Le défi De La Mondialisation
Note de Recherches : Le défi De La Mondialisation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 18 Décembre 2013 • 1 376 Mots (6 Pages) • 712 Vues
Echanges internationaux
Introduction: le défi de la mondialisation
L’entreprise traditionnelle du 19 ème siècle est axée sur le marché national. Le marché est considéré comme essentiel et donc l’extérieur n’est perçu par l’entreprise qu’en terme d’exportation ou de source de matières premières.
on va porter notre attention sur les relations qui existent entre 2 groupes de sujets économiques soit les ménages et les entreprises.
A ces 2 groupes de sujets, et après un examen superficiel du processus économique d’un pays, on peut noter l’existence de l’Etat mais également les banques et l’étranger.
Présentation d’une économie fermée (sans relation avec l’extérieur et sans intervention gouvernementale).
On va également ignorer les banques dans un premier temps. On va porter l’accent sur la sphère économique ou apparaisse en particulier des flux «réels» de biens.
Le but final de toute production est la consommation. Les biens produits par les entreprises doivent donc nécessairement parvenir d’une manière ou d’une autre au consommateur.
On suppose que tous les facteurs de productions appartiennent aux ménages et qu’ils sont mit par ces derniers, à la disposition des entreprises.
Circuit réel de bien
L’idée d’un circuit dans le processus économique a été avancé pour la première fois par un physiocrate (François Quesnay).
Résumé du schéma
Si A achète un bien à B, la marchandise va de B vers A tandis que la monnaie qui correspond au prix de la marchandise, es transférée de A vers B. Il n’est donc pas étonnant que le flux monétaire soit dirigé dans le sens inverse des flux de marchandises.
Approfondissement du circuit macroéconomique
La présentation du circuit comprenant les opérations d’épargne et d’investissement, montre la nécessité de faire intervenir un nouvel agent avec les institutions financières (banques, bourse ...). Ce sont les institutions financières qui permettent la rencontre des prêteurs (les épargnants) et des emprunteurs (les entreprises qui investissent), qui assurent l’ajustement de prêts et d’emprunts.
Le circuit pourrait être enfin complété par 2 facteurs à savoir l’Etat et l’étranger.
Dans ce dernier cas, l’ouverture de l’économie modifie profondément le circuit en particulier les importations qui représentent une fuite puisque la dépense s’adresse à la production étrangère. Il ne fournit pas de ressources aux entreprises nationales.
Toutefois, les exportations jouent un rôle inverse puisqu’elles apportent aux entreprises nationales des ressources supplémentaires.
Depuis plusieurs décennies on assiste à un passage progressif d’une logique axée sur le marché national à une logique axée sur le marché mondial.
La croissance des exportations mondiale sur la période de 1970-2010, montre que le commerce mondial a augmenté ces dernières décennies, beaucoup plus vite que la richesse mondiale. Cela veut dire que les échanges se sont intensifiés et le degré d’ouverture au commerce de l’économie mondial a augmenté.
Les échanges mondiaux représentent entre 10 et 12% de la richesse mondial dans les années 70 contre 24% au début des années 2000.
Le graphique retrace le degré d’ouverture de l’économie mondiale au commerce sur la période 70-2000, c-à-d le rapport de l’exportation mondiale sur le PIB mondial.
Il est indispensable d’avoir certaines connaissances en économie internationale si l’on veut comprendre le monde d’aujourd’hui et être informé en tant que consommateur, citoyen et électeur.
Sur le plan pratique, l’étude de l’économie internationale s’avère nécessaire dans de nombreux emplois (dans les entreprises internationales, le secteur bancaire international et dans diverses agences gouvernementales et dans les organisations internationales).
L’économie internationale traite de la théorie pure du commerce et de la théorie de la politique commerciale.
Ces 2 premiers «sujets» concernent les aspects microéconomiques de l’économie internationale
L’économie internationale traite également de la balance des paiements mais aussi des marchés d’échanges ainsi que l’ajustement de la balance des paiements ou de la macroéconomie en économie ouverte. Ces 2 derniers «sujets» traitent des sujets macroéconomiques.
La théorie du commerce international enseigne que l’ouverture a des effets positifs susceptibles de soutenir la croissance comme l’élargissement du marché permettant de réaliser des économies d’échelles.
Mais également l’élargissement de l’offre améliorant l’efficacité des producteurs. On peut ainsi parler d’externalité.
Dans ce cas, l’ouverture internationale est un catalyseur de la croissance. Elle s’inscrit dans un ensemble de réformes capables de libérer les forces du marché. Cela veut dire qu’elle est la conséquence nécessaire d’une stratégie d’investissement réussit
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