L'inlation est-elle un mal ?

L’inflation est elle un mal ?

L’inflation est bien souvient considérée comme mauvaise aux yeux des ménages puisqu’elle représente une augmentation niveau général et durable des prix. Cette augmentation s’applique sur tout les biens et les services. A l’inverse, la déflation représente la baisse durable et générale des prix. On parle de taux de d’inflation pour mesurer l’ampleur de ce mécanisme. Il est calculé a partir du taux de variation de l’indice du prix de deux prix entre deux dates. En France la période de 1981 à 1986 représente une période de déflation avec un taux passant de 14% a 2,1%. Depuis, le niveau de vie moyen est presque fixe.

Le XIXe  était une période de stabilité des prix sur le long terme, c’est au XXe siècle que l’inflation apparait. Pour les libéraux, il est nécéssaire de combattre qu’est l’inflation. Pourtant lors de périodes comme les 30 glorieuses ou les théories keynésiennes associait l’inflation a une externalité positive de la croissance. De nos jours la majorité des politiques économiques mis en place visent a réduire au maximum le taux d’inflation. Les grandes institution comme la FED ou la BCE ont comme objectif premier de limiter l’inflation au maximum.

Pourtant, les effets de l’inflation sont pour les libéraux, plus particulièrement pour Milton Friedman. L’augmentation des prix vient d’une création de monnaie supérieure a la quantité de richesse, ce qui déprécie la valeur de cette monnaie et fait augmenter les prix. A en croire les keynésiens, l’inflation est du a un excès de demande face a une offre trop maigre. Afin de rétablir cette équilibre les prix augmentent, ce qui a pour conséquence de réduire la demande. L’inflation est également possible par les couts, par exemple le prix d’un produit peut augmenter car ses couts de productions augmentent.

L’inflation révèle un conflit dans la répartitions entre salaires et profits, entre revenus salariaux et revenu du capital. Chacun estimant que ce qu’il reçoit est inférieur a ce qui est censé lui être du. La hausse des uns entraine une réactions des autres afin de rétablir l’équilibre qu’ils pensent juste. La politique des années soixante avait comme mission première de réduire le chômage quitte a laisser le taux d’inflation s’envoler, car celle ci permettaient d’alléger les dettes, favorisant le recours a l’emprunt. Or depuis les années quatre-vingt, la politique vise a réduire l’inflation au maximum quitte a voir le chômage grandir. Car l’inflation brouille le mécanisme des prix, qui nous permet de savoir si la demande est en adéquation avec l’offre.

1 L’inflation a des effets différents selon sa durée

Sur le long terme, l’inflation provoque une dévalorisation de la monnaie, déréglant raisin tout les mécanismes de notre société. Cependant, elle peut se révéler très efficaces sur le court terme, comme par exemple lorsqu’elle favorise l’emprunt et permet a certain pays de relancer leur économie

A L’inflation n’est pas souhaitable a long terme

• C’est a partir des années 1970 que la croissance ralentit, les emprunts peinent a être remboursé et la dette grimpe, accompagné par le taux d’inflation. C’est ainsi que des homes comme Milton Friedman pour qui l’inflation est partout et toujours un phénomène monétaire ressurgissent. Il estime que, sur le long terme un accroissement de la quantité de monnaie se traduira toujours par de l’inflation. Ainsi les politiques monétaire se révèlent très utiles avant de relancer l’économie provisoirement.
• Effectivement, a terme les ménages se retrouvent pénalisés. Leur pouvoir d’achat s’en trouve réduit, car les prix des produits ont augmenté, mais pas leurs salaires. Pour y remédier ces derniers peuvent demander une augmentation de salaire, en vain, car afin d’augmenter les salaires, les prix de ventes seront augmentés, a terme, leurs salaire aura augmenté, mais pas leur pouvoir d’achat. On parle de spirale inflationniste. On peut observer ce phénomène en France dans les années soixante-dix, lorsque la masse salariale a fait pression pour une augmentation des salaires.
• Dans contexte comme le notre ou l’économie est mondiale, l’inflation est condamnés au no de la non compétitivité des taux des changes. Cette dernier réduit les taux de changes, freinant les implantations d’entreprise internationales sur le territoires français. Puisque c’est dernier n’ont aucun. Interêt a investir tout en sachant q’une partie de ces investissements seront dévalorisés. A titre d’exemple, cet argument de la compétitivité a été celui choisi par la France afin de réorienter sa politique

B l’inflation représente une solution viable a court terme

• bien que ces conséquences négative soient non négligeable, l’inflation peut également s’avérer révélatrice d’une amélioration économique. Elle peut être utilisé afin de générer de la croissance, voir pallier a des problèmes sociaux.
• L’inflation permet la hausse des salaires, dans les pays développés, les salaires sont indexé sur le niveau des prix, ainsi les salaires peuvent augmenter sans que le pouvoir d’achat diminue, permettant ainsi de profiter des avantages que l’inflation confère, sans entrer dans une spirale inflationniste.
• L’inflation favorise l’emprunt, et donc l’endettement, car par effet de levier, elle réduit les taux d’intérêt. A titre d’exemple, l’inflation des trente glorieuses a permis l’essor d’une économie d’endettement favorisant la croissance
• Dans l’analyse de Schumpeter, l’inflation représente une période d’innovation et d’expansion.
• L’inflation favorise les agents emprunteurs souligne Keynes, tels que l’État ou les entrepreneurs. La déflation se voit alors plus dangereuse que son contraire, dans le sens ou augmenter les chômage est moins grave que d’empêcher l’emprunt. C’’est pour cette raison que les Etats-Unis ont souvent recours a la création de monnaie, par ce processus, ces derniers réduisent le poids de la dette.

2 L’inflation doit être controlée en fonction de la tendance économique

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