La redistribution

LA REDISTRIBUTION 

Table of Contents

I. Questions :        1

II. Réponses        1

1. Questions :

Question 1 :

Analysez la situation des données ci-dessous.

Question 2 :

Quel  est  le  plan  Macron  concernant  la  pauvreté?  Faites  quelques  recherches expliquant les idées du plan?

1. Réponses

Réponse 1 :

Le pouvoir d'achat en 2015 a connu sa plus forte hausse depuis 2009, cela s'explique grâce à l'augmentation du salaire net moyen. Les revenus du patrimoine ont baissé à cause de la forte diminution des revenus d'assurance vie. Par ailleurs les intérêts nets reçus par les ménages diminuent fortement contrairement au pouvoir d'achat qui augmente après le recul précédent. En 2008 on connaît une baisse conséquente du pouvoir d'achat qui est suivie en 2009 par un pic d'augmentation des prix.

De plus les prestations sociales décelèrent ainsi que les prestations familiales et les prestations de vieillesse.

En 2015, la dépense de consommation des ménages en volume progresse plus fortement grâce à l’accélération du pouvoir d'achat du revenu disponible brut.

Cela s'explique aussi par les les taux d'épargne des ménages diminuent jusqu'à stagner à 15 % (entraîne une augmentation des dépenses de consommation).

Réponse 2 :

PETITE ENFANCE - L’accent mis sur les crèches

Le plan prévoit que les crèches deviennent réellement accessibles à tous sur tout le territoire. Pour y parvenir, l’État financera jusqu’à 90 % des frais de création des crèches dans les communes déshéritées. Des bonus financiers seront proposés aux collectivités afin que 90 000 places en crèches soient réservées à des enfants en difficulté. Cette mesure s’ajoute à la création de 30 000 places et 1 000 en relais d’assistantes maternelles, en priorité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. De plus, un effort va être fait pour les parents en recherche d’emploi, 300 crèches à vocation d’insertion professionnelle vont être créé.

ENFANCE - Des repas à 1 € à la cantine

L’État entend aussi garantir un petit-déjeuner et un repas complet par jour à tous les enfants. L’école sera là encore mise à contribution. Des collations seront proposées le matin pour les élèves scolarisés en zone d’éducation prioritaire. De plus, la tarification sociale va être développée avec l’objectif de proposer des repas à 1 € dans les communes les plus déshéritées.

JEUNES - Une solution pour chaque décrocheur

Emmanuel Macron veut travailler sur l’orientation pour éviter que des jeunes soient dirigés vers des filières qu’ils n’ont pas choisies et qu’ils abandonnent ensuite. Mais surtout, il veut créer, au-delà de l’école obligatoire à 16 ans, une obligation de formation jusqu’à 18 ans .

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