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Croissance économique

Étude de cas : Croissance économique. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  18 Décembre 2017  •  Étude de cas  •  2 451 Mots (10 Pages)  •  855 Vues

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(Croissance économique)

Leçon 1 : croissance économique :

Relation du développement et croissance : Le développement est liée à la croissance   , donc la présence est préalable au développement, si la croissance ne s’accompagne pas automatiquement au développement, il ne peut y avoir de développement sans croissance .mais on peut avoir une croissance sans développement

La croissance et la croissance inclusive : La croissance est nécessaire pour qu’un pays puisse élevée le niveau de vie de sa population .mais elle ne peut pas assurer la réduction de la pauvreté ou l’amélioration du bien être. Dans quelques années on accord la plus grande attention à la croissance inclusive en tant que moyen qui aborde les questions d’équités qui nous tendent le processus de croissance.il n’existe pas encore une définition universellement acceptée de cette croissance inclusive.il est facile de définir et mesurer la croissance  mais il est difficile de comprendre sur ce qui l’a rend inclusive.il y’a un accord sur le fait qu’elle doit être à l’intérêt du grand nombre.

Rôle de l’état : deux courants : keynésienne et classique :

 Explication : politique de relance : c’est une application des théories e keynésienne selon laquelle le gouvernement  peut efficacement  relancer  l’économie par des dépense publique supplémentaire (augmenté l’activité éco e réduction d chômage  lors de récession ou faible croissance. Elle permettraient de passer d'un équilibre sous-optimal (faible demande,) à un équilibre plus satisfaisant( demande et offre plus forte) les politiques de relance menées dans les pays développés ont été souvent reconnues comme des échecs De plus, les politiques de relance creusent les déficits(recette inférieure au dépenses) il est souvent nécessaire de mettre en œuvre par la suite des politiques de rigueur(pour réduire le déficit) qui ramènent le déficit à des niveaux raisonnables.

 courant Keynésienne : L’état constitue un facteur de développement par sa politique économique (intervention des administrations publiques sur l’activité économique pour atteindre des objectifs (croissance, plein emploi, justice sociale).la gestion macro-économique (étude des phénomènes économiques globaux) par la demande perd de son efficacité car relancer les dépenses publiques peut entrainer le creusement déficit constant. Donc il est nécessaire de relever d’autres outils ; d’autres perspectives (le défit de mondialisation des échanges : (Les entreprises les plus mondialisées définissent leur stratégie, en matière de production, de distribution ou de vente, directement à l’échelle mondiale.) et le passage d’une économie d’innovations).ce courant veut renforcer les prérogatives de l’état tout en redéfinissant son rôle :

  • cibler les domaines d’intervention et se concentrer sur les domaines porteurs de la croissance.
  • il faut encourager les changements de gouvernance au secteur ou investit l’état.
  • protéger les individus contre les pertes d’emplois.

Courant Libérale ou classique : réduire la taille de l’état (de pointe de vue des libéraux) (il s’agit de réduire de % le nombre de fonctionnaires en (n) ans pour économiser xx millions de dollars.et ne remplacer qu'un départ à la retraite sur deux)

1-Définition de la croissance économique :

Croissance économique=concept quantitatif : (On augmente la production en quantité)

On défini la croissance dans le long terme : et pas dans l’instant. Ex : au Maroc la croissance dépend  d’agriculture .Donc on a une économie cycliste (phase de crise puis reprise etc ).

D’après François Perroux : augmentation soutenue pendant une langue période d’un indicateur représentant  la production de richesse d’un pays exprimée en temps réel.

2-Mesure de la croissance économique :

 par le PIB CTE : pour éviter le problème du à l’augmentation des prix (inflation).la croissance est calculée en monnaie constant (croissance hors inflation)=PIB  déflaté qu’on peut calculer le prix et l’utiliser à l’échelle mondiale=pour calculer la croissance en volume ou réelle.

Définition PIB : produit intérieur brut : agrégat de comptabilité nationale qui mesure le résultat finale de l’activité de production des agents économiques résidents sur le territoire nationale .C'est aussi la mesure du revenu provenant de la production dans un pays donné

Autre agrégats : indicateurs :

  • PNB : produit national brut : calculé par la nationalité =reflète la valeur ajoutée produite par les résidents d'un pays que ce soit sur le territoire ou à l'étranger.
  • PIB par habitant : il sagit dun système permettant de mesurer lactivité économique dun pays en se basant sur le revenu moyen de ses citoyens.(reflète les inégalité entre centre sociale)
  • IDH : indicateur de développement humaine crée par le PNUD (programme des nations unis pour  développement).créer en 1990  .l’IDH est un indicateur compris entre 0 (horrible) et 1 (excellent). Il est calculé par la moyenne de trois indices évaluant respectivement :1-la santé / longévité (mesurées par l'espérance de vie à la naissance), qui permet de mesurer indirectement la satisfaction des besoins matériels essentiels tels que l'accès à une alimentation saine, à l'eau potable, à un logement décent, à une bonne hygiène et aux soins médicaux. 2-le savoir ou niveau d'éducation. Il est mesuré par la durée moyenne de scolarisation pour les adultes de plus de 25 ans et la durée attendue de scolarisation pour les enfants d'âge scolaire. Il traduit la satisfaction des besoins immatériels tels que la capacité à participer aux prises de décision sur le lieu de travail ou dans la société ;3-le niveau de vie (logarithme du revenu brut par habitant ‘en parité de pouvoir d'achat (c'est-à-dire le taux de change d'une monnaie par rapport à une autre): exclus du PIB par habitants- tels que la mobilité ou l'accès à la culture.

Limite de PIB : Il ne représente pas  l’économie sous terrain et informelle et tous les activités économiques et les externalités négatif : mauvaise odeur.et ne reflète pas les inégalités entre les centre sociale. Il mesure mal le niveau de vie et la qualité de vie. On ne sait pas comment est réparti le PIB. Il sous-évalue les activités non marchandes

*Rapport de stiglitz -sen -Fitoussi :en 2009 sur la mesure des performances économiques et le progrès social a posé le cadre en concluant que le PIB était insuffisant pour mesurer les richesses de nos sociétés et ce travail a abouti à la vote d’une loi en 13 avril 2015 visant à la prise en compte des nouveaux indicateurs de richesse dans la définition des politiques publiques : tels que des indicateurs d'inégalités, de qualité de vie et de développement durable l'évolution du produit intérieur brut. C’est une loi visant à la prise en compte de nouveaux indicateurs de la richesse voté en avril 2015 qui permet de valoriser la richesse dans la définition de politique publique pris par l’état.

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