Marché du blé en France et dans le monde

Le marché du blé.

Question 1 : A Paris, le prix du blé est très variable. Il passe de 100 € par tonne (en 2006) à 250 € (en 2012/2013), mais le marché du blé parisien reste croissant.

Nous pouvons constater que de 2006 à 2008 le cours du blé augmente de façon importante, passant d’environ 100 € par tonne à 250 €. De 2008 à 2010, une baisse fulgurante se produit, on trouve le prix du blé à environ 120 € la tonne. Depuis 2010 cette céréale raugmente, mais en vivant à la fois des baisses, pour finir à plus de 250 € par tonne.

Question 2 : L’évolution du cours du blé à l’échelle mondiales est similaire à la France. Le prix du blé est « volatile ».

Les plus grands producteurs mondiaux sont des pays émergents, la Chine et l’Inde, avec respectivement 118 millions et 80,8 millions de tonnes produites par an. Ces deux pays ne sont pas de grands exportateurs. Pour cause, le blé est un pilier de l’alimentation humaine, la culture de cette céréale est destinée principalement à la consommation du pays même. Elle est au développement, à la croissance du pays.

L’Australie et le Canada sont les principaux exportateurs de blé avec 21 et 19,5 millions de tonnes. La Russie, Les Etats-Unis et l’Europe se placent derrière eux. L’impact de la météo a diminué la production de ces derniers pays, ce qui a entrainé aussi une diminution de leur exportation.

L’Egypte est le demandeur de blé le plus important avec 9 millions de tonnes par an, à des utilisations alimentaires et non alimentaires.

L’évolution mondiale des foyers de consommation s’inscrit dans le sens d’une plus large diffusion du blé et traduit la tendance à la hausse de la demande et une évolution des habitudes alimentaires. La demande de blé est croissante.

Question 3 : On peut voir d’après les annexes 1 et 3 qu’en 2007, les Etats-Unis (plus gros exportateur de blé) ont connu une hausse de la consommation du mais, au détriment du blé. Les américains se sont donc concentrés sur la culture du maïs, plus rentable, en diminuant leur part de production du blé. Une autre variation du prix s’est manifestée lors des sécheresses, le blé étant moins produit à montrer une forte demande et donc, une hausse du prix.

Il est aussi rapporté, que le prix de la tonne du blé dépend de moins en moins de l’offre et de la demande, mais de plus en plus des opérateurs financiers.

Question 4 : Le blé est l’une des 3 céréales les plus consommées dans le monde, avec le maïs et le riz.

La demande du blé sera toujours forte et ça, peu importe la hausse ou la baisse du prix.

Dans ce cas précis, c’est l’offre qui influe sur le prix. Comme nous l’avons vu la météo, la diminution de la production ou encore l’indice boursier influencent directement sur le prix du blé. Mais aussi, la diversification de l’utilisation du blé comme pour produire du carburant ou comme alimentation animale. C’est une denrée qui n’est pas inépuisable.

La qualité, la quantité et le prix ne peuvent être déterminés à l’avance.

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