Dans quelle mesure la logique entrepreneuriale de Steve Jobs constitue-t-elle l'affaire d'Apple?
Analyse sectorielle : Dans quelle mesure la logique entrepreneuriale de Steve Jobs constitue-t-elle l'affaire d'Apple?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar SilviaS • 14 Avril 2015 • Analyse sectorielle • 583 Mots (3 Pages) • 1 551 Vues
1. Analyse de la situation de l’entreprise
Question 1 : Dans quelle mesure la logique entrepreneuriale de Steve Jobs façonne-t-elle l’entreprise Apple ?
D’après la théorie de J. Schumpeter, un entrepreneur est un individu qui innove et crée au sein de son entreprise en prenant compte les menaces et les opportunités qui se présentent à lui. Il doit savoir s’adapter au marché.
Concernant, Steve Jobs, on peut noter que ce dernier correspond à la vision que propose Schumpeter concernant l’entrepreneur en général. En effet, on peut voir que lorsque Steve Jobs a quitté l’entreprise Apple 1985, l’entreprise a connu un plan de restructuration avec des licenciements importants. L’innovation se fait moindre, la concurrence devient de plus en plus forte notamment face à Microsoft. C’est à partir du moment où Steve Jobs réintègre l’entreprise Apple, la tendance change et Apple acquiert une notoriété semblable à Nike, ou Sony.
Question 2 : Quelle est la chaîne de valeur d’Apple ? Identifiez et caractérisez ses différentes ressources.
Le diagnostic de la chaîne de valeur se découpe en 2 types d’activités :
Les activités principales (les activités créatrices de valeurs)
Les activités de soutien (ce sont les activités qui donnent les moyens aux premières activités pour pouvoir fonctionner).
On peut noter que dans les activités principales, on peut noter des activités secondaires complémentaires.
Tout d’abord la logistique (interne et externe) : rassemblement des matières premières et par conséquent, stockage de ces matières premières.
Puis suit la production : c’est-à-dire crée des produits Apple à partir des matières premières que dispose l’entreprise.
Vient ensuite la logistique externe : Expédition des produits finalisés et donc stockage dans les boutiques de distribution.
Puis la commercialisation et vente : Le consommateur peut acheter le produit finalisé et être conseillé sur le dernier.
Et enfin le service : Ce sont les services associés complémentaires tels que le service après-vente, les réparations...
L’ensemble constitue les activités principales.
Puis suivent les activités de soutien décomposé également en différentes activités :
Tout d’abord, les infrastructures de l’entreprise : on peut inclure dans cette catégorie, le financement, la gestion des tâches, la direction générale, tout ce qui concerne la gestion en générale.
Puis suit la gestion des ressources humaines : c’est-à-dire le recrutement, les éventuels plans de restructuration, la gestion du personnel.
Vient ensuite le développement technologique : à savoir le développement des technologies grâce au service de recherche et développement, la conception de nouveaux produits, l’innovation..
Enfin, il y a l’approvisionnement : cette catégorie
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