Situation globale de l’économie française : (période étudiée: 2006 à 2008)
Analyse sectorielle : Situation globale de l’économie française : (période étudiée: 2006 à 2008). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hamzaslz • 10 Octobre 2013 • Analyse sectorielle • 284 Mots (2 Pages) • 826 Vues
1) La comptabilité nationale regroupe l’ensemble des agents économiques dans des secteurs institutionnels différents :
- les ménages
- les sociétés financières
- les Institutions Sans But Lucratif au Service des Ménages (ISBLSM)
(Capacité de financement)
- les sociétés non financières
- les administrations publiques
- le reste du monde
(Besoin de financement)
Situation globale de l’économie française : (période étudiée : 2006 à 2008)
D’une part, le document 13 nous indique qu’entre 2007 et 2008, le taux d’épargne des ménages (épargne/revenu disponible brut) diminue. En effet, il passe de 15,6 à 15,3.
Le taux d’épargne financière (capacité de financement/revenu disponible brut) suit la même tendance, et passe de 4,7 à 4,5.
D’autre part, on remarque que les agents à besoin de financement, sont au cours des années 2006 à 2008 de plus en plus demandeurs, alors que les agents à capacité de financement ont du mal à offrir plus…
Un déséquilibre se créé, de sorte que l’économie française connaisse un besoin de financement qui dépasse largement ce qu’elle est capable de fournir (par l’intermédiaire notamment de l’épargne).
De plus, sur la période, le taux d’endettement des sociètés non financières et des ménages, augmente, alors que le taux d’autofinancement diminue.
Cela indique donc que la situation économique n’est pas bonne. Le financement des activités économique est difficile, le développement est donc compromis.
2) D’une manière générale, les ménages tendent à réduire leurs dépenses (dans la mesure du possible) et ils préfèrent épargner l’argent qu’il leur reste plutôt que de l’investir. Ils « dépensent moins qu’ils ne gagnent, et investissent moins qu’ils n’épargnent ».
Pour ce qui est des sociètés non financières, c’est le contraire. Elles dépensent plus qu’elles n’ont, et investissent plus qu’elles n’épargnent.
Qu’il s’agisse de l’un ou de l’autre, le taux d’endettement à augmenter avec la crise économique et financière
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