Actualité économique au Canada et en Italie.
Étude de cas : Actualité économique au Canada et en Italie.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Pospi181 • 6 Avril 2015 • Étude de cas • 2 582 Mots (11 Pages) • 662 Vues
Table des matières
Introduction 2
Actualité dans le monde (Italie) 2
Résumé 2
Concepts et théories 3
La problématique 4
Actualité économique au Canada 4
Résumé 4
Concepts et théories 5
Problématique 6
Tableau synthèse 7
Conclusion 7
Médiagraphie 9
Annexe 1 10
Annexe 2 11
Introduction
Dans le monde d’aujourd’hui, l’économie change à tous les heures du jour. Cette économie varie et permet au pays de croître ou d’accuser un déficit économique. Avec la mondialisation que nous connaissons de nos jours, les actions économiques d’un pays peuvent se répercuter aux quatre coins du globe. Cette économie est universelle. En d’autres mots, un économiste hollandais parle des mêmes variables qu’un économiste canadien. Lorsqu’on parle d’un déficit, on fait allusion à un problème économique à l’intérieur d’un pays. Dans ce rapport de recherche, nous allons appliquer la théorie vue en classe pour faire le profil de deux problèmes économiques actuels, soit de l’Italie et du Canada. Le premier article étudié portant sur l’économie en Italie se nomme Italie : le FMI prône des coupes dans les dépenses et des baisses d'impôt, du journal électronique Le Monde. Le deuxième article analysé au sujet de l’économie au Canada s’intitule Les entreprises canadiennes moins optimistes du journal La Presse : Affaires. Au cours du rapport, nous allons résumer les articles, faire ressortir leurs concepts clés pour ensuite analyser la problématique en question de chacun.
Actualité dans le monde (Italie)
Résumé
Le FMI (Fond monétaire international), une institution internationale ayant entre autres pour objectif d’assurer la stabilité financière de ses pays membres, a conseillé à l’Italie une politique budgétaire expansionniste : la diminution de leurs dépenses publiques et la réduction des impôts. En effet, cette politique aurait pour but de favoriser la croissance économique et la diminution de leur déficit public. Le président du conseil des ministres italien, Enrico Letta, a dévoilé plusieurs moyens de relance pour l’économique Italienne et a aussi annoncé qu’ils n’axeront plus leur effort sur l’austérité budgétaire, mais plutôt sur la croissance économique, c’est-à-dire qu’ils vont se concentrer sur l’expansion économique plutôt que sur la dette publique. Le porte-parole du FMI ajoute que toutes les réformes fiscales doivent conforme pour un système qu’il qualifie de plus ‘’efficace et plus équitable’’. Finalement, les prédictions pour le PIB italien de 2013 sont d’une réduction de 1,4% pour ensuite augmenter de 0,7% en 2014 suite à une reprise de la demande italienne.
Concepts et théories
Le premier concept que nous avons identifié est la politique budgétaire conjoncturelle. Elle est l’ensemble des mesures que l’État prend pour influer sur la conjoncture économique en faisant varier ses dépenses et ses revenus. Dans cette situation, la politique budgétaire proposée à l’Italie est une politique budgétaire expansionniste plutôt que restrictive, car elle a pour but d’augmenter le PIB et de diminuer le chômage indirectement étant donné que le PIB a une variation opposée au chômage. Une politique budgétaire est mise en place lorsqu’il y a un problème dans l’économie d’un pays en question. Dans cette situation, elle prône l’évolution de l’économie italienne.
Le deuxième concept que nous avons retenu est le PIB (produit intérieur brut). Il est l’ensemble des biens et services finaux produit à l’intérieur d’un pays au cours d’une période donnée, généralement un an. Le PIB est constitué des dépenses de consommation pour les biens et services (C), des investissements privés (I), des dépenses gouvernementales (G) et des exportations contre les importations nettes de biens et services (X-M). Il existe le PIB nominal et le PIB réel qui n’a que pour différence que le PIB réel prend compte de l’inflation d’année en année. En effet, le PIB nominal est la production en $ de l’année courante et le PIB réel est la production en $ de l’année de référence présélectionné. Le PIB réel permet de donner une meilleure image de l’expansion ou de la récession de l’économie d’un pays, car il prend compte de l’inflation.
La problématique
Comme nous informe l’article, on peut comprendre que la politique économique d’Italie était axée sur l’austérité budgétaire, c’est-à-dire une politique de rigueur à court terme ayant pour but la hausse de la fiscalité et la diminution des dépenses publiques pour objectif la réduction du déficit public. Le président du conseil des ministres italien, Enrico Letta, a affirmé que son pays se ‘’mourrait’’ du fait de l’austérité et donc axera maintenant leur effort sur la croissance économique. On peut facilement comprendre que cette politique économique était inadéquate pour l’Italie et que ce n’était pas un problème de la structure économique, mais de la conjoncture économique.
En effet, la problématique est de type conjoncturel, car elle était une caractéristique particulière du système économique au cours d’une période donnée. La qualité de vie des Italiens est affectée par la dette publique, la hausse de la fiscalité et des baisses des dépenses publiques. Effectivement, le coût de la vie des Italiens est plus élevé dû aux impôts élevés et ils bénéficient moins de services de la part du gouvernement. Ils ont donc moins d’argent pour moins de services. Tous les facteurs du PIB (C, I, G) sont moins importants, donc il y a une baisse du PIB. Si le PIB baisse, le chômage grimpe. Comme le propose la FMI, je proposerais une politique budgétaire expansionniste à l’Italie pour axer les efforts sur la croissance économique plutôt que sur la dette publique. Une baisse des impôts et une diminution des dépenses publiques nous semblent une très bonne alternative pour garder un bon équilibre économique
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