Le défi De La Mondialisation

le défi de la mondialisation

Le monde est aujourd’hui au milieu d’une révolution basée sur la mondialisation des goûts, de la production, des marchés du travail et des marchés financiers.

La mondialisation est importante car elle accroit l’efficience càd qu’elle est inévitable car la concurrence la requiert. Aucun pays ne peut se renfermer sur lui-même pour avoir de la croissance. Par ailleurs, la mondialisation est critiquée notamment à cause de l’inégalité croissante des revenus par exemple. Remise en cause du travail des enfants, de la pollution…Cela a donné naissance à un fort mouvement antimondialiste.

La théorie du commerce international traite de la théorie pure du commerce, de la politique commerciale, de la balance des paiements et des marchés de changes. La théorie du commerce international enseigne que l’ouverture a des effets positifs, susceptibles de soutenir la croissance. L’élargissement du marché permet de réaliser des économies d’échelle càd élargissement de l’offre améliorant notamment l’efficacité des producteurs. Dans ce cas, l’ouverture internationale est un catalyseur de croissance. Elle s’inscrit donc dans un ensemble de réformes capables de libérer les forces du marché. Elle est la conséquence nécessaire d’une stratégie d’investissement réussie.

Le commerce international est donc indispensable aux économies ouvertes et accélère le développement. Dans les économies développées, les échanges sont devenus indispensables.

La plus grande des flux, ne sont pas des échanges de matières premières contre des produits élaborés entre pays sous développés et économies avancées mais au contraire des flux de biens substituables entre pays au même stade de développement.

Les principaux problèmes d’économie internationale auxquels fait face le monde d’aujourd’hui sont des thèmes d’actualité : l’accroissement du protectionnisme dans les pays industriels, la volatilité excessive et des déséquilibres des taux de changes, l’accroissement de la concurrence internationale spécialement en provenance de la Chine, le chômage structurel élevé et la lente croissance économique, les fréquentes crises financières, l’énorme pauvreté et l’inégalité internationale que connaissent certaines population des pays en voie de développement.

L’entreprise traditionnelle du 19ème siècle est accès sur le marché national, le marché du pays est donc considéré comme essentiel et donc l’extérieur n’est perçu par l’entreprise qu’en termes d’exportation ou de ressource de matière première. Depuis plusieurs décennies, on assiste donc à un passage progressif d’une logique axée sur le marché national à une logique axée sur le marché mondial. Ceci tant au niveau de la production que du travail des capitaux et du marché des consommateurs

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