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Synthèse concept consultation en management

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Par   •  8 Décembre 2022  •  Synthèse  •  1 013 Mots (5 Pages)  •  212 Vues

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Département de management 

Synthèse des concepts  

Travail présenté à :

Pour le cours Consultation et pratique de management- MET8409 

Groupe : 41

 

Par






Le 24 Février 2022

Au vu des séances que nous avons suivies, plusieurs concepts ont été abordés à travers les différentes classes, en commençant bien sûr par une introduction des idées. Tout d’abord, il est primordial de se pencher sur le facteur humain. En effet, le travailleur est sans aucun doute l’un des points centraux lorsque l’on aborde la question du management. Cependant, il a été constaté que suite aux crises que rencontre une organisation, c’est majoritairement les employés qui sont les victimes des retombés de cette dernière, à l’instar des personnes occupant des postes à responsabilité qui sont principalement liés à ces crises. Ces derniers sont très souvent congédiés, mais en obtenant des indemnités mirobolantes comparées aux employés qui eux sont tout simplement licenciés. Il est primordial de considérer l’importance des travailleurs en consultation managériale, puisque c’est eux qui sont selon moi la colonne vertébrale de l’organisation, par ailleurs nous avons constaté lors de la première séance que notamment, la santé mentale des travailleurs n’était pas prise au sérieux par les gestionnaires. De plus une étude de CPA Canada en 2020 démontre que plus de 500.000 employés s’absentent chaque semaine pour des raisons de santé mentale. Ainsi il faut comprendre qu’en consultation il est important de s’appuyer sur une vision de la gestion orientée vers un respect des travailleurs avant tout, qui d’ailleurs n’en sera que plus bénéfique pour l’organisation. Nous avons ensuite essayé de comprendre qu’est-ce qui pousse les organisations en général à favoriser cette exploitation « abusive » des employés. Certes il y a la maximisation du profit, du rendement, etc. Et nous avons ainsi abordé la séance 2 avec pour titre l’héritage du taylorisme, en effet avec son OST Taylor prône une automatisation organisationnelle qui se base donc sur 3 piliers très connus qui sont la division verticale, la division horizontale, et la spécialisation des taches, que l’on pourrait brièvement repartir en : - Division du travail, - Spécialisation des travailleurs, -Surveillance et rémunération au rendement. Ainsi ce qui fait que cette méthode perdure, ou plutôt des dérivées de cette dernière (on peut parler de Neo-Taylorisme), serait son efficacité, on le voit d’ailleurs chez Amazon qui même si elle ne le clame pas haut et fort se base sur ce genre de méthode, au détriment des travailleurs qui subissent sans être entendus. De ce fait, il y’a eu des méthodes pour essayer de contrer cet OST si néfaste pour les travailleurs comme le MBO (management by objectives) qui ne fut pas plus efficace du fait de sa vision maximisatrice accrue, et bien sûr dépendamment du système économique, qu’il est aussi important de prendre en considération (les entreprises des différents secteurs ne seront pas affectées de la même manière), mais aussi de par la provenance de l’établissement des objectifs (Top, down). Nous en sommes arrivés à la conclusion que lorsque l’on est dans une organisation dite verticale ou en d’autres termes hiérarchique, la répartition des responsabilités, sans pouvoir d’initiative, crée des tensions chez les travailleurs. Nous avons par la suite abordé avec monsieur Holford la question de la rationalité en organisation qui se base encore une fois sur une logique de maximisation et dans un sens on ne peut en vouloir à l’organisation de vouloir toujours maximisé, c’est un fait, car de nombreux acteurs externes peuvent entrer en causes (actionnaires, bailleurs de fonds …), cependant cette quête de maximisation crée une logique qui se base sur le fait que ce qui est rationnel a pour objectif la maximisation, ce qui est faux selon moi. Faire toujours plus avec moins n’est pas forcément logique, et c’est d’ailleurs le titre de la séance pièges de l’organisation rationnelle, il ne faut pas tomber dans cette logique ou la rationalité équivaut à réussir à faire plus avec moins, mais essayé d’adopter une approche dite systémique qui serait de ne pas essayer d’aller au-delà des capacités à disposition et favoriser d’autres méthodes comme la coopération, mais aussi se focaliser davantage sur l’optimisation et non pas la maximisation. Dans un autre angle nous avons la normalisation de l’excellence organisationnelle et ces dérives sur les travailleurs qui se doivent très souvent dépendamment du secteur, excellents dans leurs activités, je suis moi-même directement impacté par cette logique puisque je suis représentant à la vente pour une banque en ligne et nous sommes soumis à un quota de 1 carte de crédit vendu par heure et nous sommes aussi noté par les clients avec lesquelles nous interagissons, nous sommes donc soumis à un certain stress dans notre activité quotidienne nous ne sommes donc aucunement autorisés à faire une erreur ce qui n’est d’ailleurs pas en soit dénué de bienfait en effet l’erreur permet d’apprendre et d’acquérir de l’expérience. Nous nous sommes aussi penchés sur la question des nouvelles technologies qui est un sujet que j’affectionne, en effet on constate qu’il y a une certaine crainte vis-à-vis de la technologie et qui est d’ailleurs fondé, en effet un robot par exemple ne se plaint ne fait pas d’erreur il est rapide, efficace, il peut ainsi donc remplacer l’homme et son lot de problèmes, cependant la subjectivité humaine reste importante lorsqu’il s’agit de prendre des décisions pour une situation nouvelle, le robot lui ne peut s’adapter qu’en fonction de ce qui est implanté dans son système, ainsi il faut essayé de prendre le meilleur de chaque, et la technologie ne peut en aucun remplacer l’homme, car l’homme a une capacité d’adaptation qui s’affute par les expériences, les réussites, et l’échec, et ensuite, que le robot ou pour généralisé les outils technologiques ne peuvent posséder. Enfin brièvement nous avons vu lors de la séance 6 qu’en conclusion un manager se doit de s’aider des outils technologiques à ne pas adopter une logique se basant sur la maximisation, encourager l’essai et l’erreur constructive, et enfin garder en tête que le facteur humain reste un pilier de l’organisation, et qu’ainsi c’est de ce dernier que dépend la réussite ou l’échec de toute organisation.

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