et du Mexique afin de profiter de la main d’œuvre bon marché et des lois favorables. La multinationale USMed avait aussi à son actif six autres installations situées aux États-Unis.
Mme Garzia fut confronté à plusieurs problématiques au niveau de la gestion de l’usine de Tijuana au sud de la frontière Américaine . Pour débuter, les normes au niveau de la gestion des ressources humaines chez USMed n’étaient pas établies, de sorte que Angelica n’avait aucun points de repère qui aurait pu l’aider dans ses tâches de gestion de ressources humaines. De plus, les communications entre les cadres était presque inexistantes, ce qui fait que ceux-ci n’y connaissaient rien au niveau de la gestion de la diversité, basé sur la culture et les valeurs du personnel mexicain. Lorsque celle-ci tentait de communiquer avec les autres gestionnaires USMed, elle n’eut aucun soutient de ceux-ci, ses idées et suggestions furent rejeter dû à la réticences de ses collègues Américains.
Mais le plus important, étant Américaine d’origine Mexicaine, les gens ont assumé qu’elle avait tout les outils nécéssaires afin de pouvoir bien s’adapter aux différences de gestion qu’elle épprouverait. « Rétrospectivement, je suis étonnée de la situation dans laquelle j’étais plongée à l’époque. En fait, je n’y comprenais pas grand-chose. Ainsi, je me suis aperçue que les gens croient que les Américains d’origine Mexicaine sont les mieux préparés pour travailler avec des Mexicains. Je suppose que tout le monde estimait que, vennant d’une famille chicano, j’allais automatiquement savoir comment me fondre dans cette culture complètement différente de la mienne.1 »
1 Le cas « DES FRONTIÈRES À FRANCHIR » p.1, ADM 1013
Angelica du affronter plusieurs problèmes au niveau culturel face aux employés mexicains qu’elle avait à sa charge. Ceux-ci était peu coopératifs à son égard. Deux femmes qui travaillaient à la comptabilités dans la compagnie depuis déjà cinq ans, lui en voulait. Elle avaient l’impression que Mme. Garcia était la pour leur enlever des tâches de travail. « Pour elles, c’était comme si on avait estimé qu’elles ne travaillaient pas bien et qu’on nous envoyait là pour leurs ôter des responsabilitées.2 Elle fut aussi exposer à des problèmes étant donné qu’elle était une des rares femmes parmis un milieu d’hommes. « D’autres part, ce n’était pas facile d’être la seule femme dans un environnement et parmi des réseaux constitués uniquement d’hommes. 3»
2 Le cas « DES FRONTIÈRES À FRANCHIR » p.2, ADM 1013
3 Le cas « DES FRONTIÈRES À FRANCHIR » p.3, ADM 1013
Étape 2 : Identification du problème
Le problème majeur qui est démontré dans cette analyse de cas est la divergence des cultures. Mme Garzia a été désignée pour prendre en charge
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