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Analyse de la société IKEA

Analyse sectorielle : Analyse de la société IKEA. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  27 Novembre 2013  •  Analyse sectorielle  •  685 Mots (3 Pages)  •  672 Vues

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160 magasins, dans 29 pays.

Pas coté en bourse.

Directrice de magasin : seule femme directrice. C’est adhéré à un mode de vie dans le travail. « Tout le monde peut parler à tout le monde ». Prise en compte des clients avec le café.

Ikea est le premier vendeur de meubles du monde. C’est une société sans actionnaires. Vision a long terme du coup, les bénéfices sont réinvestis et non donnés aux actionnaires envers ces clients et collaborateurs.

Acteurs :

Collaborateur : bonne ambiance, jeune, sympathique tutoiement venant de la culture anglo saxone. « Si on veut une promotion, il faut s’investir et ne pas trop parler». La direction est proche des collaborateurs. Il y a une flexibilité dans le management scandinave. Quelques plaintes concernant les salaires, les mouvements d’horaires, avec la hiérarchie.

Ce n’est pas tout beau, tout rose. Les remontées d’infos sont parfois difficiles et le dialogue compliqué. Parfois il y a eu des licenciements de candidats avant l’élection de représentants.

« Je n’ai pas connu de discrimination particulière ».

Directeur général France : tutoiement = rapprocher les gens, supprimer cet aspect hiérarchique.

Le modèle de management est unique pour Ikea.

PDG : garder la jeunesse = énergie, créativité, dynamisme…

Un magasin tous les deux ans, avance rapide. Mais 13% quitte Ikea, proche des chiffres de la grande distribution.

Il y a une prise en compte de l’avis des employés, participation aux prises de décision.

La direction pense que le bien être renforce le travail. Il cherche des personnes avec des qualités humaines en pensant à l’équipe dans laquelle ils s’intègrent. Ils recherchent une relation entre les valeurs de la personne et les valeurs de la marque.

Formation IkeaWay : Mettre en place le management par rapport aux valeurs de l’entreprise et la politique de la RH (droiture, honnêteté, respect des clients et des collaborateurs).

Ikea reste un business comme les autres, mais il y a une vision particulière, de responsabilité sociale.

La politique sociale est adaptée au pays. La politique salariale, c’est la prudence en restant dans une moyenne dans le sens où ils veulent que les gens viennent travailler pour d’autres raisons. Les salaires moyens, sont ceux de la grande distribution, ainsi que les primes.

70% des employés sont syndiqués. Il prime sur une « transparence » dans la communication, avec la création d’une commission paritaire (notamment, sur l’histoire de racisme qu’avait subi l’enseigne) avec direction et représentant syndical. Il y a eu des enquêtes faites. Le problème est venu d’un directeur.

L’histoire du fondateur est racontée aux employés pour l’intégration des employés en formation et les sensibiliser au travail. La vente de meubles au départ ne couvrent pas les frais, alors il se met aux accessoires au départ, puis l’invention des paquets plats…

Les directeurs de magasin, sont invités en Suède pour connaître

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