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Economie Droit Devoir CNED: le degré de développement économique, social et environnemental

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Par   •  26 Octobre 2014  •  1 874 Mots (8 Pages)  •  1 274 Vues

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Economie Générale et Droit

Devoir n°2

Première partie : économie générale

Question 1 :

NON REALISABLE

Question 2 :

Les autres indicateurs figurant dans le tableau sont aussi nécessaires pour apprécier le degré de développement économique, social et environnemental car le développement c’est l’ensemble des transformations, qu’elles soient sociales, démographiques, culturelles ou environnementales, qui vont faciliter la croissance d’un pays.

En effet nous pouvons voir dans ce tableau les indicateurs du degré de développement social suivant : L’espérance de vie, le taux de décrochage scolaire, les différents taux de chômage (des jeunes et des plus de 55 ans) ainsi que le nombre de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté.

Et l’indicateur du degré de développement environnemental ce trouve dans la catégorie « une croissance durable » avec la part des énergies renouvelables dans la consommation finale énergétique.

Tout cela se traduit par une amélioration du bien-être de la population. Le PIB mesure la croissance économique, ce qui favorise une hausse de niveau de vie à tous points de vue. La croissance économique est indispensable aux autres développements et réciproquement.

En ce qui concerne le changement social, ce sont toutes ces transformations qui vont avoir un effet sur l’organisation sociale. Le développement, la croissance… accompagne le changement social.

Question 3 :

La perception de l’environnement prenait, jusqu’à maintenant, très peu en considération les impacts environnementaux.

Les nouvelles technologies de l’information

et des communications, sont un facteur important de croissance. Ces technologies apportent des opportunités de progrès à différents niveaux (santé, éducation, efficacité énergétique…)

Les nouvelles technologies écologiques permettent de s’orienter vers un mode de développement durable et d’assurer des gains de productivité.

La dégradation de l’environnement est une dette sur l’avenir ; il ne pourra pas y avoir de croissance soutenable sans action en faveur de l’environnement.

Les nouvelles technologies vertes pourraient participer d’avantage aux gains de productivité, pour cela il faut revoir l’investissement dans ces formations, comme par exemple :

-L’amélioration des installations productrices d’énergies renouvelable ;

-Le lancement de 6 filières prometteuses : les véhicules dé-carbonés, les énergies marines, les biocarburants, l’éolien off-shore, l’efficacité énergétique du bâtiment, le captage et stockage de C02.

Il est d’ailleurs urgent de faire une taxe écologique sur les émissions de dioxyde de carbone comme celle créée pour les émissions de CO par les voitures, mais à plus grande échelle.

Avec ses nombreuses entreprises et industries, la France a les capacités de se lancer dans ces recherches de développement durable et d’énergies renouvelables.

Question 4 :

La France est la troisième destination d’investissements directs étrangers dans le monde.

Les nouvelles technologies de l’information et des communications sont un grand facteur de développement car elles offrent des opportunités de progrès (santé, éducation, …)

Tirer parti

de ses innovations se révèlera être des relais de croissance.

Le taux de pauvreté des séniors ne cesse de réduire.

Le revenu disponible brut des ménages est en croissance.

Le PIB français est en hausse.

La France est, avec l’Irlande, l’un des pays des plus féconds.

Le niveau général d’éducation reste globalement satisfaisant.

Le taux d’épargne des français reste parmi les plus élevé des pays de l’OCDE.

Les entrepreneurs (PME) sont un accélérateur de croissance et de développement.

Les entreprises françaises ont su résister à la crise, elles ont continué de se développer pour être des leaders mondiaux dans leurs secteurs.

La France attire de plus en plus de touristes, elle est l’une des destinations touristique les plus populaires.

Beaucoup d’étrangers s’installent en France car c’est un pays qui a l’un des meilleurs systèmes de santé au monde, la qualité de vie y est donc propice.

Le système des retraites français reste l’un des plus avantageux.

La qualité de communication (taux d’accès des plus élevé d’Europe) Internet est un accélérateur de croissance et de développement car il est indispensable de nos jours pour quiconque voudrait entreprendre la recherche d’un emploi, la création d’entreprise.

La mondialisation profite aux entreprises françaises.

Pour ma part, les deux plus grands accélérateurs de croissance seraient :

L’amélioration de la compétitivité en jouant sur le problème des charges sociales.

L’amélioration des conditions de croissance, c’est-à-dire l’innovation, le progrès technique, l’amélioration de l’éducation (comme une moyenne

des indicateurs que l’on trouve dans le document annexe 1 (le tableau))

Question 5 :

En ce qui me concerne, les freins susceptibles d’affecter la croissance et le développement de l’économie française seraient :

Une financiarisation trop importante du bénéfice des entreprises au détriment du réinvestissement.

Un chômage élevé qui entrainerait un frein réel à la consommation.

Le maintient d’une période de crise qui amènerait les ménages en mesure de consommer à épargner d’avantage.

Une dette étatique

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