La comparaison et la métaphore exercices d'application
Commentaire d'oeuvre : La comparaison et la métaphore exercices d'application. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Samaul • 10 Septembre 2013 • Commentaire d'oeuvre • 392 Mots (2 Pages) • 1 652 Vues
LA COMPARAISON ET LA METAPHORE
EXERCICES D’APPLICATION
Exercice 1
Distinguez « comparaison » et métaphore » dans les extraits ci-dessous..
Identifiez le comparant et le comparé , trouvez le point commun entre les deux éléments.
Transformez les comparaisons en métaphores et réciproquement.
« Nous aurons des lits pleins d’odeurs légères
Des divans profonds comme des tombeaux. »
Baudelaire
« Ton ombre est couleur de la pluie »
Carco
« Déjà, au loin, le roulement du monstre échappé s’entendait. Il s’était rué dans les deux tunnels qui avoisinent Rouen, il arrivait de son galop furieux, comme une force prodigieuse et irrésistible que rien ne pouvait plus arrêter. Et la gare de Sotteville fut brûlée, il fila au milieu des obstacles sans rien accrocher, il se replongea dans les ténèbres, où son grondement peu à peu s’éteignit. »
(Zola)
exercice 2
Expliquez les métaphores suivantes en identifiant : le comparé, le comparant et le point commun entre les deux
« Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ.
Elle allait à grand pas moissonnant et fauchant,
Noir squelette laissant passer le crépuscule. »
Hugo
« Le monde est une ardoise où les mots sont des nombres.
Aragon
Exercice 3
Retrouvez dans ce poème les comparaisons et les métaphores
Vous êtes un verger de printemps et d’automne
Où les arbres se bombent au ciel monotone
Où les printemps des fleurs et l’automne des fruits
Parfument sous le ciel en même temps les nuits
Les pétales tombés des branches fruitières
Sont vos ongles cruelle couleur de fleur de mai
Les pétales flétris sont comme vos paupières
O vous le printemps pur et l’automne pâmé
Guillaume Appollinaire , Le Guetteur mélancolique.
Exercice 3
Identifiez la fonction ( explicative ou émotive) des comparaisons et métaphores suivantes. Justifiez votre réponse.
1 « Mon cœur est en repos, mon âme est en silence ;
Comme un son éloigné qu’affaiblit
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