Cours: Fonction et forme de la monnaie
Analyse sectorielle : Cours: Fonction et forme de la monnaie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mickael6Z • 7 Janvier 2015 • Analyse sectorielle • 9 221 Mots (37 Pages) • 822 Vues
Chapitre 1 : Fonction et forme de
la monnaie
Le Troc : un produit, un bien, un service s’échange contre un autre. Il pose un problème de la double coïncidence d’un besoin, implique une double correspondance entre la production et le besoin des personne qui échange, il n’est pas adapté a une économie de marché, il fonctionne que pour des échange limité.
Fonction de la monnaie :
La monnaie intermédiaire des échanges : facilite les échanges dans une économie monétaire une personne peut vendre son bien n’importe quel acheteur que celui-ci est ou non un autre bien à vendre. La monnaie brise le troc, les produits s’échange contre de la monnaie qui permet l’achat d’un autre bien ou service. Ces un équivalent général reconnue et accepté par tous, elle est un actif liquide. Facilite l’échange et donne une valeur nominale reconnue. La liquidité de la monnaie signifie qu’elle est utilisable immédiatement, sans transformation pour réglé des échanges.
Instrument de mesure : elle constitue un étalon qui permet de fixé la valeur, le prix des différents produits, détermine une échelle de prix simple et unique exprimé en unité monétaire, avec celle-ci on peut comparer les prix des biens et services différents.
Reserve de valeur : rend possible des transactions dans le temps, elle peut être conservé afin de reporter les achats. Elle fait un lien entre le présent et l’avenir. Cette liquidité procure un avantage sur les autre actifs en temps que réserve de valeur, elle permet a tous moment de réalisé des achats ce qui est contraire au autre qui eux on besoin d’être converti en monnaie ce qui a un coût.
Formes de la monnaie :
Monnaie marchandise a la monnaie métallique : de l’antiquité au XIXe dans certaine région du monde, les monnaie marchandise on servi d’intermédiaire des échanges dans toutes les sociétés a l’exception des plus primitives. Monnaie construis d’une marchandise elle-même (coquillage, blé, bétail…). La monnaie métallique a remplacé la monnaie marchandise c’est à dire la monnaie qui retire sa valeur par sa rareté du métal (or ou argent).
Monnaie fiduciaire : celle-ci ce compose aujourd’hui de pièce et de billet de banque. La valeur est faciale car elle est visible et détaché de son coût de fabrication. Cette monnaie à un court légal que l’on ne peut refuser pour un paiement, celle-ci est convertible en métal précieux. De nos elle est essentiellement de billet.
Monnaie scripturale : composé de dépôt vu de des ménages et des entreprises aux banques ces simplement un jeu d’écriture entre 2 conte bancaire et concerne tous une transaction.
Évolution des moyens de paiements : processus de dématérialisation de la monnaie, elle est de moins en moins matériel, la monnaie fiduciaire est de – 10% des transactions, la monnaie scriptural prend le relai d’environ 90%, elle est le principal instrument de circulation (CB, chèque).
Economie
Chapitre 2 : Création monétaire
La masse monétaire :
Qu’est ce que la masse monétaire? : Elle regroupe l’ensemble des moyens de paiement retenu par les entreprises, les administrations et les ménages dans un pays ou zone monétaire. Elle se compose de la monnaie fiduciaire et scripturale. Les banques centrales mesurent l’évolution de la masse monétaire, l’objectif est qu’elle progresse de manière adapté sans générer de hausse du niveau général des prix ou freiné les échanges de l’activité économique.
La création par les banques :
- Mécanisme création monétaire : résulte des opérations de crédit bancaire. Or une banque accord un crédit a un agent économique non financé, le compte de cet agent se trouve augmenté (crédité). En contrepartie il est endetté du montant de ce crédit. La banque a mis à disposition de son client de la monnaie scriptural : création monétaire. Toute opération ne donne pas lieu à une création monétaire. Les banques collectent aussi une épargne auprès des clients.
Remboursement → crédit = destruction
Crédit → remboursement = Création
La part de crédit financé sur l’épargne des clients n’entre pas dans la création monétaire.
- Destruction monétaire : opération de remboursement du crédit par un agent économique non financier ce traduit par la destruction financière.
- Variation de la masse monétaire : si on généralise le niveau d’une économie de la masse monétaire s’accroit quand les crédits distribué au agent économique sont souvent au remboursement, à l’inverse il y a destruction quand il y a plus de remboursement que du crédit.
Rôles des banques centrales : mission d’émettre un monnaie fiduciaire, contrôle l’activité bancaire, régule la création monétaire.
Limite de la création monétaire : les banques ont besoin de monnaie de la banque centrale. Elles doivent retenir un pourcentage de billet susceptible d’être de demandé par leurs clients. La banque centrale Européenne à le monopole d’émission des billets et ces banques doivent ce procuré cet billet auprès de BCE. Les banques règles leur achat de billet avec les avoir dont elle dispose, de ce faite la banque se trouve limité dans sa création monétaire. Elles régulent en monnaie central chaque jour le solde de leur opération interbancaire. La création monétaire donne lieu à des fuites vers d’autre banque qu’il faut régler en monnaie centrale.
Comment les banques se refinance-t-elles? : Pour faire face au demande en billet de leur client et pour régler le solde négatif de leur création interbancaire, les banques doivent se procuré de la monnaie centrale, elles vont alors ce refinancé a la BCE. Il est représenté par les taux d’intérêt fixé par la banque centrale taux directeur.
L’influence sur le taux directeur :
- Transmission du taux directeur de la BCE : le niveau du taux directeur va se transmettre à l’ensemble des taux d’intérêts pratiqué dans l’économie. Une banque qui empreinte au près de la BCE a un certain taux qui prête ensuite a ces clients a un taux supérieur pour tenir compte de ces coûts de fonctionnement des risques encourus,
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