Air Canada

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Les sites de la concurrence ne portent pas d’interet particulier envers la problématique en cours chez Air Canada. En fouillant un peu sur internet on apprend rapidement que la plupart des compagnies aérienne éffectuent une bonne partie de la maintenance lourde de leurs flottes eux meme. Il ne sous traitent que l’excess de travail qu’il n’ont pas la capacité d’accomplir. Pour Air Canada, c’est presque la totalité de la maintenance lourde qui est sous-traitée alors qu’ils n’éffectuent que la maintenance quotidienne. Sur le site d’Air Canada on peut lire un communiqué datant du 29 mars 2012 qui explique que la société se conforme a tout les aspects de la loi sur la participation publique au capital d’Air Canada.

Sur le site Canama.ca on dénote qu’il existe 1001 organizations de maintenance approuvées au pays. On retrouve aussi 13 332 ingenieurs de maintenance d’avion et 60 organisations de formation de maintenance d’avion domestiques et internationaux. Finalement, 226 distributeurs autorisés de pieces d’avions font leurs affaires au Canada.

Analyse de la problematique

a. Les forces et faiblesses de l’organisation

Air Canada est le transporteur aerien numero un au canada. Le fait qu’il aie déjà été une entreprise nationale en fait une référence en la matiere pour plusieurs et elle bénéficié de beaucoup de support de la part du gouvernement fédéral.

En contrepartie, en devenant une entreprise privée, Air Canada devient assujetie a une loi spéciale qui dicte une certaine partie du déploiement de ses opérations quotidiennes. L’un des conditions régie par cette loi est que l’entreprise doit garder ses opérations de maintenance a l’interieur du pays. Air Canada, qui sous traite ses opérations de maintenance lourde par le biais de l’entreprise Avéos connaitra des problemes face a cette loi, dans le cas a l’étude.

b. Les forces et faiblesses des concurrents

Les concurrents d’Air Canada s’occupent tous de la maintenance de leurs appareils a l’interne. Ils sont ainsi en contrôle de la presque totalité de leurs opérations. Etant plus modestes fincancierement, ces entreprises disposent par contre de budgets considerablement plus petits que celui d’Air Canada, qui pourrait éventuellement les pousser a exporter leurs opérations de maintenance d’appareil a l’exterieur du pays.

c. Problématique principale et secondaire de communications/relations publiques

La principale problématique d’Air Canada dans le cas a l’étude est qu’elle risque de mal paraitre face a la population puisque son sous traitant, Avéos, met a la porte 2600 employés au Canada pour aller mener ses opérations a l’étranger, la ou la main d’œuvre coute considérablement moins cher. De plus, puisque l’entreprise est assujetie a une réglementation fédérale stricte, elle se doit de trouver un moyen pour conserver ses opérations a l’interieur du pays.

Sa problématique secondaire est que si elle ne trouve pas rapidement une solution a ses besoins de maintenance lourde, la société risque de devoir suspendre indéfiniment ses activités.

d. Principal défi

Le principal défi d’air canada est de démontrer a la population qu’elle n’est pas indiferrente a la perte d’emploi massive du a la fermeture d’Aveos et de faire comprendre au gouvernement que la facon dont Avéos, une compagnie privée et indépendante d’Air Canada, est gerée n’est pas du ressort d’Air Canada.

e. Opportunités a saisir

Pour regagner la faveur du public, Air Canada devrait reprendre le contrôle des opérations de maintenance lourde de ses appareils et rappatrier tout les employés qui ont été liscenciés au moment de la fermeture d’avéos. De cette facon Air Canada aura l’air d’avoir réparé l’erreur commise par Avéos et reglerait du meme coup ses problemes de maintenance.

Identification des publics internes

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